Guide de l’expérimentateur
de la Pile Joe (Joe Cell)
Par Alex Schiffer
Copyright 1999, éd. NuTech 2000, Victoria, Australia.
nutech@tpg.com.au
Kits, manuels, vidéos/DVD
http://www.nutech2000.biz
Traduit de l’australien par un prolétaire enragé contre son ignorance.2
Avis de non-responsabilité
En tant qu’auteur de ce livre intitulé „Guide de l’expérimentateur de la Pile Joe”, je fais ici les déclarations
formelles suivantes et je donne les conseils suivants :
- Je ne fais aucune recommandation à personne pour construire une pile Joe. Je donne simplement un compterendu de mes propres connaissances, expérimentations et résultats ainsi obtenus.
- Je ne recommande ni ne presse personne à accomplir les modifications de l’alimentation en carburant des
véhicules à moteur brevetés qui sont destinés à être utilisés sur les routes publiques ou d’autres lieux publics. - Dans l’éventualité où une personne, de sa propre initiative, tente une partie quelconque ou la totalité de mes
expérimentations, je conseille fortement à l’opérateur de bien connaître au préalable les techniques et
connaissances requises par les tâches ci-dessous, pour une construction en sécurité et réussie. - Le mauvais usage, l’abus par négligence ou intentionnel, la non-familiarité avec les techniques de
construction, les lois du pays ou les procédures de sécurité NE SONT PAS de la responsabilité de l’auteur,
mais sont entre les mains du praticien. - L’auteur décline toute responsabilité concernant toute blessure ou mort de quelque forme de vie que ce soit,
tout dommage à la propriété, dommage à l’environnement ou infraction à toute loi, qui auraient lieu durant les
modifications des moteurs à combustion internes ou du fait des polluants ainsi relâchés, ainsi que tout autre
évènement qui pourrait donner lieu à une action légale dans l’éventualité où une personne mènerait des
recherches ou toute autre activité qui auraient été initiées du fait de la lecture des informations contenues dans
ce document. - Même si l’auteur défend l’authenticité des résultats obtenus par sa propre expérience, étant donnés les facteurs
nombreux et variables du processus, dont le „facteur Y”, il n’est donné aucune garantie de ce que le résultat
du travail mené par d’autres personnes soit le même que ceux indiqués dans ce document.
Melbourne, Australie, 1999.
L’auteur, Alex A.Schiffer
Comme tout autre appareil potentiellement dangereux, utilisez-le à vos
risques et périls.3
DANGERS
Je voudrais mentionner ici les dangers spéciaux qui sont associés à l’utilisation de la force vitale, plus
particulièrement de l’énergie d’orgone. Je suppose que le lecteur est familier avec les techniques nécessaires pour faire
des expériences avec l’hydrogène et l’oxygène, et qu’il est également compétent dans l’usage des outils nécessaires
pour accomplir les résultats exigés. Vous avez lu l’avis de non-responsabilité et je vais m’en tenir là.
Comme vous pouvez ne pas être très familiers avec l’orgone, je voudrais mentionner quelques précautions
additionnelles. L’orgone est très sensible aux perturbations et agitations de nombreuses sources. Ainsi, l’orgone est très
facilement excitée ou irritée au point de produire des effets toxiques.
Les choses suivantes devraient être évitées :
- Tout appareil à tube cathodique, tels que télévisions, ordinateurs, oscilloscopes, etc.
- Fours à micro-ondes, néons et lampes fluorescentes, montres et horloges à cadran phosphorescent, détecteurs
de fumée et couvertures électriques. - Téléphones mobiles et antennes-relais, équipements de radiotélécommunication ou instruments similaires,
radars aériens et services de communication aériens, antennes de transmission TV et radio (AM, FM), feux de
signalisation radio-contrôlés, radars de police, lignes électriques à haute tension, centrales nucléaires, stocks et déchets
nucléaires, et zones d’essais nucléaires passés ou présents.
Les équipements et matériaux nucléaires et électromagnétiques sont connus pour irriter l’énergie d’orgone,
l’amenant à un état d’excitation sévère que Reich a identifié sous le nom d’effet Oranur. Ces effets persistent
longtemps après que l’irritation cesse (des années). Si une telle agitation persiste, l’énergie d’orgone peut devenir
immobilisée et „morte”. Reich a identifié cet état énergétique mort sous le nom de Dor (Deadly Orgone). Une réaction
humaine typique au Dor est la léthargie, l’immobilisation et l’éloignement émotionnel (la perte de contact émotionnel).
L’effet le plus important est de faire remonter à la surface tous les symptômes médicaux latents.
VOUS ÊTES PRÉVENUS !
Si de l’Oranur ou du Dor sont présents, un accumulateur amplifiera ces tendances. Si mes piles „s’énervent”, je
me sens très fatigué, mon visage paraît et se sent gonflé, j’ai des troubles oculaires et je me sens comme si le soleil
m’avait brûlé. Vous devez démonter la pile immédiatement et trouver la cause. Quant à vous, prenez une douche
froide dès que possible et vous devriez vous sentir mieux.4
A La Fraternité De L’Homme,
Qui, Comme Un Groupe Uni,
Peut Accomplir Toutes Choses.
REMERCIEMENTS
Je veux remercier tout particulièrement mon ami Robert W., qui m’a sans égoïsme donné son
temps et son expertise, en de nombreuses occasions, pour la production de ce manuel.
Je veux remercier ma femme Irene, pour sa patience et sa compéhension tout au long des
années pendant lesquelles j’ai lutté avec mes expériences de cinglé.
CREDITS
Je ne pourrais pas mentionner tous les grands hommes qui ont pavé la route devant mon
humble don. En utilisant leurs contributions scientifiques, j’ai pu me tenir sur leurs épaules et ainsi
obtenir une vue meilleure du problème. Cela n’aurait pas été possible sans l’oeuvre de toute leur
vie et leur partage désintéressé pour aider leur compagnon humain.
Je dois mentionner quelques uns des principaux contributeurs :
Baron Von Liebig Recherche sur la force de vie.
Goethe Luminosité autour des objets biologiques.
James DeMeo Notes sur les dangers.
J.G. Gallimore Compilation d’effets de l’énergie.
Karl Von Reichenbach La découverte de la force Odique.
Wilhelm Reich La découverte de la force d’Orgone, des accumulateurs,
des bions, des moteurs, des instruments de mesure, du cloudbusting, du Melanor, de l’Orite,
de la Brownite, de l’Orene, etc.5
Liste des Figures Photographiques
Fig.1 – Une vue de la „Old Trusty”. Une pile de trois ans d’âge qui brise la plupart des règles
de conception de pile, mais qui est toujours une grande artiste. Une jauge de pression temporaire
est installée dans le trou de remplissage pour surveiller les fuites d’air.
Fig.2 – Ustensiles d’eau, large bécher pour contenir l’eau chargée pendant l’entretien de la
pile. Entonnoir et petit bécher pour faire le niveau d’eau de la pile. Burette pour enlever ou ajouter
une petite quantité d’eau de la pile et une baguette de verre pour remuer.
Fig.3 – Deux types de piles de test. Sur la gauche, une pile en verre avec une connection
négative par un trou percé dans le fond. Sur la droite, une pile en plastique avec les deux
connections localisées en haut.
Fig.4 – Cône de la cuve de chargement. Ceci est le résultat de l’utilisation de plus de 10
Amps sur le longues périodes. Notez le grave piquage. Ces cônes ne sont plus que de la ferraille
maintenant.
Fig.5 – Cuve de chargement. Vue générale des principaux composants. J’ai montré deux
types différents de pile de cônes. La pile la plus proche de la cuve est celle utilisée dans ce manuel.
Fig.6 – Cuve de chargement. Une vue par en-dessous de la pile de cônes, montrant la tige
centrale de Nylon qui est légèrement élargie pour soutenir le cône inférieur.
Fig.7 – Cuve de chargement. Une vue de côté de la pile de cônes. Notez les rivets aveugles
tenant la bande négative et la méthode pour maintenir les cônes ensembles avec la tige d’acrylique.
La tige en haut est en acier inoxydable et permet de tenir la pile de cônes au sommet de la cuve.
Fig.8 – Une vue de côté de la tige centrale de Nylon, montrant les trous d’ajustements qui
permettent une variation de l’écart entre la pile de cônes et le fond de la cuve.
Fig.9 – Cuve de chargement. Une vue de côté de la pile de cônes. Remarquez la connection,
l’isolation des bandes et la connection aux cônes.
Fig.10 – Cuve de chargement. Une vue générale de la construction de la pile de cônes. La
connection positive est la connection du milieu, les connections négatives sont le deuxième cône le
plus bas et le cône d’en haut.
Fig.11 – Pile, 4 cylindres. Les pièces de la pile, montrant deux types de sommets en dôme.
Le petit tas d’espaceurs d’ébonite est montré près des deux cônes.
Fig.12 – Pile, 4 cylindres. Montrant comment le boulon d’acier inoxydable s’insère dans le
cylindre central de 1 pouce. Remarquez les rainures dans la tête du boulon pour permettre
l’écoulement de l’eau. Notez aussi que le fond du boulon est enfoncé de ¼ pouce dans le tube de 1
pouce.
Fig.13 – Pile, 4 cylindres. Montrant l’isolant inséré dans le couvercle inférieur de la pile. Cet
isolant permet au boulon central d’être isolé du reste de la pile. L’isolant que vous voyez là est le
côté interne ou côté eau.
Fig.14 – Pile, 4 cylindres. Montrant le couvercle inférieur de la pile, complété, avec l’isolant
externe, la cosse pour le fil de connection négative et l’écrou de fixation.
Fig.15 – Pile, 4 cylindres. Une vue de la méthode pour insérer les isolants d’ébonite de ½
pouce de long et ½ pouce de large.
Fig.16 – Pile, 4 cylindres. Vue des sous-assemblages complétés de la pile. Notez que la
bague de compression est manquante au sommet du cône. Le joint torique s’insère entre le filetage6
externe et le couvercle de base.
Fig.17 – Pile, 5 cylindres. Tous les composants majeurs de la pile. Notez que dans cette
conception j’utilise un plateau de base séparé de son écrou pour le couvercle de la base de la pile,
contrairement à la construction en une pièce utilisée dans la pile de 4 cylindres. L’anneau fileté est
à insérer à force en bas du cylindre externe.
Fig.18 – Pile, 5 cylindres. Position des isolants d’espacement en ébonite. J’utilise 3 isolants
pour les cylindres les plus petits et 4 pour le cylindre large (cette quantité est pour chaque
extrémité, bien sûr).
Fig.19 – Pile, 5 cylindres. Une vue du filetage emanché à force. Remarquez la position. Le
cylindre externe et le couvercle de la base doivent être ajustés métal sur métal.
Fig.20 – Pile, 5 cylindres. Tous les composants requis pour la construction de la connection
négative au cylindre central de 1 pouce.
Fig.21 – Pile, 5 cylindres. L’assemblage correct des composants du boulon du cylindre
central.
Fig.22 – Deux types de sédiments. Des contaminants différents dans l’eau produiront
différents types de sédiments. Il semble que la pile crée de la MATIERE NOUVELLE.
Fig.23 – Pile, 5 cylindres. L’assemblage complet des cylindres.
Fig.24 – Pile, 5 cylindres. Une vue de la construction du cylindre central.
Fig.25 – Pile, 5 cylindres. Pile complétée. Remarquez que la bague de compression
d’échappement est manquante.
Fig.26 – Outils utiles. Jauge de test mesurant la pression et le vide, lampe miniature pour
observer l’action dans la pile assemblée et petit laser pour observer la taille des particules dans
l’eau.
Fig.27 – Stade 1. Une vue 20 secondes après l’application de courant. Remarquez que
l’action se déroule principalement dans la région négative centrale.
Fig.28 – Stade 1. Une vue 30 secondes après l’application de courant. Remarquez qu’il n’y a
vraiment pas beaucoup de changement par rapport à la vue précédente.
Fig.29 – Stade 2. Une vue 20 secondes après l’application de courant. Remarquez l’activité
différente comparée au stade 1 à la même période de temps.
Fig.30 – Stade 2. Une vue 30 secondes après l’application de courant. Remarquez comme la
pile est mainenant en train de mourir et de revenir à un motif de stade 1. Cette pile a germé mais
n’est pas arrivé au mode générateur du stade 3.
Fig.31 – Stade 2. Une vue après 1 minute avec le courant coupé. Remarquez l’absence de
bulles résiduelles.
Fig.32 – Stade 2. Une vue après 24h. Remarquez que la pile est maintenant morte (pas de
bulles, pas de tension de surface).
Fig.33 – Stade 3. Une vue 10 secondes après l’aplication de courant. Remarquez la formation
de bulles différente.
Fig.34 – Stade 3. Une vue 15 secondes après l’application de courant. Remarquez l’activité
des bulles.
Fig.35 – Stade 3. Une vue 20 secondes après l’application de courant. Ce temps correspond
maintenant au temps des photos précédentes des stades 1 et 2. Les bulles ont désormais couvert les
cylindres et l’activité continue.
Fig.36 – Stade 3. Une vue 25 secondes après l’application de courant. L’activité continue et
si le courant était laissé allumé, les bulles déborderaient de la pile et couleraient le long des côtés.
Fig.37 – Stade 3. Une vue 24h après extinction du courant. Remarquez les bulles et la7
tension de surface. Cela est un indicateur sûr d’une pile génératrice.
Fig.38 – Stade 3. Une vue 2 jours après extinction du courant. La pile est toujours vivante et
quelques bulles sont encore visibles. Seule une pile générante fera ça.
Fig.39 – Une vue d’une alimentation électrique permettant de charger séparément 4 piles à la
fois, ou bien vous pouvez connectez l’alimentation individuelle de 12V et avoir si nécessaire 24V,
36V ou 48V.
Fig.40 – 1-Vue d’un chargeur de 60V pour le chargement d’une pile en utilisant de
l’électrolyte. 2-En haut du chargeur pour batterie de voiture se trouvent deux batteries 2V qui
peuvent être utilisées pour maintenir en vie la pile Joe lorsqu’elle n’est pas en fonction. 3-Chargeur
de batterie commun, qui peut être utilisé pour charger la pile.
Fig.41 – Sur la gauche et au centre, une vue d’un type de filtre à café que j’utilise pour filtrer
l’eau courante. Au milieu un rouleau de papier litmus d’échelle 1-14, pour tester le pH de l’eau. Sur
la droite un aimant rotatif pour tester le paramagnétisme des composants en acier inoxydable.
Fig.42 – Une vue de deux récipients de 20l en Pyrex, pour conserver l’eau juvénile.
Normalement ces récipients sont couverts de feutre pourpre.
Fig.43 – Une vue du tuyau de la pile au moteur. Remarquez que le côté bouchon borgne du
tuyau de caoutchouc n’a pas de collier de serrage et ainsi sera un ajustement libre sur le bouchon.
Fig.44 – La vue interne de l’extrémité pile du tuyau pile-moteur. Notez la courbure douce
pour limiter l’obstruction du flux d’orgone.
Fig.45 – Vue d’en haut et rapprochée sur l’emplacement choisi pour l’insertion du bouchon
borgne de connection.
Fig.46 – Vue du bouchon borgne ajusté sur le collecteur d’admission avec deux boulons. Le
bouchon est conçu pour s’ajuster à un tuyau d’un diamètre interne de 1 pouce.
Fig.47 – Connection du tuyau pile-moteur. Remarquez qu’il n’y a aucun collier de serrage
du côté bouchon du tuyau de caoutchouc. Une courte section de fil électrique est connectée au
câble positif de contact d’allumage de la voiture.
Fig.48 – Une vue du moteur Rover utilisé dans le test, montrant le tuyau s’étendant de la pile
externe et connecté au collecteur d’admission.
Fig.49 – Une vue générale de la Rover et de la connection de la pile externe.8
Introduction
„Puisque les gens corrompus s’unissent entre eux pour constituer une force, les gens
honnêtes doivent faire de même.”
Comte Leon N. Tolstoï.
Joe
A peu près en 1992, une nouvelle forme de générateur a été fabriquée en Australie. En préparant ce livre, j’ai
parlé au concepteur, ainsi qu’à sa fiancée, de ma volonté de lui attribuer le mérite, etc, pour ses sept années de travail
et de coopération avec tous les autres participants. Malheureusement, à cause des extrémistes et des gripp’sous
auxquels il a eu affaire, ce pauvre individu brimé a décidé de renoncer à s’impliquer davantage dans cette pile qui porte
son nom. Pour respecter ses voeux, il sera donc simplement appelé Joe. Je voudrais simplement dire, cher Joe, que s’il
n’y avait pas de rares individus comme toi, nous, la vaste majorité au cerveau lavé, ne découvririons pas les vraies
beautés des dons de Mère Nature.
Il est probablement trop tard désormais pour sauver Mère Terre de ces années de pollution et de profanation
causées par les multinationales cupides et irréfléchies. Comme espèce, nous sommes uniques. Même un simple petit
oiseau garde son nid propre, tandis que nous, la créature la plus intelligente, nous détruisons notre seule maison !
Cependant, les individus comme Joe nous montre qu’il y a une meilleure voie, une voie simple et pure, la voie de la
Nature. Sans avoir bénéficié(?) d’années d’éducation dogmatique et rétrecissant l’esprit, Joe a découvert, par intuition,
comment poser à la Nature une question de telle manière qu’elle réponde. La réponse fut une méthode de production
mécanique d’énergie sans utilisation de ressources primaires ni création de pollution. Cette méthode est bien connue
des quelques avertis et la technologie en était disponible depuis des siècles. Joe a fait une version très simple à
fabriquer de ce générateur. Le générateur est appelé une pile Joe, en anglais : a Joe cell.
Intention
Mon intention est (dans la mesure de mes moyens) d’ôter un peu du mystère, des secrets, de la conjecture et de
la franche désinformation qui entourent la construction de la „pile”. Le but est d’aider le constructeur à fabriquer une
pile selon une méthode détaillée pas à pas, telle que je l’utilise pour fabriquer les piles. Mes connaissances viennent
d’avoir fabriquer des piles. Comme j’ai fait beaucoup de piles qui fonctionnent, c’est cette expérience qui m’a donné le
savoir et non des conjectures ou la lecture du livre d’un autre, ni l’écoute des opinions d’un „expert” de seconde ou de
troisième main. Je vous fais maintenant passer cette information. Et cela restera mon opinion et mon information tant
que vous n’aurez pas construit votre propre pile. C’est seulement alors que vous saurez comment fabriquer une pile,
pas avant !
Qu’est-ce qu’une pile Joe ?
Pour le découvrir, considérons quelques unes des caractéristiques de la pile telles qu’énoncées par Joe :
- L’eau dans la pile n’est pas consommée.
- La pile fonctionne à froid au toucher.
- Il faut un certain temps avant que le moteur ne tourne à partir de la pile. Elle a alors une production d’énergie
irrégulière et fonctionne de façon intermittente.- Quand la pile est enlevée de la voiture, le moteur pend un temps notable pour retourner à la „normale” et
tourner au carburant originel.- Si la pile est laissée dans la voiture pendant une longue période, le moteur deviendra „chargé”. A partir de ce
point, la pile n’est pas requise pour que le moteur tourne.- Tous les câbles des bougies d’allumage peuvent être enlevés, le moteur tournera encore tant que la bobine
d’allumage et le distributeur restent fonctionnels.- La sortie de la pile n’a pas a être connectée aux parties intérieures du moteur, un raccordement extérieur9
fermé suffira.- La pile a besoin pour fonctionner du „chargement” de l’eau.
- L’eau „chargée” peut être versée d’un contenant à un autre sans perdre sa „charge”.
- La pile demande un style spécifique de construction, peu compris par la plupart des constructeurs.
- Un style empirique de construction s’est développé avec peu ou pas de science ni de succès.
- La source d’énergie de la pile et son utilisation ont une grande valeur pour certains individus. Ces individus
génèrent de la désinformation, des opérations d’occultation et induisent de la peur chez les constructeurs de pile.- La présence humaine peut affecter l’opération de la pile en un sens positif ou négatif.
Bien plus d’informations sur la Joe cell sont disponibles aux quelques privilégiés, mais nous en avons assez
avec les indications ci-dessus pour identifier le type d’énergie. D’après ce qui précède, il apparaît clairement (comme je
vais vous l’expliquer) que, sans l’ombre d’un doute dans mon esprit, la pile Joe est un simple accumulateur d’orgone, et
que la pile tourne avec, ou recueille, de l’orgone. Il y a une corrélation de 100% avec l’énergie d’orgone et ses
propriétés. Comme ces accumulateurs ont été et sont en usage partout dans le monde, le constructeur peut bénéficier
du partage ce vaste fonds de savoir. Par exemple, pas plus tard que le 1er janvier 1867, un brevet français, n°60986, a
été publié par un certain Martin Ziegler pour un accumulateur d’une force de type vivante et non-électrique.
L’expérimentateur peut, en cherchant un peu et grâce à des notes comme celles-ci, contourner les mythes, la
désinformation et les dealers de secrets, et progresser avec des faits scientifiquement fondés. Il peut aussi être préparé
à réaliser et rencontrer les DANGERS qui attendent l’audacieux imprudent et fou.
Fig.1 – Une vue de la „Old Trusty”. Une pile de trois ans d’âge
qui brise la plupart des règles de conception de pile, mais qui est
toujours une grande artiste. Une jauge de pression temporaire est
installée dans le trou de remplissage pour surveiller les fuites d’air.10
Chapitre 1
„Comment cela devrait alors être fait ? Telle était toujours la question immédiate.
La réponse est simple : Exactement de la manière inverse dont cela est fait aujourd’hui !” –
Victor Schauberger.
L’Orgone
„
Comme tous les effets connus de l’orgone se retrouvent dans le fonctionnement d’une Joe cell, il est raisonnable
de supposer que lecteur devrait avoir une bonne connaissance de l’énergie d’orgone. De plus, comme la pile obéit à
toutes les lois orgonotiques connues et comme le fonctionnement de la pile ne contredit pas un seul effet de l’orgone,
on peut sans danger tenir comme établi que c’est cette énergie qui est utilisée dans la pile. Pour rendre honneur à l’un
des scientifiques les plus grands, oubliés et méprisés du monde, Wilhelm Reich, et par respect pour lui, je continuerai
à utiliser le nom d’orgone comme il l’utilisait. Une multitude d’autres scientifiques, grands et petits, ont donné un nom
à cette force mystérieuse. Dans un chapitre suivant, j’ai dressé une liste d’au moins 70 noms que des individus variés
ont donné à cette même force ou à une force similaire.
’L’énergie d’orgone est l’énergie cosmique vivante de la Nature.’ Pour citer Reich, „l’Energie Cosmique OR
remplit l’univers” et „elle est une énergie spontanément pulsatoire et dépourvue de masse”.
Pour les lecteurs intéressés, on trouve sur Internet une incroyable collection de faits, d’opinions et d’ordures
absolues au sujet de Reich et de l’Orgone. Puisque le but de ce livre est de s’occuper de la pile Joe, la définition cidessus devrait suffire.
Quelques propriétés de l’énergie d’orgone
Des milliers de propriétés ont été observées au sujet de la force vitale. Je voudrais mentionner et expliquer les
principales propriétés ayant un rapport avec la pile.
- Elle est dépourvue de masse. Autrement dit, l’orgone n’a pas d’inertie ni de poids, etc. C’est pourquoi les
équipements expérimentaux conventionnels, qui ont besoin d’une réaction ou de quelque chose contre quoi „pousser”
pour mesurer une force, n’obtiendront aucun effet.- Elle est présente partout, mais ce qui est plus important pour l’utilisateur de la pile Joe, c’est que sa
concentration est variable d’un endroit à l’autre et d’un moment à l’autre. Par conséquent, si la pile est „fuyante” et se
trouve dans une zone de faible concentration, elle peut s’arrêter de „générer”, voire perdre son „germe”. Les signes
extérieurs sont un moteur qui ne produit plus sa pleine puissance ou qui ne tourne plus du tout.- Elle est constamment en mouvement. Elle se déplace de manière inégale d’Ouest en Est à une vitesse
considérablement supérieure à celle de la rotation de la Terre. Son mouvement est une pulsation faite d’expansion et de
contraction, c’est un flux qui suit normalement un chemin courbe. Dans un accumulateur, l’énergie est émise comme
une vague pulsatoire et tournoyante. Ces deux choses peuvent être vues à différents degrés dans une cuve ou une pile
en charge. Ces signes sont très importants pour l’expérimentateur, car ils sont ses outils dans les différentes de
„germination” et de „génération” de la pile.- Elle contredit les lois de l’entropie. L’orgone s’écoule des concentrations basses vers les concentrations
hautes, autrement dit l’orgone attire les concentrations vers soi-même. Cela est le processus normal de la création et
constitue une preuve que l’orgone est une énergie vivante. Pour l’expérimentateur, c’est très important, spécialement à
l’étape de germination. Si la pile se situe en un endroit défavorable, elle peut ne pas germer ou prendre beaucoup de
temps pour germer. J’ai eu des piles qui prenaient quatre semaines pour germer, tandis que d’autres ne prennent que
quelques jours.- La matière est créée à partir de l’orgone. Dans des conditions appropriées, qui ne sont pas rares ni
inhabituelles, j’ai obtenu différents minéraux formés dans des piles identiques. Dans mon cas, cela donne
habituellement une poudre blanche ou verte, formant un colloïde très fin qui descend éventuellement jusqu’au fond de11
la pile. Vous ne voulez précisément pas que cela arrive dans votre pile Joe, car la pile ne fera pas tourner la voiture et
la seule solution sera de démonter complètement, de repolir et de nettoyer tous les composants. Les sceptiques
pourront présumer que ces dépôts proviennent de l’eau. Je ne suis pas du tout d’accord.- Elle peut être manipulée et contrôlée. C’est ce que nous faisons dans la pile, en disposant alternativement des
„cylindres” organiques et non-organiques pour former un accumulateur d’orgone. Ainsi les couches organiques attirent
et absorbent l’orgone tandis que les couches métalliques la tirent du matériau organique et la font rayonner vers
l’intérieur de l’accumulateur. En outre, nous utilisons l’électricité, le magnétisme et l’électrolyse pour aider le processus
de germination.- Elle vient du soleil en quantités immenses. De ce fait, du fait du temps mort thermique (temps s’écoulant
entre la cause d’un phénomène thermique et l’apparition de son effet), la densité en orgone est à son sommet dans
l’après-midi et diminue pendant les premières heures du matin. Comme l’ont découvert certains, une pile fuyante ne
fonctionnera pas, comme si elle „mourrait”, vers 3h-4h du matin.- Elle est affectée par le temps, c’est-à-dire que l’humidité, les nuages, la température et le moment de la
journée affectent l’accumulation d’orgone. Pour l’expérimentateur doté d’une pile fuyante, cela explique l’étrange
comportement des piles fuyantes : parfois elles marchent, d’autres fois non. Mais si vous vous tenez sur un pied, si
vous lui parlez, si vous essayez des eaux différentes, de la chimie, plus ou moins d’électricité, etc, ça „ira mieux”. Cela
a donné lieu à toute une religion au sujet de ce que vous devez faire ou ne pas faire, à un point tel que, l’aveugle
guidant l’aveugle, la pile entre les mains d’un constructeur insouciant est condamnée à l’échec.
9A. Elle se déplace selon la direction d’un champ magnétique. Cela est hautement significatif pour le
constructeur de pile. Ce facteur contrôle la position et la polarité du montage électrique à l’intérieur de la pile, aussi
bien que la quantité de magnétisme rémanent que l’acier peut avoir pour que la pile puisse fonctionner. C’est un point
critique dans le choix et la découpe de ces métaux. Encore une fois, toute une myhtologie s’est développée à ce sujet.
D’après la lecture des précédents éléments traitants de ce sujet, il semble que l’acier doive être coupé par des vestales
vierges dans la Forêt Noire lors d’une nuit éclairée par la lune.
9B. Elle se déplace en angle droit par rapport à un champ électrique. Là aussi, très important, car cela dicte la
polarité et les connections électriques de la pile.- Elle est absorbée par l’eau. C’est l’une des raisons pour lesquelles nous utilisons l’eau dans la pile. Pour que
ça marche, l’eau doit être le bon type d’eau. A propos, par exemple, nous aurions pu employer de la cire d’abeille à la
place de l’eau, mais puisque nous voulons encourager le processus de germination avec tous les astuces de ce livre, la
cire d’abeille nous aurait empêché d’utiliser l’électrolyse.- Elle est polarisée. Puisque l’orgone est polarisée, nous pouvons avoir une force orgonotique positive ou
négative, donc nous pouvons construire une pile positive ou négative. Mais si vous mélangez les matériaux de
construction positifs et négatifs, ainsi que le font la plupart des gens, vous obtenez alors une pile fuyante et nonopérationnelle.- Elle pénètre ou voyage le long de tous les matériaux connus. Tous les corps de structure continue sont des
conducteurs également bons. Elle peut par exemple voyager à travers 70 pieds ou plus de métal. De ce fait, ne croyez
pas que vous la prenez au piège dans la pile. La seule raison pour laquelle elle reste dans la pile est qu’elle le veut.
C’est à l’expérimentateur de mettre au point un environnement de germination et de génération qui soit conducteur
d’orgone, et non pas d’essayer de créer une prison imaginaire dans laquelle il espère capturer l’orgone. Notons que
l’humanité a créé ces derniers temps des matériaux synthétiques qui peuvent grandement arrêter la pénétration de
l’orgone. Je parle des polymères.- Elle a une vitesse de conduction lente. L’orgone prendra 20 secondes ou plus pour traverser 50 yards de fil.
Pour l’expérimentateur, cela signifie que vous devriez laisser passer environ 30 secondes après avoir mis la pile sous
tension avant de vous attendre à pouvoir observer l’action de l’orgone à un niveau stable.- Elle montre une tendance constante vers le haut, s’élevant verticalement. Très important pour installer une
pile de manière non-fuyante dans une voiture.- Elle ne peut pas rester dans l’acier ou dans l’eau plus d’une heure environ. Dit plus simplement, si votre pile
ne „génère” pas, elle va mourir au bout d’une heure environ. Cela explique l’utilisation d’une batterie de 1,5 Volt avec
les piles fuyantes pour maintenir le processus de „génération”. Ce que vous accomplissez avec le petit potentiel
traversant la pile est un très bas niveau d’électrolyse qui compense la fuite de la pile et maintient ainsi le processus de
„génération”.- Elle irradie à longue distance. A partir d’une pile typique, la circonférence de rayonnement est d’au moins
160 pieds. Pensez-y !- Elle obéit aux lois de l’optique. Elle peut être réfractée par un prisme, réfléchie par les surfaces polies, etc.
Ceci explique que certaines surfaces dans la pile soient réflechissantes ou très polies. Ca nous permet aussi de
contrôler une certaine fuite en utilisant les lois de l’optique.- Elle s’entoure elle-même d’une alternance de zones sphériques de polarités opposées. Nous utilisons cette12
propriété pour déterminer les diamètres des cylindres et l’espacement conséquent pour optimiser la pile.- Elle est affectée par les êtres vivants. Encore un élément important, car l’expérimentateur et son attitude
peuvent interagir avec la pile.- Elle peut seulement être concentrée en quantité finie. Si une pile est chargée à son degré maximum, de telle
sorte qu’elle ne peut pas tenir plus, l’orgone se transformera de lui-même en électricité et, par cette voie ou sous cette
forme, trouvera une décharge. Par l’observation visuelle des bulles, des pulsations et de la tension de surface de l’eau,
nous utilisons ce fait à notre avantage.- Les champs de torsion (ou d’orgone) transmettent une information sans transmettre d’énergie. Ils se
propagent à travers les milieux physiques sans interagir avec ces milieux.- Les champs de torsion (d’orgone) ne peuvent pas être blindés avec la plupart des matériaux, mais peuvent
être blindés avec des matériaux ayant certaines structures de spin. Comme au point 12 ci-dessus.- Chaque objet physique, dans la nature vivante ou inanimée, possède son propre champ de torsion (d’orgone)
caractéristique.- Tous les aimants permanents possèdent leur propre champ de torsion (d’orgone).
- Les champs de torsion (d’orgone) peuvent être générés comme résultat d’une distorsion de la géométrie du
vide physique. Ceci est démontré par les pyramides, les cônes, les cylindres, les triangles plats, etc.- Les champs de torsion (d’orgone) peuvent être blindés avec de l’aluminium. Cela nous autorise l’usage de
miroirs couverts d’aluminium, ou d’aluminium hautement poli pour réfléchir notre champ d’orgone (de torsion). Voir
point 17 ci-dessus.- Elle passera à travers tous les matériaux, mais à différentes vitesses.13
Chapitre 2
„La matière est de la force latente, et la force de la matière libre.”
L’école mystique.
Noms comparés de la force vitale
Je n’essaie en aucun cas d’insinuer que les termes qui suivent sont identiques. Le but de cette liste est de
montrer les nombreux noms donnés aux forces inexplicables dont fait partie l’orgone.
Agent X. H. Moriyama.
Akasa. Les Hindous.
Arealoha. Francis Nixon.
Baraka. Les Soufistes.
Biochamp. Yu. V. Tszyan.
Bioplasma. Des Russes.
Biotronique. Des Tchèques.
Brahma. Les Hindous.
Champ chronal. A. I. Veinik.
Champ D. A. A. Deev.
Champ G. Sir Oliver Lodge.
Ch’i (Qi). Les Chinois.
Dige. Apache.
Digin. Navaho.
Dynamis. Les Grecs Anciens.
Eckankar.
Effet Kirlian.
El. Les Hébreux.
Elan vital. Henri Bergson.
Electrogravitation. T. T. Brown.
Elima. Nkundu.
Emanation mitogénétique. A. G. Gurvich.
Emanation N. M. R. Blondolt.
Emanation Z. A. L. Chizhevsky.
Energie bio-cosmique. Dr. Oscar Brunler.
Energie cosmique.
Energie cosmo-électrique. George Starr.
Energie de l’espace.
Energie d’entropie négative. James DeMeo.
Energie de tachyon.
Energie du champ de gravité. H. A. Nieper.
Energie éloptique. T. Galen Hieronymus.
Energie fermi.
Energie fluroplasmique. B. Hilton.
Energie multi-polaire. V. V. Lensky.14
Energie psychotronique. Des Tchèques.
Energie pure non manifeste. Todd R. Knudtso.
Energie scalaire.
Entéléchie. Dreisch.
Ether. Aristote.
Ether biodynamique. Rudolf Steiner.
Ether nerveux. Richardson.
Ethertricité. Gaston Burridge.
Fluide magnétique. Mesmer.
Fluide vitale. Les Alchimistes.
Force de vie universelle. Baron Eugene Ferson.
Force neutre. La Kabbale.
Force odique. Baron Karl Von Reichenbach.
Force vitale. Dr. Aubrey T. Westlake.
Force X. L. E. Eeman.
Hike. Les Egyptiens.
Hullo. Chickasaw.
Ka. Les Egyptiens.
Kerei. Les Indonésiens.
Lumière astrale. Les Kabbalistes.
Magnétisme animal. Mesmer.
Manitou. Algonquin.
Mana. Les Polynésiens.
Manna. Les Israëlites.
Maxpe. Crow.
Mer de neutrino. P. A. A. Dirac.
Mon-émanation. I. M. Shakhparnov.
Mumia. Paracelse.
Mungo. Africain.
Neutre latent. Keely.
Neutricité. Gallimore.
Numen. Les Romains.
Orenda. Iroquois.
Orgone. Dr. Wilhelm Reich.
Plasma logoital. Hieronymus.
Pneuma. Gallien.
Prana. Les Hindous.
Radiation éloptique. Hieronymus.
Reiki. Japonais.
Spiritus. Fludd.
Telesma. Annamites du vietnam.
Tondi. Sumatra.
Vertu. Jesus.
Vis medicatrix. Hippocrate.
Vis naturalis.
Vril.
Wakan. Sioux.
Wakonda. Omaha.15
Chapitre 3
„Il était spécialement interdit de divulguer la loi d’attraction et de répulsion, qui
constitue le plus grand secret de la nature.”
Mrs. Bloomfield-Moore, env. 1893.
Polarité de l’orgone.
Comme l’orgone est polarisée, soit positive soit négative, elle peut parfois être manifestée comme les deux
polarités à la fois pour une courte période de temps. Dans notre recherche de la Joe cell parfaite, il est essentiel
d’utiliser des matériaux conducteurs de polarité dans la construction de la pile. Si on utilise des matériaux suspects qui
encouragent la création ou la rétention des deux polarités à la fois, la pile sera non seulement pauvre générarice, mais
aussi fuyante. J’encourage fortement l’expérimentateur à choisir une pile soit positive soit négative, mais à ne pas
utiliser des matériaux au hasard ou bien à cause de leur disponibilité ou de leur prix. C’est là une voie certaine vers
l’échec.
Positif (Chaud) Négatif (Froid)
Fibres de la racine des plantes Pointes des feuilles des plantes
Electricité négative Electricité positive
Fer Selenium
Cuivre Soufre
Etain Iode
Plomb Palladium
Laiton Cobalt
Maillechort Phosphore
Alcalis Acides
Alcaloïdes Charbon
Argent Sterling Argentium Evaporation
Mercure Vapeur
Base des cristaux (extrémité non-pointue) Pointe des cristaux
Frottement Son
Sud magnétique Nord magnétique
Main gauche Main droite
Côté gauche du corps Côté droit du corps
Nuque Front
Eau courante Distillation
Bismuth Vibration
Zinc Tellure
Osmium Décomposition
Titane Oxydes
Potassium Sels haccoides
Chaux calcinée Réaction chimique
Caféine Vinaigre
Paraffine Alcool
Créosote Bouche et langue16
Lune Soleil
Planètes Etoiles
Extrémité rouge du spectre du soleil Extrémité bleue du spectre du soleil
Comme il apparaît dans la courte liste ci-dessus, les réactions chimiques, l’électrolyse, l’évaporation, la vapeur,
la vibration, le son et les produits chimiques sont les évènements les plus communs dans la pile et dans le moteur. En
d’autres termes, puisque les évènements naturels dans l’environnement qu’habite notre pile favorisent ces actions, je
suggèrerais à l’expérimentateur de construire une pile qui utilise le plus grand nombre possible de ces paramètres,
jusqu’à ce qu’il obtienne la connaissance des causes du comportement de la pile. Personnellement, je ne construis que
des piles acides. J’ai une aversion pour la corrosion associée aux piles alcalines et je trouve aussi que, dans mes piles
acides, l’eau reste limpide comme du cristal et que les isolants ne s’abiment pas.17
Chapitre 4
„Tout ce qui est naturel est silencieux, simple et peu coûteux.”
Viktor Schauberger
THEORIE DE LA CONCEPTION DE LA PILE
Après six ans d’expérimentation, j’ai fait l’hypothèse que la Joe cell fonctionne grâce à l’énergie d’orgone. Cette
hypothèse fut le résultat de centaines d’heures de lecture et d’expérimentation. Pendant tout ce temps, tous les effets
connus de l’orgone (et il y en a des centaines) ont correspondu au comportement de la pile Joe. Il n’y a jamais eu une
déviation par rapport aux effets connus de l’orgone, pas une seule ! De ce fait, il faudrait un homme bien plus brave
que moi pour argumenter contre cette preuve concluante obtenue par des milliers d’heures humaines et par le travail
accompli par des centaines d’individus qualifiés partout dans le monde. Donc, comme ma propre et humble expérience
concorde avec la majorité, j’ai dit et je répèterai souvent que la pile fonctionne, ou plus justement accumule l’énergie
d’orgone.
Exigences théoriques
Je dois parfois réaffirmer l’évident, à savoir que, si nous voulons accumuler de l’orgone, nous devons avoir un
accumulateur d’orgone ! Nous ne concevons pas cette pile pour utiliser des neutrinos, du deutérium, de la
nitroglycérine, de la vapeur, du nitrogène, de l’hydrogène, de l’hydroxyde ni aucune des substances préférées par
d’autres auteurs. Sur ces sujets et manières de concevoir la pile, vous devez lire d’autres publications, vous êtes ici
dans le train qui mène au pays de l’orgone. Nous concevons notre pile pour qu’elle fonctionne à l’énergie d’orgone !
Quand je dis „nous”, je suppose que le lecteur fera de même et construira une pile correspondant exactement à ces
instructions. Une étude attentive des chapitres sur les propriétés de l’orgone et les polarités de la pile est de mise. Si
vous avez été un vilain garçon et avez passé ces sections, je suggère que vous les lisiez maintenant. Alors, qu’avezvous découvert ? Vous devriez être d’accord avec moi sur au moins deux points : la pile doit utiliser autant que
possible des matériaux et des propriétés de la même polarité orgonotique, et nous voulons utiliser autant que possible
les forces externes qui nous sont disponibles pour nous aider dans l’accumulation d’énergie d’orgone.
Sommes-nous sur la bonne piste avec notre pile Joe accumulatrice ? Quel est notre but dans la conception d’un
parfait accumulateur d’énergie ? Y a-t-il une meilleure voie ? Peut-être sommes-nous sur la mauvaise piste ? Il est
peut-être bon, à ce niveau, de considérer les paramètres de conception de la source d’énergie ultime. Après tout, à quoi
bon gaspiller notre temps avec la Joe cell si il y a un „meilleur” moyen pour obtenir notre énergie. „Meilleur”
signifiant moins coûteux, avec des pièces plus efficaces, moins polluant, moins destructeur, durant plus longtemps,
etc. Si nous prêtons attention à la citation de Viktor Schauberger au début de ce chapitre, „…naturel, silencieux, simple
et peu coûteux…” est un très bon point de départ. Permettez-moi de vous donner une brève liste des exigences de cet
accumulateur magique pour voir si nous sommes sur la bonne voie avec la pile Joe :
- La pile Joe est naturelle puisqu’elle opère sur la force vitale (orgone). C’est le seul appareil producteur
d’énergie fabriqué par l’homme qui réalise un échange directe entre une source d’énergie primaire et une fourniture
finale d’énergie. C’est pourquoi elle semble fournir une „énergie libre” et être donc une impossibilité. C’est une grosse
pierre d’achoppement pour ceux qui ne comprennent pas le concept d'”énergie libre”.- La pile Joe est silencieuse. Il n’y a pas de pièces en mouvement. Un panneau solaire ou un appareil à effet
Peltier seraient les comparaisons les plus proches, quoique bien moins efficaces.- La pile Joe est simple. Pas de pièces en mouvement, un jeu de cylindres et de l’eau, vous ne pourrez pas
trouver plus simple.- La pile Joe est peu coûteuse. Après les dépenses initiales, il n’y a plus d’autres coûts matériels, il n’y a aucune
pièces usées à remplacer. La pile Joe est virtuellement éternelle. Si vous en construisez une avec des composants
d’occasion, votre dépense totale devrait être inférieure à 200 AUS$.18- Lorsque nous utilisons de l’énergie qui est à son stade fondamental, c’est-à-dire qu’elle ne peut être divisée en
d’autres constituants énergétiques d’un niveau inférieur, nous n’obtenons pas de sous-produits gaspillés, donc pas de
pollution. La pile Joe fonctionne avec l’énergie de la force vitale (orgone), qui est une force fondamentale de l’Univers.
Vous ne trouverez pas plus basique que ça !- Toute force centrifuge, expansive et explosive constitue un gaspillage à cause de la création de chaleur. Un
appareil qui génère de la chaleur comme une part de son fonctionnement ne pourra jamais être considéré comme une
source d’énergie efficiente. Il ne pourra pas non plus être un appareil plus efficient que consommateur („over unity
device”). La pile Joe fonctionne à froid, de même que le moteur qui tourne grâce à elle.- Toute production d’énergie passant par une série d’étapes de conversion constitue un gaspillage. Par exemple,
un sous-marin nucléaire a un réacteur nucléaire pour produire de la chaleur. La chaleur est utilisée pour créer de la
vapeur à partir d’eau. La vapeur fait tourner une turbine à vapeur. La turbine à vapeur est utilisée pour faire fonctionner
un générateur électrique. Le générateur électrique est utilisé pour faire marcher un moteur électrique. Le moteur
électrique fait tourner une hélice. L’hélice tourne dans l’eau, fournissant ainsi une poussée. La poussée propulse le
sous-marin. Vous délirez ! Pas étonnant que les êtres supérieurs se roulent par terre en riant lorsqu’ils observent notre
„technologie”. Comme tout cela est peu naturel ? La Joe cell convertit en une seule étape la force vitale primaire
(l’orgone) en une force expansive à usage multiple. Elégamment simple !- L’orgone n’a pas à être conservée ou bien convertie puis conservée. C’est un système sur-demande, ainsi n’y at-il pas besoin d’infrastructure de conservation, de distribution, de transport, de vente, etc. Contrairement au pétrole,
elle est au même tarif chaque semaine (gratuit). Ce n’est vraiment pas une bonne nouvelle pour les intérêts des
multinationales. Peut-être est-ce la raison pour laquelle nous n’utilisons pas encore cette force ?
Donc, pour résumer, je dirais que (d’après mes connaissances), dans la mesure où il n’y a pas d’autre appareil
producteur d’énergie capable de faire concurrence à la pile Joe, nous devrions être sur la bonne piste si nous
construisons une pile qui tourne à l’orgone. Notez s’il vous plaît que la pile Joe et sa construction ont des limitations et
des points négatifs tels que ceux que vous avez lus et lirez dans les chapitres suivants. Puisque nous ne vivons pas
dans un monde parfait, nous ne sommes pas des hommes parfaits et la Joe cell n’est pas un appareil parfait.
Fabriquer la pile théorique
En lisant la liste des propriétés de l’orgone et en choisissant celles qui semblent utilisables, vous devriez avoir
choisi celles-ci :
Propriété 14. Comme elle a une préférence pour un alignement vertical et constamment ascendant, nous aurons
la sortie (ou échappement) de notre pile au point le plus haut de notre structure finale.
Propriété 6. Comme elle peut être manipulée, nous pouvons construire un récipient pour la loger. Nous aurons
des tubes cylindriques, concentriques et avec un axe vertical pour s’ajuster à la propriété 14.
Propriété 10. Puisqu’elle est absorbée par l’eau, nous allons fabriquer une pile à eau. Comme nous avons affaire
à de l’eau, la pile doit être étanche et inoxydable.
Propriété 20. Puisqu’elle peut être concentrée seulement jusqu’à une quantité maximale, nous savons que tôt ou
tard quelque chose se produira dans le plan vertical et avec notre échappement localisé au sommet de cet axe vertical,
voir propriété 14, quelque chose va sortir.
Propriété 9A. Puisqu’elle se déplace en alignement avec un champ magnétique, nous savons que si nous
plaçons l’un de nos potentiels au fond de notre „conducteur” et l’autre potentiel au sommet de notre „conducteur”, un
champ magnétique va en résulter et le champ d’orgone se déplacera dans la même direction. Comme nos conducteurs
sont des cylindres métalliques, ils doivent maintenant avoir un alignement vertical concentrique pour correspondre à la
propriété 14. Puisque nous avons affaire à des champs magnétiques, le matériau de notre pile ne devrait pas interférer
avec le champ choisi pour aider l’orgone à s’aligner verticalement. En outre, comme nous avons affaire à de l’eau, des
électrolytes et du magnétisme, le matériau de la pile devrait être de l’acier inoxydable avec une rémanence
magnétique minimale. Juste pour préciser, notre „conducteur” est une combinaison complexe d’eau, de cylindres
métalliques inoxydables et d’un flux d’ions. Il créera tout de même un champ magnétique directionnel.
Propriété 9B. Comme elle se déplace à angle droit par rapport à un champ électrique, nos cylindres
verticaux concentriques correspondent parfaitement, c’est-à-dire que le flux du courant électrique se produit en lignes
horizontales du cylindre le plus intérieur au cylindre le plus extérieur. Comme l’orgone s’écoule à angle droit par
rapport à ce champ, le résultat final est encore un alignement vertical de l’orgone. Bonne marchandise !
Maintenant, d’après la table des polarités de l’orgone, nous pouvons avoir quelques astuces supplémentaires
pour encourager la force orgonotique à travailler pour nous.19
L’électrolyse sera très intéressante pour cela, et comme l’a dit Joe, connecter l’électricité à la pile lorsque le
moteur tourne, c’est comme allumer le turbocompresseur à sa pression maximum, c’est parti ! De même, le frottement
des pièces réciproques du moteur le fera avoir un pic et alors, je te tiens ! nous pourrons l’utiliser ! Le son et la
vibration sont des bonus additionnels lorsque la voiture roule.
Effet condensateur
Pour les lecteurs versés en électronique, permettez-moi de vous expliquer une façon qu’a la pile d’agir comme
un accumulateur d’énergie concentrique. C’est un fait bien connu que la charge d’un condensateur est proportionnelle à
la surface de ses plaques. Pareillement, nous savons que le potentiel augmente lorsque nous rapprochons les plaques.
Maintenant considérez l’élégance de la pile Joe. Nous avons un jeu de plaques concentriques dont la surface se réduit
manifestement à mesure que l’on s’approche du milieu de la pile. Autrement dit : à mesure que les cylindres deviennent
de diamètre plus petit, la surface réduit proportionnellement. Maintenant, puisque la surface des cylindres décroît vers
le centre, nous avons automatiquement une charge croissante à mesure que l’on s’approche du centre ! Par conséquent,
plus il y a de cylindres, plus grand ou plus intense est le développement de la charge. Ainsi, sans autre complication de
conception, nous avons un agrandisseur automatique de la force orgonotique, qui est automatiquement concentrée au
centre de la pile. Cela ne s’applique que si l’eau peut se comporter comme un diélectrique, c’est-à-dire si il n’y a pas
trop d’ions dans l’eau. Merci Nature ! Au fait, à une échelle plus large, la Terre est le milieu d’un accumulateur et les
différentes couches atmosphériques sont les cylindres qui concentrent les radiations du soleil.
Résultat final
Nous avons désormais une Joe cell théorique. Elle est faite d’une pluralité de cylindres concentriques en acier
inoxydable plongés dans l’eau, avec l’application d’un champ électrique et magnétique convenable, et un échappement
situé en haut de la pile aligné verticalement.
Donc, ce qui précède est le tracé et la logique de la construction d’une pile théorique. Maintenant, ce cher Joe
ne pratiquait aucune science, ne connaissait aucun scientifique, n’avait lu aucun des livres sur le sujet et ne savait pas
ce qu’était l’orgone, mais, par un pur coup de chance et d’intuition, il fabriqua sa pile finale selon la configuration cidessus, et le reste est de l’histoire ! Oui, chers amis, notre pile théorique est exactement la manière dont vous devriez
fabriquer votre pile pratique et fonctionnelle. Cela sera expliqué dans le prochain chapitre.20
Chapitre 5
„Il n’y a pas de creuset idéal, pas de creuset si parfaitement scellé et protégé qu’il
puisse être considéré comme un système clos, une unité absolument isolée du reste de
l’univers.” – Raymond Abellio, env. 1975.
MATÉRIAUX ET CONCEPTION DE LA PILE
Dans cette section, je voudrais vous emmener pas à pas à travers le processus de fabrication de la pile. J’ai
affirmé dans les autres sections de ce livre, et je voudrais encore l’affirmer ici, qu’il y a d’innombrables méthodes pour
construire des accumulateurs d’orgone. La méthode ici décrite est basée sur les techniques de construction de Joe cell.
Pour une description d’ensemble de ce type de pile, je suppose que le lecteur a lu, ou a accès à une copie du livre de
Barry Hilton, Comment faire fonctionner votre voiture à l’énergie du Point Zéro (How to run your car on Zero Point
energy). Ce livre contient en mots et diagrammes ce que Joe voulait faire connaître au public à propos de cette pile.
C’est pourquoi c’est une lecture essentielle.
Note. J’ai une copie de ce livre et je le recommande aux autres, mais cela ne veut pas dire que je suis d’accord
avec les théories et faits tels qu’exprimés par Barry et Joe. Cela ne signifie pas non plus que je vous promette que si
vous achetez ce livre, vous serez capable de „faire marcher” votre voiture ou d’avoir une pile qui fonctionne. Pour le
dire simplement, je considère le livre de Barry et le mien comme des pièces semblables à d’autres pièces dans un grand
puzzle. Si vous mettez toutes les pièces ensembles, vous comprendrez la force vitale, peu importe le nom que vous
voulez lui donner. Vous n’avez pas besoin de toutes les pièces si vous voulez seulement „faire marcher” une voiture,
mais plus vous avez de pièces, plus grande sera votre compréhension des causes, et non simplement des effets. Ainsi la
voiture fonctionnera plus longtemps sans mystérieux „temps morts”.
Comme je l’ai dit précédemment, cela ne m’intéresse pas d’argumenter, de provoquer, de débattre, de faire
concurrence ou de défendre mes notes écrites avec qui que ce soit. Je vous donne ces notes librement comme une
indication, pour vous montrer une méthode de construction de pile qui a marché pour moi. Si vous avez quelque chose
de constructif à apporter, je modifierai volontiers mes notes.
Bien, le préambule étant fait, mettons-nous au travail. Je passerai par chaque étape :
A. Liste des pièces.
B. Choix des matériaux.
C. Opérations d’usinage.
D. Options.
E. Assemblage.
A. Liste des pièces.
La liste suivante concorde avec la section D.
Pour toutes les cuves et piles, vous aurez besoin de cosses qui peuvent s’ajuster à un boulon d’1/2 pouce
(12mm) et d’un fil torsadé multi-brin capable de conduire 10 Amps en continu, rouge pour le positif et noir pour le
négatif. Vous souhaiterez peut-être acquérir un porte-fusible en ligne et quelques fusibles de 5 Amps pour aller dessus.
Fig.5 – Cuve de chargement. Vue générale des principaux
composants. J’ai montré deux types différents de pile de cônes. La
pile la plus proche de la cuve est celle utilisée dans ce manuel.21
A1. Cuve de chargement (élement optionnel).
Cette cuve peut être faite de n’importe quel récipient convenable en acier inoxydable de qualité alimentaire et
faiblement paramagnétique. Le favori de Joe et des autres et un baril de bière en acier inoxydable. Il semble y en avoir
en abondance, mais soyez prudent sur leur qualité. Les soudures sont particulièrement paramagnétiques. Une histoire
veut que Joe ait testé près de cent barils avant de trouver celui qui lui plaisait. A moins que vous comptiez utiliser les
larges cônes, de près de 10 pouces de diamètre (250 mm), je ne vois pas l’intérêt d’avoir une si grande cuve de charge.
Même si vous l’employez pour remplir votre radiateur, cela reste une sacrée quantité d’eau. J’y verrais une utilité pour
un club de partage ou des ressources de groupe, mais pas pour un individu. Personnellement, j’utilise une cuve bien
plus petite avec une hauteur de travail interne de 11 pouces et un diamètre de 8 pouces. Ce type de baril a l’avantage de
n’être pas soudé horizontalement à mi-chemin du haut du récipient. C’est exactement là que vous ne voulez aucune
bande magnétique ! Les diamètres de mes cônes sont de 5,5 pouces ou de 6 pouces, en fonction du marchand de
ferraille.
La pile-baril – liste des pièces :
1x Baril de la taille de votre choix;
8x Cônes de la taille de votre choix.
1x Tige centrale de fixation des cônes, en nylon ou matériau similaire.
8x Bagues ou rondelles d’écartement, en nylon ou matériau similaire, pour ajuster les cônes sur la tige centrale de
fixation.
16x Joints toriques, en néoprène, pour ajuster la tige centrale de fixation.
1x Tige de fixation en acier inoxydable, de 300 mm. de long sur 6 mm. de diamètre (environ). (Utiliser
horizontalement en travers du baril pour tenir la baguette centrale et l’assemblage des cônes.)
1x Bande en acier inoxydable d’un mètre de long (environ) sur 12 mm. de large, et d’une épaisseur d’environ 1
mm.
6x Rivets aveugles en acier inoxydable.
Fig.9 – Cuve de
chargement. Une vue
de côté de la pile de
cônes. Remarquez la
connection, l’isolation
des bandes et la
connection aux cônes.
Fig.4 – Cône de la cuve de
chargement. Ceci est le
résultat de l’utilisation de
plus de 10 Amps sur le
longues périodes. Notez le
grave piquage. Ces cônes
ne sont plus que de la
ferraille maintenant.22
Note. Si vous voulez avancer malgré tout et seulement charger votre pile de voiture, vous n’avez pas besoin
d’une cuve de chargement.
La principale vertu de la cuve de chargement est la quantité d’eau qu’elle peut charger et la capacité d’enlever
l’écume de la surface de l’eau. Malheureusement, puisque votre pile de voiture est fermée, cette écume n’est pas si
facilement enlevée, mais rien ne vous empêche de charger l’eau dans la pile de votre voiture, en déversant votre eau au
stade 3 dans un récipient de verre, en filtrant cette eau et en la réintroduisant dans la pile de votre voiture. Quoi qu’il en
soit, si vous utilisez les méthodes décrites dans ces notes, vous verrez que votre écume sera au minimum. J’ai toujours
chargée mes piles de voiture toutes seules, c’est-à-dire sans cuve de chargement.
L’avantage est que vous savez que la pile et
l’eau sont OK, et pas seulement l’eau,
comme ce serait le cas si vous ajoutiez
simplement l’eau de votre cuve de
chargement dans la pile de votre voiture.
Fig.7 – Cuve de chargement. Une vue
de côté de la pile de cônes. Notez les
rivets aveugles tenant la bande
négative et la méthode pour maintenir
les cônes ensembles avec la tige
d’acrylique. La tige en haut est en acier
inoxydable et permet de tenir la pile de
cônes au sommet de la cuve.
Fig.8 – Une vue de côté de la tige centrale de Nylon, montrant
les trous d’ajustements qui permettent une variation de l’écart
entre la pile de cônes et le fond de la cuve.
Fig.6 – Cuve de chargement. Une vue par en-dessous de la pile de cônes, montrant la tige
centrale de Nylon qui est légèrement élargie pour soutenir le cône inférieur.
Fig.10 – Cuve de
chargement. Une vue
générale de la
construction de la pile
de cônes. La connection
positive est la
connection du milieu,
les connections
négatives sont le
deuxième cône le plus
bas et le cône d’en haut.23
A2. Pile de test à 4 cylindres.
La pile de test est une pièce vitale de l’équipement que vous devriez fabriquer. Elle a deux fonctions
principales :
Une – Elle est une aide d’entraînement pour vous tant que vous apprenez à connaître les différentes stades de
chargement de l’eau. Vous serez facilement capables d’observer les différents types de bulles, les tensions de surface,
les dépôts au fond et les suspensions colloïdales dans l’eau.
Deux – Vous serez capables de la remplir avec l’eau suspecte de la pile de votre voiture principale et de tester
pour voir si cette eau est toujours au stade 3. Pas besoin d’être un Einstein pour comprendre que le récipient de votre
pile de test doit être transparent.
La PILE DE TEST – liste des pièces.
1x Récipient de verre ou d’acrylique transparent (pas translucide), d’à peu près 6 pouces (150 mm) de diamètre
pour environ 8 pouces (200 mm) de hauteur. Le récipient doit avoir un couvercle.
1x Jeu de cylindres de 1 pouce, 2 pouces, 3 pouces et 4 pouces de large, sur 5 pouces (125 mm) de long.
18x Espaceurs (cales d’écartement des cylindres) de ½ pouce de diamètre sur ½ pouce de long.
1x Bande en acier inoxydable d’environ 10 pouces (250 mm), comme pour la liste des pièces de la cuve de
chargement.
2x Petits écrous et vis en acier inoxydable pour maintenir la bande sur le récipient en verre ou en plastique.
2x Rivets aveugles en acier inoxydable.
1x 1,5 pied (500 mm) de gaine thermo-rétractable pour recouvrir votre bande d’acier inoxydable.
2x Peignes de support inférieur en acrylique (décrits plus loin).
Note. Si vous utilisez un bocal en verre, vous souhaiterez peut-être insérer la borne négative via un boulon de
½ pouce (12 mm) en acier inoxydable, via un trou que vous percerez à travers le fond de votre bocal. Dans ce cas,
vous aurez besoin d’un boulon de 3 pouces (76 mm) en acier inoxydable, un écrou et une rondelle, plus deux rondelles
usinées en Nylon ou Teflon là où le boulon sort du récipient en verre. L’effort supplémentaire peut ne pas valoir le
coup, sauf si vous pouvez obtenir les pièces à bon prix.
A3. Pile pour voiture à quatre cylindres.
La construction des piles de 4 et 5 cylindres est la même, à part le cylindre supplémentaire et les 6 espaceurs. Je
ne décrirai donc que la construction de la pile à 5 cylindres. Si vous voulez en faire une à 4 cylindres, suivez les
mêmes instructions avec un cylindre en moins.
Note. La seule raison pour laquelle je mentionne la pile à 4 cylindres tient encore une fois aux mythes qui se
sont développés dans le „domaine”. Au fond, l’histoire donne ceci : la rumeur veut que si vous n’employez pas la cuve
de chargement, vous pouvez seulement charger et faire tourner votre voiture avec une pile à 5 cylindres. Vous êtes
Fig.3 – Deux types de piles de
test. Sur la gauche, une pile en
verre avec une connection
négative par un trou percé
dans le fond. Sur la droite,
une pile en plastique avec les
deux connections localisées
en haut.24
supposés ne pas pouvoir charger votre eau avec une pile à 4 cylindres, mais seulement faire tourner votre voiture avec.
Joe mentionne aussi dans sa vidéo qu’il pense que les 4 cylindres peuvent même faire mieux tourner la voiture que la
pile à 5 cylindres. Personnellement, j’ai trouvé que vous pouvez charger les deux types de piles et qu’ils feront donc
aussi tourner la voiture. Comme la fuite d’une pile est déterminée par les „couches” ou nombre de cylindres
concentriques, la pile à 5 couches est une pile meilleure. J’ai trouvé qu’une pile à 5 cylindres fonctionne bien mieux
pour moi et je n’ai vraiment aucune raison de recommander la pile à 4 cylindres, si ce n’est qu’elle est plus petite. Il y a
très peu de retour des autres constructeurs, le jury n’est toujours pas décidé sur cette affaire.
Fig.11 – Pile, 4 cylindres.
Les pièces de la pile,
montrant deux types de
sommets en dôme. Le petit
tas d’espaceurs d’ébonite
est montré près des deux
cônes.
Fig.12 – Pile, 4 cylindres. Montrant comment le boulon d’acier
inoxydable s’insère dans le cylindre central de 1 pouce.
Remarquez les rainures dans la tête du boulon pour permettre
l’écoulement de l’eau. Notez aussi que le fond du boulon est
enfoncé de ¼ pouce dans le tube de 1 pouce. Fig.16 – Pile, 4 cylindres. Vue des sous-assemblages complétés de la pile. Notez
que la bague de compression est manquante au sommet du cône. Le joint torique
s’insère entre le filetage externe et le couvercle de base.
Fig.15 – Pile, 4 cylindres. Une vue de la
méthode pour insérer les isolants d’ébonite de
½ pouce de long et ½ pouce de large.
Fig.16B — Pile, 4 cylindres.25
A4. Pile de test à 5 cylindres.
C’est ma configuration favorite (voir FIG 3. Pile de gauche). Ma toute première pile de test était une pile en
verre à 5 cylindres avec des cylindres long de 7 pouces. Cette pile a été constamment utilisée depuis environ 6 ans et
n’est toujours pas cassée après d’innombrables démontages et entretiens. Les isolants et les cylindres sont après 6 ans
aussi bons qu’ils étaient au premier jour. Cette pile utilise la solution du boulon-à-travers-le-fond de ½ pouce. La
construction est la même que la pile de test à 4 cylindres, avec l’ajout de 6 espaceurs en plus pour soutenir le cylindre
supplémentaire de 5 pouces. Voilà.
A5. Pile pour voiture à 5 cylindres.
La voilà, braves gens. Soit vous obtenez une correcte comme celle-ci, soit la Joe cell quitte la réalité et retourne
à la fantaisie. C’est elle, le bébé qui a à germer et à générer pour vous. C’est celle qui doit être fiable et exempte de
boues. C’est sur elle que les gens vont juger votre santé mentale. Si elle ne marche pas, vous suivez le chemin de tous
les autres échecs et rêveurs. Inversement, lorsque vous arriverez à la faire marcher, vous ne pourrez pas compter tous
vos nouveaux „amis”. Ils en voudront tous une, une „comme celle faite par le magicien”. Il y a des variantes, je vais
vous donner ma favorite, vous aurez besoin de la liste de pièces ci-dessous.
Fig.13 – Pile, 4 cylindres. Montrant l’isolant inséré dans le
couvercle inférieur de la pile. Cet isolant permet au boulon
central d’être isolé du reste de la pile. L’isolant que vous voyez
là est le côté interne ou côté eau.
Fig.14 – Pile, 4 cylindres. Montrant le couvercle inférieur de la
pile, complété, avec l’isolant externe, la cosse pour le fil de
connection négative et l’écrou de fixation.
Fig.17 – Pile, 5 cylindres. Tous les
composants majeurs de la pile. Notez
que dans cette conception j’utilise un
plateau de base séparé de son écrou
pour le couvercle de la base de la pile,
contrairement à la construction en une
pièce utilisée dans la pile de 4
cylindres. L’anneau fileté est à insérer à
force en bas du cylindre externe.26
La PILE DE VOITURE – Liste des pièces
1x jeu de 4 cylindres intérieurs choisis à la main, polis, propres, faiblement paramagnétiques (éventuellement
traités thermiquement), de respectivement 1 pouce, 2 pouces, 3 pouces et 4 pouces de diamètre, d’une longueur
de 8 pouces ou très proche de 8 pouces, d’après vos propres calculs (voir Chapitre 6).
1x cylindre extérieur d’un diamètre de 5 pouces, comme ci-dessus, mais d’une longueur de 10 pouces.
1x plaque inférieure, un filetage de 5 pouces, un joint d’étanchéité torique de 5 pouces et un écrou de 5 pouces
pour assembler la boîte extérieure ci-dessus. Ca n’est pas disponible en magasin. Vous aurez besoin de travail à
la machine/usinage pour fabriquer la section emmanchée à force. (Voir Figure 19.)
1x cône supérieur (couvercle). C’est un réducteur de tube standard de 5 à 1 pouces. L’angle du sommet doit
correspondre au matériau, mais être compris entre 60 et 90 degrés, l’optimum étant 57 degrés pour de
l’inoxydable 316L.
24x espaceurs en ébonite (ou autre matériau adéquat) d’un diamètre de 1/2 pouce sur une longueur de ½ pouces.
1x boulon, un écrou et une rondelle en acier inoxydable de 3 pouces de long sur ½ pouce de diamètre.
2x isolants usinés en Nylon ou Teflon pour la sortie du boulon.
1x bague de compression d’un diamètre de 1 pouce (24 mm) pour la sortie de votre pile. Cette sortie sera à angle
droit ou tout droit, selon vos besoins individuels. C’est là dedans que s’emboîte le tube en aluminium d’un
diamètre extérieur de 1 pouce (24 mm), qui va à votre moteur.
1x longueur suffisante de tube en aluminium d’un diamètre extérieur de 1 pouce (24 mm) pour le raccordement
par bouchon borgne de votre pile au moteur. (Mon tube a un diamètre intérieur de 20 mm mais ce n’est pas
décisif.)
1x tube en acier inoxydable de 1 pouce (24 mm.) de long et ½ pouce (13 mm.) de diamètre intérieur. Il glisse pardessus le boulon en acier inoxydable et tient les cylindres intérieurs écartés du fond.
3x peignes en acrylique pour soutenir les cylindres intérieurs. Optionnels, décrits plus loin.
Note. Tous les composants devraient avoir le champ paramagnétique le plus faible possible. Votre aimant de
test peut être légèrement attiré, mais ne doit pas coller et soutenir son propre poids ! Toutes les pièces ont à être
purifiées dans du vinaigre doux ou de l’acide acétique (90%) qui a été ajouté à de l’eau juvénile. Ne laissez pas
d’empreintes de doigt sur les surfaces en acier inoxydable.
Au sujet du traitement thermique, puisque le point de Curie de la plupart des aciers inoxydables est de 800°F et
plus, notre traitement thermique doit dépasser cette température. Les deux méthodes qui marchent sont :
- Conseil local d’un opérateur de traitement thermique de Melbourne : il suggère de placer le matériau dans un
four à vide à 1050°C pendant 30 mn. Il est ensuite trempé dans du gaz de nitrogène pour le refroidir à température
atmosphérique en un temps relativement court. Le résultat final est presque comme du chrome.- TM Technology, suggère 800°F à 1200°F pour ½ à deux heures.
( http://.www.tinmantech/html/faq_stainless_working_joe-c.html )
B. Sélection du matériel :
La sélection du matériel peut être divisée en :
B1. Cylindres et cônes ou domes en acier inoxydable.
Une grande quantité de bons conseils et de balivernes pures ont été écrits à ce sujet. Au point que j’ai connu des
constructeurs de pile des USA qui me disaient que la bonne qualité d’acier inoxydable 316L est introuvable aux EtatsUnis et que l’Australie est le seul endroit où l’on peut en trouver. Des „experts” m’ont aussi dit que cet acier peut
seulement être fabriqué dans l’Hémisphère Sud (à cause de la rotation du champ magnétique terrestre) et qu’à leur avis
c’est pour cela que les piles de Joe ne marchent qu’en Australie et en Nouvelle Zélande ! Je leur ai dit que je ne peux
pas me payer de l’acier neuf et que j’obtiens la plus grande partie de mes réserves via des ferrailleurs qui ont travaillé
au démontage des machines alimentaires américaines et anglaises. Ils ont alors pensé que je leur cachais la vérité et
que d’une manière ou d’une autre je refusais de leur dévoiler les „secrets” de la conception de la pile. Que pouvez-vous
faire avec de telles personnes ?27
Alors, où irons-nous pour obtenir ce matériau „unobtainium” (objet impossible) ? Où est la ligne séparant les
faits et la fiction ? Avant tout, retournons au départ de Joe et de ses conceptions de pile. Vous aurez remarqué
historiquement qu’il a utilisé le plastique et l’acier inoxydable dans ces conceptions et, indépendamment des matériaux
utilisés, TOUS les types de piles ont focntionné pour lui. Donc, cela n’a pas du tout besoin d’être en acier inoxydable !
Comme je le montrerai dans un chapitre ultérieur, l’acier inoxydable est vraiment un matériau plutôt minable, mais il
suffira pour cette pile.
Cependant, comme les gens, dont Joe, ont expérimenté avec des produits chimiques variés, ils ont découvert
que certains aciers inoxydables avaient trois avantages principaux : précisément, ils forment de bons récipients sous
pression, ils résistent à la majorité des produits chimiques et ils sont „non-magnétiques”.
Je vais inventorier quelques-uns des aciers inoxydables „non-magnétiques”, mais notez s’il vous plaît que tout
acier inoxydable sera magnétique à un certain léger degré avec un Aimant Néo Dymium.
AISI 304. – Utilisé en laiterie, textile, teinturerie et dans les industries chimiques pour les récipients. Sujet à
différents types de conditions corrosives.
AISI 316. – Pièces pour les usines chimiques et agro-alimentaires, utilisable à haute température.
AISI 316L. – Comme le 316, mais avec une résistance à la corrosion supérieure lorsqu’il est exposé à de nombreux
types de produits chimiques corrosifs aussi bien qu’aux atmosphères marines. Il a aussi une force de fluage
supérieure aux températures élevées.
AISI 310. – Pièces de fourneaux (chaudières), tubes radiants, étuves de recuit et appareils de traitement thermique.
AISI 410. – Ustensiles de cuisson, lames de turbine, cribles à charbon et tiges de pompe.
AISI 420. – Pour l’industrie automobile et aéronautique. Composants comme les valves, les pistons, les écrous et
les boulons.
AISI 431. – Pièces nécessitant la plus haute force et résistance à la rouille.
Maintenant, pour des raisons que je ne comprends pas très bien, la fraternité de la Joe cell a décidé que seul le
316L le ferait. J’ai prouvé plusieurs fois que c’était un mythe. Ce n’est pas tout, je défie tout constructeur de dénicher
de l’inox de qualité 316L chez un ferrailleur ! Ce que nous recherchons, ce sont des cylindres, des cônes et de dômes
qui aient le plus faible paramagnétisme rémanent. Cela est facilement vérifié en emportant votre fidèle aimant de terre
rare chez votre vendeur de métal. Mon aimant mesure seulement 5 mm de diamètre sur 3 mm d’épaisseur et est attaché
à un fil de pêche d’une longueur commode. En balançant l’aimant près de l’acier inoxydable vous verrez facilement à
quel point le métal est paramagnétique. Vérifiez spécialement les soudures longitudinales ou spiralées. L’aimant sera
attiré par la soudure, mais je vous suggère de rejeter le matériau si la soudure est décolorée sur une largeur de plus de
¼ de pouce (6 mm), ou bien si elle présente une différence d’épaisseur avec le reste du métal, ou si l’aimant colle et
reste dessus en supportant son propre poids.
Note.
Toujours avoir un court-circuit magnétique sur votre aimant de test lorsque vous le portez dans votre poche,
car il adore tout simplement „effacer” les cartes de crédit et les produits à bande magnétique similaire !
N’utilisez pas un aimant de ferrite semblable aux aimants des hauts-parleurs faciles à obtenir et dont tout
expérimentateur dispose en abondance. Ceux-là sont très loin d’être suffisamment forts et vous serez induits en
erreur en pensant que vous avez découvert un „paradis d’acier pour la pile Joe” lorsque l’acier inoxydable
passera vos tests magnétiques.
Si vous prévoyez de traiter thermiquement les composants de votre pile après toutes les opérations d’usinage
et de soudure, le processus de sélection n’a pas à être aussi rigoureux. Personnellement je choisirais quand
même l’acier le plus faiblement paramagnétique, car ça n’est pas si cher chez un ferrailleur et parce que vous
pouvez ne pas avoir à traiter thermiquement la pile entière.
Si vous achetez un stock d’inox neuf, soyez préparés à quelque inox 316L horriblement délicat.
Cela semble varier terriblement selon le pays d’origine. J’ai trouvé que l’inox certifié dans un emballage
plastique et avec „316L” écrit longitudinalement et de manière répétitive sur toute la longueur, est en général bon.
Vous remarquerez que, lorsque vous tournez une bonne pièce sur un tour en la tenant doucement dans votre main, une
bonne pièce sera „ronde” au toucher, tandis qu’avec une mauvaise pièce vous sentirez des rides longitudinales. De
même lorsque vous coupez un morceau d’authentique 316L, vous entendrez une sonnerie et la scie aura vraiment à
travailler pour le couper. Il m’est arrivé de couper du soi-disant 316L qui se coupait comme du beurre ! Croyez-moi, le
vrai 316L est un salaud à travailler.28
Résumé de ce qui précède – Etant donné que le 316L est „le meilleur”, essayez d’acheter un peu de 316L
certifié. Achetez si vous le pouvez des tubes sans soudure. N’en achetez pas sur la garantie du vendeur qu’il est nonmagnétique. Testez-le ! S’ils vous le découpent gratuitement, regardez comment ils le coupent et faites le couper au
moins 1 pouce (25 mm) au-dessus de la taille voulue. Habituellement un bon fournisseur vous facturera environ 1$ la
coupe avec une scie à bande à refroidissement liquide. Dans ce cas, vous n’avez pas besoin d’une large marge de perte,
un ¼ de pouce suffira pour votre opération d’ajustement sur le tour. Soyez sûr qu’il n’y a pas de dents ou de rayure
notables sur les sections que vous achetez.
Les cônes sont d’habitude faits d’un réducteur disponible en magasin et vous ne devriez pas avoir de problème à
trouver ceux que vous voulez (sauf pour le prix). Les cônes ont normalement des soudures, donc vérifiez-les. Vous
pouvez aussi obtenir en magasin des bagues de compression, une couronne (flange), un filet, un couvercle obturateur,
des boulons, des écrous et des rondelles. Ce que vous pouvez acheter n’est limité que par la taille de votre portefeuille.
Toutes les marchandises certifiées, même les rondelles, auront „316” écrit ou tamponné sur le composant. Si vous
utilisez des extrémités de dôme de configurations géométriques différentes, vous aurez à les faire frapper ou tourner à
vos dimensions. Je n’ai pas besoin de vous dire que tout ce qui est à faire avec de l’inox coûte cher. Pensez-y par trois
fois et n’achetez qu’une seule fois ! Considérez avec précaution quel angle de cône vous voulez utilisez. Par exemple,
un réducteur cônique de 5 à 1 pouce peut être fabriqué selon beaucoup d’angles différents. Ne supposez pas que, parce
que les trous à l’extrémité sont du diamètre correcte, cela donnera automatiquement le meilleur angle de cône.
B2. Matériau d’isolation et espaceurs de cylindres.
Le matériau d’isolation utilisé là où le boulon
de ½ pouce (12,5 mm) sort de l’emboîtement inférieur
de la pile n’est pas critique. J’ai employé du Nylon, du
Teflon et des polypropylènes et polycarbonates
semblables. Ils marchent tous bien. Trouvez un
fournisseur de plastique et fouillez dans sa poubelle de
découpes de baguettes ou bien, si ça ne marche pas,
achetez-en. La couleur n’est pas importante. J’en
utilise du blanc ou du blanchâtre de préférence. Le
Teflon est de loin le mieux, si vous pouvez vous le
payer. Je ne l’utilise pas. J’achète une tige de Nylon
glissant de 2 pouces (50 mm) et je le façonne à la
taille voulue.
Les isolants entre les cylindres sont une autre
affaire. Ceux-là ont tendance à se couvrir d’un dépôt
sur une longue période de temps (plus de 6 mois). Ils
peuvent aussi craquer ou perdre leur élasticité, laissant
les cylindres bouger. Ou bien ils se désintègrent ou se
transforment en gelée. Quand j’ai commencé ce projet,
j’ai copié Joe et j’ai utilisé un de ces „tuyaux de
compte” en caoutchouc que l’on trouvait à l’époque
sur les routes pour la surveillance du trafic. Ce type de
tuyau n’est plus utilisé et il n’avait rien de spécial, il
était simplement facile à dégoter puisqu’il traînait
toujours quelque part sur une route ou une autre
.
A mesure que ma conception de la pile se développait, j’ai commencé à faire correspondre mes matériaux avec
la polarité de l’orgone. J’ai trouvé un produit à base de soufre idéal pour une pile acide, j’utilise donc maintenant une
tige d’ébonite de ½ pouce (12 mm). Je ne vous dis pas qu’il faut commencer avec la tige d’ébonite, mais seulement
qu’elle fait un espaceur convenable. La tige d’ébonite est relativement bon marché. Un demi pouce sur un mètre de
long coûte à peu près 6$. A Melbourne, vous pouvez en obtenir chez E.C. Menzies Electrical Pty. Ltd., 19 Ewing St.
Brunswick, tel. (03) 9387-5544. A l’achat, cette baguette n’est pas polie et vous pouvez la polir avec de la toile émery
fine si vous le souhaitez.
Vous pouvez aussi utiliser du tuyau à paroi épaisse 100% silicone ou des bouchons chimiques en caoutchouc
rouge de la bonne taille, comme le recommande Barry Hilton. J’ai essayé un mélange de tous ces éléments dans une
pile, pour voir lequel lâcherait le premier. J’ai découvert qu’après 6 mois tous les deux, le tuyau de silicone comme les
bouchons de caoutchouc, perdaient un peu d’élasticité et, bien que les cylindres n’aient pas glissé, lors d’un usage en
4×4 sur terrain difficile il y aurait eu des problèmes. Un espaceur neutre et supérieur peut être façonné avec de la tige
de Teflon, il fonctionne très bien.
Fig.18 – Pile, 5 cylindres. Position des isolants
d’espacement en ébonite. J’utilise 3 isolants pour les
cylindres les plus petits et 4 pour le cylindre large
(cette quantité est pour chaque extrémité, bien sûr).29
B3. Le tube de la pile au moteur.
Celui-là est commode et rapide. Je m’en suis tenu à un tube d’aluminium d’un diamètre extérieur de 1 pouce (24
mm) et d’une paroi épaisse de 1/16 de pouce (environ 1,6 mm), de sorte que le diamètre intérieur soit de 20 mm. C’est
facilement trouvable, raisonnablement facile à tordre, c’est conducteur d’électricité et fonctionne bien comme guide
pour l’orgone. Je standardise le
diamètre extérieur du tube à 1 pouce
(25 mm) pour toutes les piles que je
fait et fourni, ainsi les piles sont
interchangeables pour trouver les
défauts et vérifier les performances. Je
suggèrerais fortement que les groupes
plus grands qui s’investissent dans la
conception de piles, se mettent
d’accord sur un ensemble de standards
pour la conception de pile qui soient
mutuellement acceptés au niveau
mondial.
Cela permettrait une production de masse de piles, avec l’avantage
de la réduction les coûts et de l’uniformité. D’autres diamètres de
tubes et d’autres matériaux peuvent être utilisés, il n’y a pas de loi
rigide. Si vous trouvez quelque chose qui fonctionne pour vous et
qui est facilement trouvable et économique, je vous prie de me le
faire savoir pour que je puisse l’ajouter dans la mise à jour de ce
manuel. Par exemple, j’ai utilisé du tuyau d’eau normal couvert
d’une feuille d’aluminium, puis par-dessus j’ai rétracté à la chaleur
une gaine en plastique pour lui donner de la force. Pas aussi bon
que l’aluminium solide, mais facile à mettre en forme et facile à
faire lorsque vous n’avez pas accès à du tube d’aluminium solide.
Voilà donc pour les matériaux. Peu de composants, donc simple et
proche de la Nature.
C. Opérations de façonnage.
Les opérations de façonnage peuvent être divisées en plusieurs parties :
C1. Opérations de découpe.
C’est l’une des étapes importantes dans la construction de la pile. Comme nous l’avons dit, une découpe à haute
vitesse dans les locaux du fournisseur de métal entraînera probablement la création de chaleur. Tout changement de
couleur dû à la chaleur de l’opération de découpe doit être enlevé de la longueur finale du composant. C’est pourquoi je
suggère la marge supplémentaire en B1. Si le tube est coupé avec une lame bimétallique à refroidissement liquide ou
bien à basse vitesse avec un disque de découpe métallique, vous ne verrez pas de changement de couleur ! Lorsque je
découpe mes tuyaux à la maison, j’utilise simplement une meuleuse d’angle de 4 pouces (100 mm) sur un accessoire de
coupe et je fais tourner lentement le tube pendant que je coupe l’acier. Il n’y a pas de changement de couleur et je peux
couper mes tubes si près de la taille finale que le travail au tour n’est plus qu’une opération d’ajustement. Comme
mentionné plus haut, j’aligne les tubes et j’égalise les longueurs à basse vitesse sur le tour. L’égalisation finale des
cylindres est faite en tenant une règle métallique en travers des sommets de deux cylindres. Vous devriez ne voir
aucune lumière sous aucun des quatre points de contact. J’égalise tous mes cylindres à partir du cylindre central de 1
pouce vers l’extérieur.
Fig.43 – Une vue du tuyau de la pile au moteur. Remarquez que le côté
bouchon borgne du tuyau de caoutchouc n’a pas de collier de serrage et ainsi
sera un ajustement libre sur le bouchon.
Fig.44 – La vue interne de l’extrémité pile du tuyau
pile-moteur. Notez la courbure douce pour limiter
l’obstruction du flux d’orgone.30
C2. Polissage.
Ce n’est pas une opération difficile. J’utilise une toile émery de grain 400 environ et pendant que la pièce tourne
sur le tour, je polis les surfaces interne et externe du tube. Ne polissez pas en laissant des marques hachurées croisées,
autrement dit ne déplacez pas votre toile émery latéralement vers l’avant et vers l’arrière en vitesse. Faites vos
traversées latérales lentement. C’est ainsi, pas de techniques mystérieuses.
C3. Soudure.
Je soude mes pièces par soudage tig, mig ou ce bon vieux soudage oxyacétylénique, et avec de la tige ou du fil
de 316L. Encore une fois, pas de techniques mystérieuses, juste un bon soudeur.
C4. Isolants et espaceurs.
Je tourne les matériaux que j’ai choisi comme espaceur sur le tour. Je découpe avec le tour des longueurs de ½
pouce (12 mm) sur ma tige d’ébonite ou de Teflon. Pas de mystères. Comme vous pouvez le voir, il n’y a pas de
découpe au laser ou d’égalisation à l’angstrom près des dimensions de la pièce. Pas plus n’y a-t-il de soudure immergée
par des experts en aéronautique hautement qualifiés. Toutes les opérations peuvent être accomplies par un bricoleur ou
par le professionnel de l’usinage le plus proche.
C5. Opérations d’emmanchement à force.
Parfois j’insère à force les composants. A chaque fois, comme résultat de l’opération d’emmanchement à force,
je m’assure que je n’ai pas de changement dans la dimension interne, voilà ce qu’est justement l’emmanchement à
force, autre chose que l’ajustement avec les doigts. Je nettoie et „saumure” la surface pendant 15 mn avant l’opération
d’insertion, puis je fait partir les produits chimiques avec de l’eau juvénile. Sur le côté externe de l’emmanchement, je
dépose un anneau d’Araldite 24h pour protéger contre le suintement de l’électrolyte. L’adhésif que vous utilisez, quel
qu’il soit, ne doit pas être accessible au travail interne de la pile, sans quoi il va se déposer partout sur les cylindres et
les isolants et diminuer ou „tuer” l’opération de la pile.
D. Options
Les options suivantes sont possibles :
D1. Construction d’une cuve de chargement.
Les options concernent les diamètres des cônes. Comme expliqué en A, je fabrique de petites cuves de
chargement ; Joe, Barry et les autres ont fabriqué des récipients de cuve qui utilisent des cônes de 10 pouces (250
mm). Il y a des variantes dans la quantité de cônes, comme celles qu’utilise Joe, et tout cela est couvert en détail dans
le livre de Barry. Je préfère utiliser 8 cônes, 1 réflecteur, 1 positif, 2 négatifs et 4 „espaceurs” ou „neutres”. Il y a aussi
des variantes dans la méthode de fixation des cônes. Je préfère la tige centrale en Nylon. (Voir Figures 5 et 8.) D’autres
préfèrent les espaceurs entre tous les cônes autour de la périphérie des cônes adjacents et un tuyau agricole à travers le
milieu des cônes (voir le livre de Barry).
Comme mentionné précédemment, à moins que vous ne cherchiez une vaste quantité d’eau chargée ou que vous
ayez des problèmes d’écume, vous n’en aurez pas besoin.31
D2. Construction d’une pile de test à 4 cylindres
Vous pouvez faire votre récipient extérieur en verre ou en acrylique (Perspex), mais assurez-vous en tout cas
qu’il est transparent. L’autre variation est dans la méthode d’extraction du négatif, soit avec une bande en acier
inoxydable sortant par le haut, soit avec un boulon en acier inoxydable sortant par le fond. Là encore, c’est à vous de
voir. Le boulon sortant du fond est pénible, car le récipient doit alors être fixé à un support adéquat. En outre, la
méthode du boulon introduit des coûts supplémentaires. Pour une pile de test, il n’est pas obligatoire d’utiliser une
entrée à boulon au fond de la pile.
D3. Construction d’une pile de voiture à 4 cylindres.
Voir notes pour la pile de voiture à 5 cylindres.
D4. Construction d’une pile de test à 5 cylindres.
Voir notes pour la pile de test à 4 cylindres.
D5. Construction d’une pile de voiture à 5 cylindres.
Les variantes sont assez nombreuses. Les plus évidentes sont la composition des espaceurs et des isolants. J’en
ai déjà parlé et je ne me répèterai pas. Nous avons un choix dans la manière de „joindre” le cylindre extérieur avec les
cônes ou dômes ou plaques. Nous avons un choix quant au mécanisme de fixation des cylindres intérieurs. Nous avons
un choix quant à la forme géométrique des „capots” du haut et du fond. Nous avons un choix dans la manière dont
nous attachons le boulon de ½ pouce au tube de 1 pouce. Nous avons un choix quant au type de raccord de
l’échappement de la pile.
E. Assemblage
E1. Cuve de chargement.
Il y a différentes versions de la cuve de chargement. Barry Hilton a minutieusement couvert cette question dans
son livre. Je suggère aux lecteurs d’y jeter un coup d’oeil pour décider de la version qu’ils veulent construire. De toute
manière, excepté par leur taille et par quelques détails mineurs, les cuves sont très semblables. Celle que je vais décrire
est ma version et correspond aux listes de pièces qui précèdent. Je ferais court, en supposant que vous avez regardé le
livre de Barry. Comme vous pouvez le voir, les photos rendent la construction très claire. (Voir figures 5, 6, 7, 9, et
10.)
E1a.
Je donnerai quelques indications qui peuvent ne pas être claires sur les photographies :
Enlevez la tête métallique de la tige du rivet aveugle, car elle n’est pas en acier inoxydable et sera donc
magnétique et rouillera.
La bande d’acier inoxydable des deux cônes négatifs ne doit pas être coupée, elle est ainsi une longueur
continue.
La fonction des joints toriques est de permettre aux gaz libérés par l’électrolyse de passer par les trous
centraux irrégulièrement découpés sur les cônes. Placez un joint torique de chaque côté des espaceurs en32
Nylon. L’ordre sera donc : un cône, un joint torique, un espaceur en Nylon, un joint torique et finalement le
cône suivant, et ainsi de suite avec le prochain joint torique etc, jusqu’à ce que vous ayez complété la pile de
cônes.
Comme vous pouvez le voir, je passe très brièvement sur cette section, en supposant que la plupart des lecteurs
ne vont pas construire une cuve de chargement ; s’ils l’ont construite, il y a déjà suffisamment d’informations ci-dessus
si vous étudiez les photos et le livre de Barry.
E2. La pile de test à 4 cylindres.
Je ne m’occupe pas de cette pile de test, car c’est la même que la pile de test à 5 cylindres, moins un cylindre.
E3. La pile de voiture à 4 cylindres.
Je ne m’occupe pas de cette pile de voiture, car c’est la même que la pile de voiture à 5 cylindres, moins un
cylindre. J’ai cependant fourni de nombreuses vues photographiques de cette construction. (Voir figures 11, 12, 13, 14,
15, 16.)
E4. La pile de test à 5 cylindres.
E4a. La pile de test à 5 cylindres est semblable à la pile de voiture à 5 cylindres décrite en E5 plus bas.
Lorsque vous finissez le sous-assemblage de vos 5 cylindres comme en E5c, placez-le de côté et passez à l’étape
suivante.
E4b. Faites perforer un trou de la taille appropriée au fond du bocal, de manière à correspondre à la rondelle
évoquée en E5e. Je perce mon propre trou dans le verre, en utilisant un tube de cuivre d’un diamètre extérieur de la
bonne taille. J’attache ce tube de cuivre à un foret tournant lentement et je lubrifie le bord tranchant du cuivre avec un
mélange de kérosène et d’une pâte abrasive fine pour valves. La pâte abrasive peut être obtenu dans n’importe quel
magasin d’accessoires automobiles. Allez-y doucement et ajoutez fréquemment de la nouvelle pâte de découpe. La
hâte signifie un bocal brisé, alors ne dites pas que je ne vous ai pas prévenus. Quand vous avez fini, débarrassez-vous
proprement du verre moulu, de la pâte, etc.
E4c. Assemblez le sous-assemblage de cylindres au bocal en verre en procédant comme pour l’assemblage de
la pile de voiture. Ne serez pas trop fort l’écrou. Remplir d’eau juvénile, testez les fuites, etc.
E5. Pile de voiture à 5 cylindres.
E5a. Plutôt que de m’occuper de la construction de types de pile de Marque 1, Marque 2, Marque 3, etc, je
parlerai de la construction d’une pile de 5 cylindres que je considère comme étant le „meilleur” du type simple
d’accumulateurs d’orgone que nous avons appelé pile Joe. Je ne vois pas l’intérêt de s’occuper des autres variantes de
types simples de piles à 5 cylindres, pour finir par vous dire de construire celle que je vais vous décrire.
E5b. Assurez-vous que vos mains ne sont pas grasses et re-vérifiez que tous les cylindres sont propres.
Procurez-vous une planche à découper de cuisine, un morceau de MDF, d’aggloméré ou n’importe quelle surface douce
et plane. Nous assemblerons la pile à l’envers sur cette surface plate, car cela nous assurera que la pile achevée sera
plate au niveau du sommet des cylindres, autrement dit le côté qui est sur la surface plate (c’est là la zone critique).
Comme vos cylindres ne vont pas être parfaitement identiques en longueur, cette méthode déplacera aussi les
irrégularités vers le fond de la pile, où cela n’a pas autant d’importance.
La première étape consiste à préparer notre boulon de ½ pouce, de sorte que la tête hexagonale soit serrée à
bloc dans l’une des extrémités du cylindre de 1 pouce. (Voir figure 12.) Une quantité minimale est limée et
arrachée à la tête hexagonale pour que la tête du boulon s’insère avec une étroite interférence dans le tube. J’ai
vu des boulons à tête inaltérable martelés dans le tuyau ; en fonction du boulon cela peut causé une déformation
hexagonale du tube là où le boulon a été enfoncé de force. Ca marche encore bien, mais ça n’est pas plaisant
esthétiquement. Si vous accomplissez cette tâche correctement, il y aura un minimum de distorsion à l’extérieur33
du tube et l’eau pourra couler facilement dedans et hors du tube par les applats hexagonaux de la tête du boulon,
qui ne touchent pas les parois internes du tube.
Si la tête du boulon a du jeu dans le tube, vous pouvez percer un trou à travers le côté du tube et légèrement
dans le côté de la tête du boulon à l’intérieur du tube. Utilisez un soudeur Tig pour remplir le trou et usinez à
nouveau le tube pour qu’il ait une surface normale. Vous aurez besoin de traiter thermiquement l’assemblage
pour réduire le paramagnétisme induit par la soudure Tig.
La tête du boulon est pressée dans le tube jusqu’à ce que le bas de la tête soit rentrée d’un ¼ de pouce (6 mm)
dans le tube (voir figure 12). Si vous regardez dans le tube, vous devez voir des ouvertures adéquates pour que
l’eau soit capable de couler facilement dans et hors du tube par les applats hexagonaux de la tête du boulon ou
par les rainures, car elles ne touchent pas les parois intérieures du tube.
Lorsque j’ai fini le travail au tour, toute la forme hexagonale est enlevée de la tête du boulon, je meule alors 3
rainures sur la tête avec ma meuleuse d’angle pour fournir des canaux à l’écoulement de l’eau. Lorsque vous
roulez le tube de 1 pouce sur une surface plane, la tige du boulon devrait rouler sans oscillation/branlement.
Cela prouve que vous avez honnêtement pressé la tête de boulon dans le tube. Il est facile de guider des
boulons dans le tube sans les maintenir concentriques avec le tube. Le résultat final est que l’assemblage entier
des cylindres intérieurs serait de travers et interfèrerait avec la germination correcte de la pile.
E5c. Maintenant, prenez votre tube de 1 pouce et placez-le droit sur votre planche d’assemblage, avec
(évidemment) le boulon vers vous (vers le haut). Rappelez-vous que l’extrémité du tube qui est sur la planche finira au
sommet de l’assemblage des cylindres intérieurs. Prenez votre tube de 2 pouces, glissez-le par-dessus le tube de 1
pouce et positionnez-le de telle sorte qu’il y ait un écart égal entre le tube de 2 pouces et le tube de 1 pouce. En
construisant votre assemblage de cylindres intérieurs, vous répèterez cette étape avec vos cylindres de 3 et 4 pouces.
Prenez 3 de vos espaceurs isolants de ½ pouce (12 mm) de long (voir figure 15, 18) et insérez-les de force
dans l’écart entre les tubes avec un espacement de 120°. Poussez vos espaceurs isolants dans le tube jusqu’à ce
qu’ils soient à ¼ de pouce (6 mm) sous le bord du tube. Comme j’utilise des espaceurs d’ébonite de ½ pouce, je
dois limer un plat pour réduire le diamètre total de l’ébonite, avant de les presser dans le tube. Je place ce plat
longitudinal vers la surface convexe ou extérieure du cylindre pour avoir une meilleure adhérence. Si vous
utilisez de la tige de Teflon ou de Nylon, vous aurez à façonner ce facteur de tolérance sur votre tige avant de la
découper en espaceurs de ½ pouce. Naturellement, ce problème n’existe pas avec le tuyau de caoutchouc ou
tout autre matériau malléable. Vous verrez que, si vous utilisez un matériau malléable, avec le temps, vos
cylindres s’affaisseront et vous perdrez l’alignement critique des niveaux de vos cylindres intérieurs. Dans ce
cas, je vous suggèrerais de fabriquer un peigne de fixation de l’assemblage sous les cylindres, pour les
maintenir. J’en ai fabriqué en Perspex (acrylique) et ils ressemblent à un peigne avec les dents vers le haut. Les
cylindres s’ajustent aux racines de ces dents, la largeur des dents correspondant à l’écart séparant les cylindres
adjacents. Faites attention s’il vous plaît au type et à la quantité d’acrylique que vous utilisez. De nombreux
expérimentateurs ont trouvé que certaines qualités d’acrylique pouvaient „court-circuiter” les cylindres
lorsqu’elles étaient utilisées comme séparateurs ou moyen de fixation.
Maintenant, vous renversez votre tube de 1 pouce et vous faites comme ci-dessus avec les 3 isolants d’en
haut. Comme le corps du boulon vous gêne évidemment lorsque vous essayez de placer le tube sur votre
surface plane, vous aurez à percer un trou d’un ½ pouce dans la planche d’assemblage. J’espère que ça n’est pas
la superbe planche à découper de votre femme ou de votre petite amie ! Donc, le produit fini est un cylindre de
2 pouces fixé par 3 espaceurs en haut et 3 en bas, avec une surface supérieure absolument plate.
La procédure ci-dessus est répétée pour vos tubes de 2 à 3 pouces, puis pour vos tubes de 3 à 4 pouces. Je
trouve que pour les tubes de 3 à 4 pouces, il est mieux d’utiliser 4 isolants à chaque bout, donc un total de 8 au
lieu de 6 espaceurs. La raison en est que le diamètre plus large du tube de 4 pouces permets maintenant une
flexion considérable et 3 isolants à chaque bout ne sont pas suffisant pour un ajustement ferme.
Il n’y a pas de magie dans l’alignement des rangées d’isolants entre les tubes. Certains perfectionnistes
insistent pour avoir 3 lignes radiales (comme trois rayons d’une roue de vélo), rayonnant à partir du centre avec
un espacement de 120°. Je n’ai pas trouvé cela critique/décisif. Vous avez maintenant complété le sousassemblage des cylindres intérieurs.
La dernière étape est de remettre l’assemblage sur votre surface plane, le haut de la pile vers le bas et le boulon
pointant vers le haut. Là, avec un maillet en bois ou en caoutchouc, frappez doucement les rebords de tous les
cylindres, de manière à forcer la surface supérieure (pour l’instant posée sur votre surface plane) à être parfaitement
plate. Très bien, mettez de côté ce sous-assemblage et avançons.
E5d. Pour assembler la boîte extérieure de la pile, les opérations de soudure et d’usinage décrite ci-dessous
sont nécessaires.34
Faites souder le sommet de votre cône à la bague de
compression qui sera la connection avec le tube qui va
au moteur. Je suggère de concevoir votre bague de
compression pour qu’elle s’adapte à un tube d’un
diamètre extérieur de 1 pouce (24 mm). De cette façon,
tous les membres du club ou de groupes plus larges
seront à même d’échanger les piles lorsqu’ils aideront
les autres lors de la conversion de leur voiture. Après
cette soudure, ôtez les ébarbures laissées par l’opération
de soudure. Meulez et polissez cette jonction, pour que
la transition interne entre le cône et le raccord
d’échappement soit aussi douce que vous le pouvez,
sans opérations ridiculement fastidieuses. Vérifiez que
ce joint est étanche à l’eau.
Emmanchez à force votre filetage modifié à l’une des
extrémités du cylindre de 5 pouces, en vous assurant
que le cylindre de 5 pouces dépasse légèrement sous ce
filetage mâle, afin qu’il y ait un contact de métal à métal
avec le couvercle inférieur lorsqu’ils sont assemblés et que l’écrou de 5 pouces est vissé. Cette étape doit aussi
permettre une compression raisonnable du joint torique. (Voir figure 19.)
Faites souder le cône à l’autre extrémité du cylindre de 5 pouces. Comme lors de l’étape précédente, assurezvous que la transition du cône au cylindre extérieur soit douce à l’intérieur. Vérifiez que le joint soit étanche à
l’eau. (Voir figure 16 et 25.)
Lors de cette étape, faites traiter thermiquement votre assemblage extérieur pour ôter le paramagnétisme des
opérations de soudure. Je ne le fais pas, j’utilise l’unité telle qu’elle est achevée après les soudures et la pile
fonctionne bien, mais pour garantir le succès de votre pile, je vous recommande fortement l’étape du traitement
thermique. Lorsque l’unité revient de chez les gens du traitement thermique, repolissez-en légèrement
l’extérieur et l’intérieur.
Aussi, à cette étape, enduisez d’un collier d’Araldite 24H (ou colle similaire) la jonction seulement extérieure
de l’anneau fileté pressé et du cylindre de 5 pouces. Cela vous assure que vous n’aurez pas de suintement d’électrolyte
venant de cet emmanchement à force. Cela achève la construction de la boîte extérieure. Placez-la près de votre
assemblage de cylindres intérieurs et avançons. (Voir figure 16.)
E5e. Tout ce qu’il reste à faire est de finir le couvercle inférieur et le système de fixation du boulon de ½
pouce. Au milieu du couvercle inférieur, vous aurez besoin d’un trou qui soit d’un diamètre ½ pouce (12 mm) plus
large que le diamètre de la tige du boulon. Donc, par exemple, si la tige de votre boulon était d’un diamètre de ½
pouce, vous percerez un trou de 1 pouce dans le couvercle inférieur. Cela permet un écart de ¼ de pouce (6 mm) qui
sera rempli avec votre rondelle isolante intérieure.
Fig.19 – Pile, 5 cylindres. Une vue du filetage emanché à
force. Remarquez la position. Le cylindre externe et le
couvercle de la base doivent être ajustés métal sur métal.
Fig.20 – Pile, 5 cylindres. Tous les composants requis pour la construction de la connection négative au cylindre central de 1 pouce.35
Vous avez maintenant besoin d’une
longueur de 1 pouce (25 mm) de tuyau
épais, que vous pousserez sur le boulon
jusqu’à ce qu’il touche le bord inférieur de
la tête du boulon.
L’étape suivante consiste à fabriquer
deux rondelles d’isolation en Nylon,
Teflon, etc. La rondelle intérieure sera une
rondelle décolletée (voir figure 21). Le
palier de petit diamètre de cette rondelle
aura un diamètre de 1 pouce et assez
profond pour être presque aussi épais que
l’épaisseur du matériau du couvercle. Le
diamètre extérieur de cette rondelle
décolletée n’est pas critique, donc environ
1,5 pouce sera bien.
L’épaisseur de ce diamètre large
correspond à la distance à laquelle le boulon est
inséré dans le tube de 1 pouce. Donc, ¼ de pouce
(6 mm) est nécessaire dans notre exemple. Cela aura pour résultat que l’assemblage des cylindres intérieurs sera 1
pouce au-dessus du couvercle inférieur. Cet isolant a un trou central percé à travers lui pour correspondre exactement
au diamètre de la tige du boulon choisi. Un ajustement serré à cet endroit minimisera la perte d’eau par le boulon, donc
hors de la pile. L’isolant qui est sur le
boulon à l’extérieur du couvercle
inférieur est plus facile à faire. Il devrait
être d’une épaisseur d’environ ¼ de
pouce (6 mm) et d’une largeur de 1,5
pouce. Le trou au centre est percé de
manière à correspondre au diamètre de la
tige du boulon.
E5f. Assemblez maintenant l’ensemble des cylindres intérieurs à la plaque-couvercle inférieure. Avec des
mains propres, placez l’ensemble des cylindres intérieurs la tête en bas, le boulon en haut, sur votre plan de travail. Si
ce n’est pas déjà fait, glissez votre manche d’écartement de 1 pouce de long sur le boulon. Puis appliquez de la
Vaseline (gelée de pétrole) généreusement tout autour de la tige du boulon et de la rondelle intérieure. Placez la
rondelle intérieure sur le boulon, de manière à ce que le palier de petit diamètre vous fasse face, et couvrez
généreusement ce palier avec encore de la Vaseline. Maintenant, placez le couvercle inférieur sur le boulon de façon
correcte, de sorte que le palier de 1 pouce de l’isolant intérieur s’ajuste dans le trou de 1 pouce du couvercle inférieur.
Appliquez encore une fois de la Vaseline avec prodigalité sur l’isolant externe, puis glissez-le autour du boulon.
Ensuite, mettez votre rondelle, la cosse électrique et l’écrou sur le boulon (voir figure 23). Serrez l’écrou plus fort qu’un
serrage manuel mais pas excessivement. Vérifiez votre bricolage, assurez-vous d’enlever l’excès de Vaseline en vous
assurant aussi de ne pas en mettre sur les cylindres ou sur l’intérieur de la plaque-couvercle.
E5g. Prenez votre boîte externe, vaselinez le joint torique et installez-le dans la rainure du filetage mâle de 5
pouces. Abaissez votre ensemble intérieur complété et assurez-vous que la plaque du couvercle inférieur s’ajuste
confortablement dans le tube extérieur de 5 pouce, sans déranger le joint torique. Prenez votre écrou de 5 pouce et
vissez-le sur le filetage. Utilisez une force raisonnable pour visser cet écrou.
Fig.24 – Pile, 5 cylindres. Une vue de la construction du cylindre central.
Fig.21 – Pile, 5 cylindres.
L’assemblage correct des
composants du boulon du
cylindre central.36
E5h. Remplissez la pile droite jusqu’à ras bord avec de l’eau juvénile et laissez-la passer une nuit en un endroit
ou sur une surface où vous pourrez voir s’il y a des fuites. S’il n’y a pas de fuites, déversez l’eau et donnez-vous une
tape dans le dos. Pourquoi ? Parce que vous avez fini. Vous pouvez désormais y mettre de l’eau juvénile fraîche
jusqu’au niveau correct et commencer vos opérations de chargement. Ca avance !
Fig.23 – Pile, 5 cylindres. L’assemblage complet des cylindres.
Fig.25 – Pile, 5 cylindres. Pile
complétée. Remarquez que la
bague de compression
d’échappement est manquante.37
Chapitre 6
„La Nature est l’incarnation des mathématiques les plus simples concevables.” –
Albert Einstein.
PROPORTION DIAMETRE DU GERME / HAUTEUR
Pour calculer la hauteur des cylindres en vue de l’efficience maximum, procédez comme suit :- Comme nous en parlerons plus en détails dans le chapitre intitulé : „Charger l’eau”, assurez-vous que vous
obtenez, s’écoulant à travers la pile, le courant de test que vous avez choisi. Normalement, j’ajuste mon électrolyte
pour obtenir un courant répétable de 1 Ampère avec 12 Volts à travers la pile.- Placez un voltage connu à travers le cylindre le plus interne et le cylindre le plus externe. Pour l’usage en
voiture, je suggère 12 Volts d’une batterie d’automobile ou l’équivalent. Le négatif va au fond intérieur du cylindre le
plus interne (normalement 1” de diamètre), et le positif va au sommet extérieur du cylindre le plus externe,
(normalement 4” ou 5” de diamètre). Mesurez précisément le voltage !- Maintenant laissez un câble du voltmètre sur le cylindre interne, et avec l’autre câble, trouvez le point de
moitié de voltage radialement depuis le cylindre interne vers un point dans l’eau. Faites de votre mieux pour
mémoriser ce point. Maintenant, placez un câble du voltmètre sur le cylindre extérieur et avec l’autre câble, trouvez le
point de moitié de voltage radialement vers le cylindre intérieur. Notez ce point. Il sera proche du premier point
mesuré, mais pas nécessairement au même point ! S’il y a une différence, divisez en deux cette différence et
enregistrez.- Mesurez diamétralement la distance du centre du cylindre le plus interne au point de moitié de voltage
mesurés, plus la différence, s’il y en a une. Doublez cette mesure ! Cela est le diamètre de la circonférence du „germe”.
Par exemple, sur une pile de cylindres 4,3,2,1, le diamètre total était de 2,24” et pour une pile de cylindres 5,4,3,2,1, la
distance totale était de 2,83”.- En utilisant le logarithme naturel de la hauteur du cylindre, nous pouvons interpoler et calculer notre
hauteur optimale de cylindre.
La formule est : h = e à la puissance de d (h= hauteur du cylindre, e=2,718281…, d=diamètre de germe). Toutes
les mesures doivent être en pouces. J’ai calculé pour vous quelques valeurs de taille standards, afin que vous puissiez
calculer facilement votre valeur à partir du tableau suivant (1 pouce = 25,4 mm) :38- Dans l’exemple évoqué en 4. ci-dessus, nous utiliserons des cylindres intérieurs d’environ 9,4” de haut pour
une pile de 4 cylindres, et nous utiliserons des cylindres de 17” pour une pile de 5 cylindres. Si cette hauteur est trop
longue pour vous, vous pouvez utiliser le sous-multiple suivant pour des cylindres plus longs, c’est-à-dire 8,5” pour les
cylindres de 17”, etc. Il y a une perte correspondante pour la production „génératrice”, mais tant que votre pile n’est
pas trop fuyante et que vous ne voyagez pas dans une bande à bas niveau d’orgone, vous devriez vous en sortir.- En aucun cas vous ne devriez utiliser des cylindres intérieurs d’une longueur inférieure à 7” pour les
moteurs automobiles de cylindrée plus commune. Bien sûr, pour la pile de test, vous serez capable de vous en tirer
avec des cylindres de plus petite surface. J’utilise des cylindres de 5 pouces (125 mm) de haut dans ma pile de test, car
cela me permet d’utiliser moins d’eau dans mes expériences.
Note finale sur les Dimensions de la Pile
Beaucoup de piles ont été construites sans utiliser ou même connaître le tableau ci-dessus. Elles fonctionnent
toutes à un degré variable, suffisamment pour faire démarrer une voiture.
Une loi simple et fiable qui fonctionne :
Pour une pile de 0/4 cylindres – utilisez des cylindres intérieurs de 7 pouces de long et un cylindre extérieur
de 9 pouces de long.
Pour une pile de 5 cylindres – utilisez des cylindres intérieurs de 8 pouces de long et un cylindre extérieur de
10 pouces de long.
Hauteur du cylindre Diamètre de germe Hauteur du cylindre Diamètre de germe
6 pouces 1.79 pouces 13 pouces 2.56 pouces
6.5 1.87 13.5 2.60
7 1.95 14 2.64
7.5 2.01 14.5 2.67
8 2.08 15 2.71
8.5 2.14 15.5 2.74
9 2.20 16 2.77
9.5 2.25 16.5 2.80
10 2.30 17 2.83
10.5 2.35 17.5 2.86
11 2.40 18 2.89
11.5 2.44 18.5 2.92
12 2.48 19 2.94
12.5 2.53 19.5 2.97
21 3.0039
Chapitre 7
„L’eau est une substance vivante.” – Viktor Schauberger.
LE TYPE D’EAU ET SA RELATION À LA PILE
Nous avons vu dans le Chapitre 3 qui parlait de la polarité de l’orgone, que nous avons le choix entre :
1- de l’orgone négative
2- de l’orgone positive ou
3- une combinaison des deux.
Les piles à orgone de polarités combinées sont plus adaptées à l’usage dans de réels moteurs à orgone et
„appareils anti-gravité” comme en utilisent les gens qui savent. Cependant, les fonds, le temps et les permissions pour
ces usages sont étrangers au royaume de l’expérimentateur de jardin normal, donc en ce qui concerne ces notes, biffez
cette option.
Une pile positive aurait besoin d’alcalis, d’isolants différents, d’acier inoxydable 316S et d’une eau avec un pH
naturel de 7 ou plus. Pour beaucoup de raisons, je n’ai pas choisi d’aller dans cette direction.
Comme je l’expliquerai brièvement, je choisis de fabriquer seulement des piles négatives, et ces notes sont
basées sur la construction de piles négatives. Ne lisez pas „négatif” comme moins bon que positif. Ils accomplissent
des fonctions identiques, la seule différence est que nous prenons place du côté gauche d’une bascule et non du côté
droit.
Qu’est-ce que je veux dire par piles négative et positive ? Pour le dire simplement, une pile négative est basée
sur de l’eau acide et les matériaux correspondants, et une pile positive est basée sur de l’eau alcaline et les matériaux
correspondants.
Le type d’eau
Comme l’ont découvert de nombreux expérimentateurs et des gens saints, l’orgone, ou la force vitale, aime ou a
une grande affinité pour l’eau. Fort bien, sans quoi nous et le reste des créatures „vivantes” de cette planète ne serions
pas là. Donc, le premier pas dans notre quête pour construire un accumulateur est de fournir à ce que nous essayons
d’accumuler, quel qu’il soit, un récipient ou une aire où nous pourrons accomplir cette tâche. Okay, en ce qui me
concerne, j’essaie d’accumuler l’énergie d’orgone. Donc le but du jeu pour moi est de fournir le lieu le plus attractif et
plaisant dans lequel cette énergie puisse se rassembler. Alors je suis capable de concentrer, focaliser et utiliser l’énergie
avant de la libérer finalement à nouveau vers là d’où elle vient.
Si nous supposons pour le moment que l’orgone sera accumulé par l’eau, la question suivante est évidente : quel
type d’eau, dans quel type de récipient et de quelle largeur cela devrait être ? etc. Ici les expérimentateurs sont partis
dans toutes les directions, ce qui a donné lieu au développement de toute une mythologie pour experts de salon qui
montrent la voie aux „aveugles”. Laissez-moi affirmer dès le départ que Reich et d’autres ont passé leurs vies à nous
dire comment et quoi faire. J’ai compilé une grande quantité d’informations scientifiques et de ce fait, je me tiens sur
beaucoup de grandes épaules qui sont passées avant moi pour me donner une meilleure vue sur le problème, et je ne
revendique aucun mérite. Le seul mérite que je revendique est que je me suis levé de mon derrière et que j’ai
effectivement fait quelque chose avec ces informations. Donc en faisant, je sais maintenant, comme vous saurez
lorsque vous construirez vos propres piles.
Puisque je m’occupe d’énergies vivantes, il me paraît totalement sensé d’accumuler ces énergies dans un milieu
de leur choix, c’est-à-dire dans de l’eau vivante ! Toute eau n’est pas seulement de la bonne vieille eau, pas plus que
toutes les eaux pures ne sont les mêmes, ni même pures. Malheureusement, l’expérimentateur s’empare du mot „pur” et
immédiatement lui viennent en tête des images d’eau „pure” comme l’eau du supermarché local, de l’eau distillée ou de
l’eau de pluie, ou bien sa favorite eau filtrée du robinet. Non, non, non ! J’insiste lourdement volontairement là-dessus,
car c’est un point critique de la construction de piles germant et générant facilement, et fuyant faiblement. Trouvez de
la bonne eau ou bien arrêtez de lire ceci et utilisez ces notes pour allumer un feu.40
Bon, vous vous dites, avançons, qu’est-ce que c’est que cette eau magique ? „De l’eau pure” signifie qu’elle n’a
pas été affectée par aucun des processus suivants :
Cette chère vieille humanité n’a aucune chance d’ „aider” l’eau à s’améliorer avec des additifs.
L’eau n’a pas traîné dans des tuyaux en métal ou en ciment avant que nous voulions l’utiliser.
Elle n’a pas été mise en pièces et déchiquetée par des turbines et des pompes.
Elle n’a pas stagné immobile au soleil.
Elle n’a pas coulé près de routes, où les résidus de combustion et métaux lourds de toutes les voitures lui
seraient tombés dedans.
Elle n’a pas coulé sous une ligne électrique à haute-tension.
Elle n’a pas reçu toutes les eaux usées de milliers de maisons qui y déversent leurs toxines.
Elle n’a pas reçu les polluants et déchets de milliers de routes et de rues.
Vous devez commencer à piger, je pense. L’eau que vous buvez de votre robinet est morte. L’eau distillée est
morte. L’eau en citerne venant des toits, etc, peut être morte et toxique. L’eau que vous achetez au supermarché est
morte. Et l’eau de rivière ou de ruisseau que vous pouvez obtenir en aval après qu’elle soit passée à travers des villes et
des cités est aussi inutile.
J’utilise ce que j’appelle de l’eau Juvénile ou vierge. Je désigne ainsi l’eau que je peux obtenir au
commencement des rivières et ruisseaux. L’eau juvénile est comme un enfant recherchant de nouvelles expériences
tandis qu’elle bondit, roule, tourbillonne et court sur des chemins ombragés, rocailleux et choisis par elle-même. Elle
est le sang de la Mère Terre, une chose vivante. Elle a la capacité d’emmagasiner ces souvenirs „plaisants” ou
fréquences bénéfiques pour la vie. Je n’ai pas besoin de raconter aux lecteurs comme est froid et revigorant un cours
d’eau de montagne. C’est la bonne eau ! Nous ne voulons pas l’eau après qu’elle ait expérimenté les souvenirs et donc
les fréquences de l’ „aide” de l’humanité, à moins d’être capable de lui enlever ces souvenirs-détritus.
J’ai mon lieu de captage d’eau favori bien loin de
Melbourne, Australie, là où toutes les conditions
mentionnées sont réunies. Il n’y a pas de routes, par de
lignes électriques, barrages, tuyaux ou d’autres
intrusions faites de la main de l’homme. L’eau coule
comme et où elle veut dans les chemins naturels,
spiralants et en pente qu’elle a créés. L’endroit entier est
vert toute l’année et vous pouvez sentir la vitalité de la
Nature au travail. Absolument beau ! Pas étonnant que
les villageois des montagnes vivent si longtemps.
De „Living Water”, un livre de Olof Alexandersson :
„…Schauberger n’approuvait pas l’eau souterraine pompée comme eau potable. Cette eau forcée artificiellement
à remonter des profondeurs était „immature” – elle n’était pas encore passée à travers son cycle naturel entier, et par
conséquent aurait été à long terme nuisible pour l’homme, les animaux et même les plantes. Seule l’eau qui sort ellemême du sol sous la forme d’une source et d’un cours d’eau, est convenable comme eau de boisson… L’eau s’écoulant
d’une source naturelle, particulièrement d’une fontaine de montagne, agit d’une façon très différente.
Schauberger a découvert que si l’on avait bu un litre de cette eau – ce qui devrait donc augmenter le poids du
corps d’environ un kilo – l’accroissement de poids net était en fait de seulement 300g-400g. L’eau restante doit avoir
été converti directement en énergie par le corps, expliquant ainsi la qualité incroyablement stimulante que cette eau
donne…”
Encore une fois, ce qui précède montre la différence en contenu énergétique de différentes eaux. Si nous relions
ce contenu énergétique à l’entropie négative que l’énergie d’orgone possède, nous pouvons facilement voir comment
elle combat ainsi l’entropie positive ou la mort, comme s’efforcent de le faire tous les corps. Dit autrement, nous
vivons, comme le fait aussi la pile Joe, du fait de l’énergie d’orgone qu’elle recueille sous différentes formes, dont l’eau.
Fig.42 – Une vue de deux récipients de
20l en Pyrex, pour conserver l’eau
juvénile. Normalement ces récipients
sont couverts de feutre pourpre.41
Je voudrais faire la distinction entre le terme de Schauberger „immature” et mon terme „juvénile”.
- L’eau juvénile – est de l’eau mature avant qu’elle soit influencée par les mauvais souvenirs (fréquences) que
cette bonne vieille humanité fournit.- L’eau immature – est de l’eau qui n’a pas enregistré les fréquences essentielles que Mère Nature fournit. De ce
fait, l’eau immature n’est pas ce que vous devriez essayer d’obtenir si vous voulez une germination et une génération
rapide dans vos piles.
pH
L’eau que j’utilise dans son état naturel a un pH de
6,5. Cela signifie qu’elle est légèrement acide et parfaite
pour les piles négatives que je fabrique. J’apporte cette eau à
la maison en m’assurant que je la protège de brusqueries
excessives et de la chaleur de la lumière solaire pendant
qu’elle est dans ma voiture. A la maison, je la conserve dans
des bouteilles en Pyrex de 20 litres. Ne la conservez pas
dans des récipients en plastique, même s’il est écrit dessus
convient pour l’eau. Des récipients en terre ou en bois
seraient aussi très convenables.
Donc, la première chose dont vous avez besoin
lorsque vous trouvez votre propre lieu magique est d’un peu
de papier Litmus 0-14 (papier de tournesol). C’est
relativement bon marché et vous pouvez en obtenir une
petite quantité chez le fournisseur de piscine le plus proche
de chez vous. Il n’y a pas besoin d’acheter un pHmètre à
1000$, précis aux zillions de décimales près. Tout ce que
vous voulez savoir est si l’eau est alcaline ou acide.
L’eau sera soit :
A. Neutre, c’est-à-dire d’un pH d’à peu près 7. Dans ce cas, le niveau d’ion est trop bas pour l’électrolyse et
vous devrez ajouter de l’électrolyte (voir Note sur Science Parfaite ci-dessous).
B. Acide, c’est-à-dire d’un pH variant entre 7 et 1. C’est ce dont nous avons besoin pour une pile négative.
Prenez-en un peu et rapportez-la à la maison.
C. Alcaline, c’est-à-dire d’un pH variant entre 7 et 14. Vous pouvez faire une pile positive avec cette eau,
comme le font beaucoup de gens. Personnellement, cela ne m’intéresse pas et je ne m’occuperai donc pas de la
construction d’une pile positive dans ces notes.
Méfiez-vous d’une eau juvénile avec un pH de 5 ou moins, car le niveau d’acidité naturel dans l’eau devient trop
haut à cause des polluants ou d’une haute concentration en minéraux. Je n’ai jamais personnellement utilisé de telles
eaux et je ne peux offrir aucun conseil.
Dans la section sur la construction de la pile, je présente les étapes nécessaires pour amener cette eau à la juste
„force de travail”.
L’Eau de Science Parfaite
Je vous donnerai un bref résumé d’une conversation de Drunvalo Melchezidek, concernant de prodigieuses
nouvelles. La conversation entière peut être trouvée sur (http://www.perfectwaters.net/).
„… Certains maîtres Soufi en Turquie ont présenté au monde une eau qui semble être vivante. Cette eau a des
effets différents sur différentes choses. Elle semble avoir un effet optimal sur tout ce qu’elle touche.
… Cette eau est appelée eau super-ionisée. Une compagnie d’Istanbul, Turquie, a été fondée par Ihan Doyuk et
est appelée Science Parfaite (Perfect Science). Une usine de 48 millions de dollars a été construite en Turquie pour
produire 100 000 tonnes par jour de cette eau.
Fig.41 – Sur la gauche et au centre, une vue d’un type de filtre
à café que j’utilise pour filtrer l’eau courante. Au milieu un
rouleau de papier litmus d’échelle 1-14, pour tester le pH de
l’eau. Sur la droite un aimant rotatif pour tester le
paramagnétisme des composants en acier inoxydable.42
… La seule différence est le nombre d’électrons qui sont sur l’orbite extérieure. Elle a 3 électrons
supplémentaires sur l’orbite extérieure. Beaucoup de scientifiques, de physiciens et de chimistes du monde ont étudié
cela au cours de ces dernières années et ont gardé cela secret. Aucun d’entre eux… ne peut expliquer comment cela
se produit. Ils ne savent pas ! … Tout se passe comme si… cette eau était en vie et qu’elle savait ce qu’elle faisait !
… Si vous mettez des fils électriques dans l’eau super-ionisée, une ampoule s’allumera. Personne n’a jamais vu
ça avant. C’est impossible d’après tout ce que nous connaissons sur l’eau. Il y a un flux d’énergie électrique à travers
l’eau, qu’ils décrivent comme des électrons liquides.”
Ce qui est si excitant au sujet de l’extrait ci-dessus est que l’eau est conductrice avec un pH de 7 ! C’est
exactement ce dont l’expérimentateur de la pile Joe a besoin pour l’électrolyse de la pile Joe sans électrolyte.
Le résultat final est :
A – plus de dépôts,
B – un large flux d’ions,
C – moins d’entretien de la pile et une pile de loin supérieure en tant qu’accumulateur d’orgone.
Une citation récente de Michel Foisy (michel.foisy@transformacomm.com) est : 27 USD$ pour un gallon US
(3,78 l) et 8,50 USD$ pour les frais de port par avion. Ca vaut le coup d’y penser. Je vous donnerai par la suite un
rapport sur le progrès du lot que je suis en train de tester.
Gojuice
Un mélange typique et très convenable est décrit par le brevet des Etats-Unis n°5,231,954 par Gene. B. Stowe
sous la production d’une pile à hydrogène/oxygène. Pour les gens n’ayant pas Internet, je citerai brièvement la partie
intéressante :
„…une solution électrolytique peut être faite en mélangeant de petites quantités d’acide phosphorique (qualité alimentaire),
de perborate de sodium (pour fournir un supplément d’oxygène) et de l’acetanilide comme stabilisant, dans de l’eau déionisée ou
distillée. Les quantités de ces produits chimiques peuvent être variées dans des proportions plutôt large, le but étant de fournir un
flux de courant raisonnable entre les deux électrodes.”
Il continue (aux sections 6, 65 et plus) à expliquer une méthode typique de préparation de cette mixture. Je
vous suggère, si vous faites ce qui précède, d’utiliser votre eau juvénile pour la dilution et de laisser tomber le
stabiliseur, car il est cher et n’est pas essentiel à nos besoins. La mixture finale fonctionne extrêmement bien et vous
n’aurez qu’à ajouter une paire de cuillérée de Gojuice pour accomplir un courant de 1Amp à 12 Volts dans votre pile de
test ou de voiture.
Notes générales
Il devrait aller de soi que les constructeurs qui utilisent de l’eau sans en connaître le pH et qui la mélangent avec
différents produits chimiques, par exemple de la „soude caustique”, un alcalin populaire (probablement parce que
toutes les maisons en ont), et des isolants douteux, sont condamnés à l’échec. Les caustiques aiment tout simplement
mâchonner les isolants. Croyez-moi, restez-en aux acides doux.
Vous pouvez utiliser du vinaigre ou de l’acide acétique, comme ce que vous utilisez pour laver l’acier
inoxydable, ainsi vous ferez d’une pierre deux coups. Personnellement, j’ai mon propre mélange, que j’appelle Gojuice,
comme expliqué ci-dessus.
L’acide acétique ou le vinaigre sont bons, mais notez s’il-vous-plaît que si vous utilisez du vinaigre (étant
donné que la quantité de vinaigre ajoutée à la pile est assez large par volume), vous aurez à faire attention à ce que ce
vinaigre ait été fait avec de la „bonne” eau. C’est hautement impropable, donc cela devrait être utilisé en dernier
ressort.
Si vous utilisez de l’acide acétique, assurez-vous qu’il s’agit d’acide acétique à 90%. Si vous l’obtenez chez un
fournisseur de produits chimiques pour photographie, assurez-vous qu’il ne contient pas de stabilisateur ou
d’indicateur. C’est à cause de la nature douteuse de l’eau qui est utilisée pour le vinaigre et les produits acétiques que
j’ai pris le chemin de loin plus coûteux qui consiste à utiliser du Gojuice.
En conclusion, laissez-moi vous dire qu’il serait absolument stupide de prendre de l’eau naturellement acide
puis de l’électrolyser avec un produit chimique alcalin, pour ensuite vous plaindre de ce que vous obtenez des
formations de vase et que la pile ne marche pas.43
Chapitre 8
„Lorsque l’eau est agitée et mise en mouvement spiralé sur l’axe radial, à l’exclusion
de lumière, de chaleur et d’air, des forces diamagnétiques sont générées.” – Viktor
Schauberger
CHARGER L’EAU
Vous lisez ce chapitre parce que vous avez désormais un récipient rempli de la bonne eau et que vous êtes prêts
à la verser dans votre pile de test ou dans votre pile de voiture.
Préparation
Vous aurez besoin de ce qui suit :
Un multimètre avec une échelle d’ampérage qui puisse lire jusqu’à au moins 2 Ampères. Le même multimètre
ou un autre, qui puisse lire jusqu’à 20 Volts de courant continu. Le même multimètre ou un autre, qui puisse lire
jusqu’à au moins 10 Megaohms de résistance.
Un entonnoir avec un filtre intégré ou un entonnoir normal dans lequel vous placerez un filtre à café en
papier (voir figure 41 et 2).
L’électrolyte de votre choix.
Un espace de travail où la pile peut être laissée sans dérangement pour une période de temps, au pire jusqu’à
4 semaines. Je sais, je sais, vous êtes pressés ! Mais malheureusement pour vous, Mère Nature a un temps infini et elle
a le contrôle de ce projet.
Un couvercle ou quelque chose isolant la pile de l’air. Cela dit, je ne vous recommande pas une jointure
étanche à l’air, même un couvercle posé sans serrage sur votre bocal de test suffira. Le processus de germination et de
génération est embarrassé lorsqu’une trop grande partie du sommet de la pile est exposée à l’air. Tous les couvercles ne
sont pas les mêmes par leur capacité à faire obstruction à l’orgone, car les matériaux varient dans leurs effets. Si le
couvercle ne semble pas marcher, placez une couche de feuille d’aluminium (comme on en utilise dans les fours de
cuisine) sous le couvercle et utilisez le couvercle et la feuille comme une unité.
Un chargeur de batterie ou similaire, qui puisse fournir environ 4 Ampères à approximativement 12 Volts. La
plupart des chargeurs de batteries fournissent beaucoup plus mais, à ce niveau, cela n’est pas critique. Vous pouvez
vouloir utiliser alternativement une batterie 12 Volts pleinement chargée ou une alimentation électrique. Le but est
d’avoir un voltage reproductible avec une capacité de production de courant d’environ 2 Ampères.
Une paire de câbles que vous pouvez attacher de la source d’électricité à votre pile. Je vous suggère fortement
d’identifier vos câbles et cosses, de manière à ce que vous n’inversiez pas les polarités de votre pile. Nous voulons
toujours placer le fil négatif au fond du cylindre central et le fil positif au sommet du cylindre le plus extérieur.
Fig.39 – Une vue d’une alimentation électrique permettant de charger
séparément 4 piles à la fois, ou bien vous pouvez connectez
l’alimentation individuelle de 12V et avoir si nécessaire 24V, 36V ou
48V.
Fig.40 – 1-Vue d’un chargeur de 60V pour le chargement d’une pile en
utilisant de l’électrolyte. 2-En haut du chargeur pour batterie de voiture
se trouvent deux batteries 2V qui peuvent être utilisées pour maintenir
en vie la pile Joe lorsqu’elle n’est pas en fonction. 3-Chargeur de
batterie commun, qui peut être utilisé pour charger la pile.44
Le processus de charge
pH Le but est de modifier la conductivité de votre eau en lui ajoutant de l’acide (dans notre cas), de façon à
obtenir un courant convenable et répétable. Si nous utilisions de l’eau désionisée avec un pH de 7, nous n’aurions pas
de courant pour notre électrolyse et nous aurions à ajouter quelque chose pour augmenter la conductivité de l’eau.
Lorsque nous changeons notre pH soit plus haut que 7 (alcalin) soit plus bas (acide), notre courant augmentera. Ce qui
augmentera conséquemment le processus d’électrolyse en même temps que la chaleur résultante et le décapage du
métal des cylindres.
Nous essayons d’accomplir l’action d’électrolyse maximale avec la génération de chaleur minimale et aussi le
minimum de perte de métal de nos cylindres.
Comme nous ne nous intéressons dans ce manuel qu’aux piles acides, notre pH sera inférieur à 7. Vous verrez
que pour obtenir un courant de 1 Amp à 12 Volts, votre pH sera très proche de 2-3. L’importance de la lecture du pH
était seulement pertinente pendant l’étape du choix de l’eau (chapitre 7). Dans ce chapitre, nous n’utiliserons plus de
lecture du pH pendant le processus de chargement.
Au sujet du pH, un expérimentateur a découvert qu’il était capable, en utilisant un pHmètre digital très coûteux,
de dire l’état de la charge de la pile. Cette théorie n’est pas encore vérifiée à 100% pour l’instant, mais est mentionnée
pour être complet.
Etapes
- Placez votre pile sur un établi ou sur une pièce de matériau plastique, ou en dernier ressort sur un journal.
Nous essayons d’isoler la pile des voies métalliques qui pourraient empêcher le processus de germination.- Maintenant, avec votre multimètre réglé pour lire la résistance, de préférence sur le plus haute échelle de
résistance, notez la résistance mesurée entre le cylindre intérieur et le cylindre extérieur de votre pile. Cela devrait être
dans l’échelle haute des Mégaohms. Sinon, c’est que vos isolants sont conducteurs et que vous n’avez pas suivi les
recommandations précédentes pour la construction de votre pile. Ôtez les isolents fautifs, réassemblez prudemment,
mesurez et avancez.- Si tout est bon à l’étape précédente, remplissez la pile avec votre entonnoir équipé du filtre. Ensuite, et ceci
est critique, remplissez-là précisément jusqu’au niveau du sommet des cylindres, pas plus ! L’effet que vous voulez
créer est celui d’un jeu de cellules d’eau séparées par des cylindres métalliques. Ce sont-là vos chambres organiques et
non-organiques alternées. Bien sûr, la partie submergée de vos chambres est noyée, mais avec cette simple pile, le haut
fera tout le travail. Maintenant vous pouvez aussi comprendre pourquoi les cylindres doivent être parfaitement alignés
à leur sommet, sans quoi le ménisque formé par l’eau ne fonctionnerait pas et l’eau coulerait d’un compartiment à
l’autre.
Ce niveau est critique seulement durant le processus de germination, car nous avons besoin de capturer un
maximum d’orgone pour faire germer la pile. Naturellement, avec une pile chargée, l’eau se bouscule en tous sens
pendant que vous conduisez votre voiture. Joe a dit que pendant le chargement, l’eau trouverait son propre niveau, puis
n’utiliserait pas plus. Donc avec de longues périodes d’électrolyse, vous trouverez que le niveau décrit ci-dessus est
celui auquel cela s’arrêterait de toute façon. A ce niveau la pile serait capable de commencer à germer.
En utilisant ma méthode ainsi décrite, en commençant au niveau juste, vous ne gaspillerez pas des heures à
produire de la vapeur, de l’oxygène, de l’hydrogène et des dépôts chimiques comme résultats d’une électrolyse
superflue.- Allumer l’alimentation électrique et si elle est réglable, réglez-là sur 12 Volts.
Connectez la borne positive de votre alimentation au sommet du cylindre extérieur.
Connectez la borne négative de votre alimentation à l’une des bornes de votre multimètre, qui est réglé pour lire
un minimum de 2 Ampères.
Connectez l’autre borne du multimètre au fond du cylindre central. Ce que nous avons fait simplement est de
régler le multimètre pour lire tout courant électrique allant de la source de courant à votre pile. A cette étape, si votre
eau est proche d’un pH de 7, comme préalablement discuté, le courant sera de zéro ou bien dans la région basse des
milliamps. Si vous mesurez des Amps, vous avez quelque chose d’incorrect ! Contrairement à ce que vous disent les
„experts”, il est impossible de tirer un courant énorme à de l’eau pure (à moins qu’il ne s’agisse d’eau de Parfaite
Science). Pensez-y. Pour tirer ne serait-ce qu’un Ampère à 12 Volts, la résistance de l’eau devrait être, selon la loi des
Ohms, de 12 Ohms ! Pas moyen ! Vous faites quelque chose de travers. Trouvez le problème puis avancez.- En supposant que vous ne lisez que des milliamps, vous voulez maintenant introduire l’électrolyte pour
électrolyser votre pile. Le but est d’obtenir un courant standard pour votre électrolyse. Pour le faire, égouttez une petite
quantité de l’électrolyte de votre choix dans l’eau de la pile en remuant et observez en même temps l’Ampèremètre.45
Utilisez une tige en verre, en perspex ou une cheville en bois pour remuer. N’utilisez pas votre tournevis si pratique
pour remuer la peinture ! Jeter votre cheville en bois lorsque vous avez fini, car elle va absorber un peu de chimie.
Remuez doucement mais abondamment l’eau tandis que vous ajoutez l’électrolyte, sinon vous risquez d’en
ajoutez trop ! Arrêtez d’en ajouter lorsque le multimètre indique 1 Amp. Le niveau de votre eau risque de monter en
conséquence de l’ajout d’électrolyte. Enlevez un peu de l’eau pour ajuster le niveau. J’utilise une pipette, pour ne pas
déranger la pile. Enlevez assez d’eau pour exposer encore une fois juste le sommet des cylindres. A cette étape,
déconnectez votre multimètre et votre source de courant et faites un peu de nettoyage, car les prochaines étapes seront
de l’observation.
Le processus de charge est séparé en trois stades distinctes, que j’appelle Stade 1, 2 et 3. Ces stades ont
certaines différences manifestes et d’autres aussi plus subtiles. Avec l’expérience, vous saurez immédiatement si la pile
est chargée, mais lors de vos premières tentatives vous aurez à faire confiance à mes photographies et descriptions, ou
rendre visite à quelqu’un qui a une pile fonctionnelle. N’écoutez pas les scientifiques de salon. Un regard vaut un
millier de mots.
Pendant le reste du processus de chargement, vous ne ferez que connecter votre alimentation électrique à la pile
pour au maximum 5 minutes à chaque fois. Puisque l’orgone a environ 30 secondes de retard par rapport à l’électricité,
vous connaîtrez l’état de la pile en moins d’une minute. Ne soyez pas tentés de laisser la pile connectée à l’électricité
pendant de longues périodes ! Oui, je sais que vous êtes pressés et que plus est mieux, mais dans ce cas vous ne
génèrerez que de la chaleur, de la vapeur, un gaspillage d’électricité et une surchauffe de la pile. Vous pouvez
reconnaître les échecs en regardant leurs piles fonctionner non-stop pendant des jours, avec 20 amps ou plus,
transformant l’eau en vapeur, attaquant le métal des cylindres et finissant avec un baril plein d’écume. A quoi d’autre
vous attendez-vous ? Après tout, l’électrolyse dépend du temps et du courant. Si vous avez eu l’infortune de laisser
votre pile branchée sur un courant élevé pendant une longue période, vous avez probablement détruit vos cylindres.
Vous ne pouvez pas polir cette gravure de corrosion et ce décollage de plaques. Oui, jetez cette pile et recommencez
depuis le début. Je parie que vous ne le referez plus la prochaine fois !
DANGER ! Ne chargez pas une pile qui est totalement fermée ! La pile explosera, avec toutes les
conséquences relatives. Enlevez toujours le couvercle ou débranchez la pile de voiture avant de procéder à un
chargement. Je le répète, une fermeture étanche à l’air n’est pas nécessaire ! En aucun cas je ne prescris un récipient
étanche à l’air, quelle qu’en soit la forme.
Stade 1
Ce stade est simplement une bonne vieille électrolyse. Lorsqu’un courant continu passe à travers un liquide qui
contient des ions, des changements chimiques se produisent. Dans notre cas, vous verrez de petites bulles et un nuage
d’activité qui est plus grand près du côté externe du cylindre intérieur négatif. Les points d’observation importants sont
que l’activité est plus grande au plus près du cylindre central et devient progressivement moins grande à mesure que
l’on va vers l’extérieur par les différentes chambres formées par le reste des cylindres (voir figure 27 et 28). En outre,
un court moment après avoir coupé le courant, toute activité cesse, l’eau devient limpide et les bulles disparaissent.
Résumé du stade 1 : N’importe quel idiot et son chien arriveront au stade 1. Le secret est de ne pas
augmenter la dose d’électrolyte et donc le courant, ni de laisser la pile branchée pendant des jours. Soyez patient, ne
branchez la pile que 5 minutes tout au plus, puis éteignez l’alimentation électrique. Ôtez les câbles de la pile et mettez
le couvercle sur la pile de test, ou bien bloquez partiellement la sortie de la pile de voiture. Ca n’a pas besoin d’être
fermé hermétiquement !
Allez et faites autre chose. C’est comme attendre qu’un arbre pousse à partir de la graine. Faites cela sur une
base quotidienne pendant de nombreux jours, voire deux ou trois semaines si nécessaire, jusqu’à ce que vous arriviez
au stade 2. Vous verrez que plus l’eau est „vivante”, plus le processus de germination de la pile est rapide. J’ai aussi
constaté qu’en changeant la structure de l’eau de différentes manières, par exemple par des vortex, des secousses, des
filtrages, etc, vous pouvez accroître grandement la qualité de l’eau pour la rendre plus „vivante”.
Stade 2
Vous noterez maintenant que, au moment où vous mettez la pile sous tension, les bulles deviennent plus larges
et le nuage blanc de petites bulles dans l’eau sont bien plus petites ou plus transparentes. (Voir figure 29 et 30.) Au
stade 1 aussi, vous aviez l’action qui se produisait principalement à proximité du cylindre central. Maintenant les
bulles forment de façon régulière indépendamment de la position dans la pile. Plus important, lorsque vous éteignez le
courant passant dans la pile, les bulles ne s’en vont pas immédiatement mais restent là pendant des minutes plutôt que46
des secondes comme au stade 1. La surface de l’eau a également un aspect lustré ou vernis et le ménisque (incurvation
de la surface du liquide aux abords de la paroi) est plus haut à cause d’un changement dans la tension de surface de
l’eau. A ce stade , vous aurez peut-être une matière brunâtre au milieu de vos bulles. Ne paniquez pas. Ce sont
seulement les impuretés enlevées à la pile. Je trouve que si j’essuye la surface de l’eau avec une serviette en papier, les
bulles et le dépôt adhèrent au papier et peuvent aisément être enlevés. Si nécessaire, remplissez la pile après ce
nettoyage, afin qu’à nouveau le bord supérieur des cylindres seulement soit apparent.
Note. Tout remplissage de la pile, à n’importe quelle étape, est fait seulement avec de la pure eau juvénile.
N’ajoutez plus d’électrolyte ! En nettoyant la surface de la pile comme décrit précédemment, il a été observé que
certaines personnes réagissaient défavorablement à la pile. Si c’est le cas, gardez cette personne éloignée de la pile, ou
bien si c’est vous-mêmes, essayez de changer de main, autrement dit utilisez votre main droite au lieu de la gauche, ou
l’inverse. Si la présence de votre main semble dégonfler les bulles de surface, je suggère que vous demandiez à un ami
de faire le travail pour vous.
Résumé du stade 2. Très semblable au stade 1, mais nous avons maintenant une distribution de bulles plus
égale et un accroissement de la tension de surface ainsi qu’une plus longue présence de bulles quand l’électricité est
coupée. Si vous regardez au fond de votre pile de test en verre, vous n’aurez pas d’écume et l’eau sera limpide comme
le cristal. A ce stade, la force d’orgone a ensemencé la pile, mais pour l’instant ne génère pas. Avec la pile correcte, la
bonne eau et le bon opérateur, il est possible d’aller directement au stade 2 à la première mise sous tension de votre
nouvelle pile. Je vois cela se produire à chaque fois avec de l’eau juvénile modifiée.
Stade 3
Peu de gens atteignent ce stade ou, pire encore, certains l’atteignent incorrectement. Si vous arrivez au stade 3
en suivant les étapes décrites ci-dessus, votre eau est toujours limpide comme du cristal et sans dépôt au fond. Si vous
y arrivez par la force brute, vous aurez décapé des quantités appréciables de matière de vos cylindres et cette matière
se déposera maintenant sur les isolants, se suspendra autour comme un colloïde et s’accumulera finalement au fond
sous forme de dépôt. Les isolants de faible résistance et le colloïde métallique créerons une pile plus fuyante, qui
causera des arrêts sans fin et mystérieux de votre voiture, ou bien des refus de démarrer, etc.
Bien, le miracle de la Nature est désormais en train de se générer dans votre pile. Lors de la mise sous tension
de la pile, en 30 secondes, d’abondantes et belles bulles blanches s’élèveront sur toute la surface de la pile. (Voir figures
33, 34, 35 et 36.) Avant que ces bulles ne couvrent la surface de l’eau, vous remarquerez un front lent, tournant et
pulsatoire dans tous les cylindres. Cette pulsation tournante est synchronisée et a un rythme régulier d’environ deux
impulsions par secondes et une vitesse de rotation horaire (sens des aiguilles d’une montre) d’environ une révolution
toutes les 2 secondes.
Ces effets sont très durs à observer pour un observateur de la première fois, qui ne sait pas quoi regarder. Je
trouve cela plus facile de regarder ces effets avec l’aide d’une lampe fluorescente, car les pulsations de 100 cycles par
secondes de cette lumière „stroboscope” la surface de l’eau, rendant le front de pulsation plus facile à observer. Les
bulles peuvent déborder du récipient et montrent une grande tension de surface. Mais l’une des preuves catégoriques
que la pile est bien en train de générer est que, en éteignant l’alimentation électrique et en revenant le jour suivant, la
plupart des bulles seront toujours à la surface de l’eau, contrairement aux stades 1 et 2, lors desquelles les bulles
disparaissaient en quelques minutes. (Voir figure 38.)
Fig.31 – Stade 2. Une vue après 1 minute avec le courant coupé.
Remarquez l’absence de bulles résiduelles.
Fig.32 – Stade 2. Une vue après 24h. Remarquez que la pile
est maintenant morte (pas de bulles, pas de tension de
surface).47
Résumé du stade 3. Il n’y a pas moyen de se
tromper sur ce stade dès lors que vous l’avez déjà vue.
Certaines personnes chanceuses peuvent sentir l’énergie
vivante et réagir avec elle, ce que Reich appelle le „facteur
Y”. Pour les reste des gens normaux, les signes sont
radicalement différents. Les bulles sont plus grandes et d’un
blanc pur, la tension de surface est plus grande, les bulles
sont en pulsation et, plus important, la tension de surface
reste des jours après que le courant soit éteint.
Note additionnelle. Pour les individus désespéremment portés sur l’électronique. Notez s’il vous plaît. Je
ne recommande pas de tests et mesures additionnelles, vos yeux et votre cerveau devrait suffire, mais si vous êtes en
difficulté, vous pouvez mesurer le voltage dans la pile après qu’elle ait été laissée hors tension pendant au moins 24h.
Une pile vivante aura un voltage résiduel, ou plus correctement, un voltage auto-généré d’environ 1 Volt. Une pile à
l’étape 1 mesurée dans les mêmes conditions donnera 0,1 à 0,2 Volts. Souvenez-vous que, sauf si vous savez ce que
vous faites, ces mesures de voltage peuvent fortement induire en erreur, à cause des effets du matériel de test et de la
batterie qui peuvent facilement masquer vos vraies mesures.
Lorsque la pile atteint la densité maximale d’orgone qu’elle peut tenir, le résultat du processus de génération est
la conversion de cet orgone excessif en formation d’électricité. De ce fait, une mesure électrique avec l’instrument
correct est une méthode tout à fait valable pour vérifier l’efficience de la pile. Si vous connaissez l’oeuvre de Reich,
vous pourrez prendre le soin de fabriquer un orgone-mètre et ainsi supprimer toute conjecture. Ce mètre est
entièrement décrit sur quelques sites web, mentionnés dans ma bibliographie.
Commentaires finaux sur le chargement de la pile.
Je ne recommande aucune forme de spectacle façon cirque avec des bulles qui explosent, attirant les oreilles.
Comme précisé ailleurs, le bruit et la vibration sont orgone-négatifs. En conséquence, dans une pile à orgone négatif
comme celles que je fais, ces explosions, en se produisant lors de la délicate période de germination, vont tuer votre
pile ! Outre une pile morte, la possibilité de faire flamber d’autres gaz dans l’atelier et de blesser les oreilles etc,
rendent ces exercices infantiles hautement non-nécessaires. Je dois admettre que moi aussi j’ai succombé au sentiment
„vaz-y, fais flamber !”. L’une de mes piles avait été au stade 3 pendant 7 mois. C’était ma pile de test favorite. Mes
mains et mes alumettes combattirent mon cerveau et elles gagnèrent. Il y eut une énorme „implosion/explosion qui en
mit plein les oreilles” et, oui, j’ai tué la pile. Elle retourna au stade 2 pour 4 jours. Je ne le referai pas, juste pour vous
montrer que je suis aussi humain. Autre effet, le phalanger renard qui habitait mon garage n’est plus revenu !
Eau spéciale stade 3.
(Référence y est faite au chapitre 10.) Puisque toute l’eau que nous utilisons a été électrolysée, elle ne
convient pas à l’usage dans des récipients qui ne sont pas en acier inoxydable ou en verre. Cela est dû à la réaction
avec le matériau du récipient et la corrosion résultante, mais si vous devez ou voulez le faire, vous pouvez utiliser de
l’eau juvénile sans ajout d’électrolyseur et la charger quand même jusqu’au stade 3. La quantité d’ion est bien plus
faible, donc l’eau n’est pas conductrice, c’est-à-dire que vous ne pouvez pas obtenir autant de courant avec 12 Volts que
vous n’en obtiendrez si vous électrolysiez l’eau.
Toutefois, si vous obtenez une alimentation électrique d’approximativement 60 à 100 Volts à environ 1 Amp,
vous serez capables de charger „de la bonne vieille eau ordinaire”. L’inconvénient est le temps d’attente supplémentaire
dont vous aurez besoin pour faire germer la pile. Dans certains cas, cela peut prendre plus de trois semaines. Le coût
de l’alimentation électrique sera également conséquent.
L’avantage, ainsi que mentionné dans le chapitre10, est que vous serez capables de verser votre eau chargée
dans le radiateur d’une voiture sans augmentation de la corrosion comparé à l’eau contenant des acides.
Fig.38 – Stade 3. Une vue 2 jours
après extinction du courant. La pile
est toujours vivante et quelques
bulles sont encore visibles. Seule
une pile générante fera ça.4849
Divers
Ne provoquez jamais de court-circuit, autrement dit ne connectez jamais les cylindres de votre pile entre eux
avec des câbles, un anneau de mariage ou quoi que ce soit ! Si vous le faites, la pile „mourra”. Votre seule option, si
cela arrive, est de connecter la pile à votre alimentation électrique et de voir si vous en êtes toujours au stade 3.
Si la pile ne revient pas au stade 3 dans la minute, votre seule option est de démonter complètement la pile, de
la repolir, la renettoyer et la recharger. Oh ???, vous vous moquez de nous, non ??? Non, je suis sérieux, c’est votre
seule option ! Alors ne le faites pas. Ne lcourt-circuitez pas votre pile ! Vous aurez des problèmes semblables, quoique
pas aussi sévères, si vous inversez vos câbles sur la pile.
D’un côté plus lumineux, lorsque la pile tourne au stade 3, vous pouvez déverser l’eau chargée de votre pile
dans un récipient en verre et nettoyer, ajuster et entretenir votre pile maintenant vide. Lorsque vous avez fini, verser à
nouveau l’eau chargée dans votre pile et les affaires reprennent. Bien sûr, vous pouvez verser cette eau chargée dans
d’autres piles ou l’utiliser comme il vous convient, mais souvenez-vous de ne pas la laisser hors de la pile sur des
périodes plus longues qu’une heure à chaque fois, car la génération est alors arrêtée et vous perdez lentement la charge.
Souvenez-vous de ce à quoi vous avez affaire. Vous ne fabriquez pas un grille-pain ! Vous traitez avec la force
vitale basique elle-même. Comme elle est partout et pénètre toutes choses à des vitesses différentes, vous ne pouvez
pas l’emprisonner ou la capturer. Si elle fait germer votre pile, c’est parce qu’elle a trouvé la „matrice” que vous avez
fabriquée, un lieu plus confortable que là où elle était avant. Elle est entré et demeurée de son propre et libre choix.
Pareillement, si elle décide de générer pour vous, c’est encore son choix. Comme vous faites partie du processus, le
moins que vous puissiez faire est d’interagir positivement avec elle. Il y a beaucoup de récits de piles mourant à cause
de lieux et de personnalités adverses. Vous êtes prévenus !
Fig.2 – Ustensiles d’eau, large bécher pour contenir l’eau chargée
pendant l’entretien de la pile. Entonnoir et petit bécher pour faire le
niveau d’eau de la pile. Burette pour enlever ou ajouter une petite
quantité d’eau de la pile et une baguette de verre pour remuer.
Fig.26 – Outils utiles. Jauge
de test mesurant la pression et
le vide, lampe miniature pour
observer l’action dans la pile
assemblée et petit laser pour
observer la taille des particules
dans l’eau.
Fig.22 – Deux types de sédiments. Des contaminants différents
dans l’eau produiront différents types de sédiments. Il semble que
la pile crée de la MATIERE NOUVELLE.50
Chapitre 9
„L’essentiel est de se débarrasser des préjugés profondément enracinés que nous
répétons souvent sans les examiner.” – A. Michel, 1959.
La connection de la pile aux moteurs
et la modification du moteur.
Position et montage de la pile
Le montage de la pile est plein de compromis pour la pile comme pour les occupants de la voiture.
Pour le moins possible de vibration et de secousse, le centre de la voiture est la meilleure position.
Pour le moins possible d’accumulation de chaleur, le mieux est au plancher à l’intérieur de la voiture.
Pour le moins possible de perturbation électromagnétique, le coffre est la meilleure zone, à moins que vous
ayez des rangements de CD, un équipement radio ou des pompes à carburant électrique installés à cet endroit.
Pour un meilleur flux d’orgone, la pile devrait être aussi près que possible du moteur et sa sortie devrait avoir
un chemin vertical jusqu’au bouchon borgne.
Pour un entretien aisé de la pile, elle devrait être placée en un endroit accessible comme le coffre ou un
endroit similaire.
Pour réduire l’interaction humaine au minimum, le parechoc arrière est le meilleur endroit.
Pour réduire au minimum l’interaction avec d’autres voitures, le centre de la voiture est le meilleur endroit.
Pour réduire au minimum la longueur du tuyau d’échappement, juste à côté du bloc-moteur est le meilleur
endroit.
Pour minimiser l’interférence avec l’électronique de la voiture, une position sur le toit est meilleure.
Comme vous pouvez le voir, même dans la brève liste ci-dessus, il n’y a pas une seule position qui soit idéale.
Le meilleur compromis est de placer la pile à l’endroit où le passager avant met ses jambes. La pile est connectée par
un trou dans la cloison avec un court tube allant jusqu’au bouchon borgne sur le bloc-moteur. Si vous choisissez cette
position, notez s’il vous plaît :
Cela peut être dangereux dans un accident et donc illégal. Vous devez obtenir la permission des autorités
compétentes.
Le trou dans la cloison doit être étanche aux gaz, car il y a un danger d’entrée de gaz mortel venant du moteur
jusque dans l’habitacle. Encore une fois, les permissions adéquates sont nécessaires.
La position de la pile peut interférer avec un ordinateur de bord qui serait situé dans cette zone.
Le passager peut interagir avec la pile.
Cela va réduire la valeur de revente de votre voiture, à cause des trous.
Votre compagnie d’assurance devra être prévenue de votre bricolage avec une explication logique.
La seconde position la moins désapprouvée est dans une partie plus fraîche du compartiment du moteur. Cela
est presque impossible dans une voiture compacte, à moins que vous ayez un vieux modèle 6 ou 8 cylindres.
C’est pourquoi j’ai dit qu’il est meilleur de choisir une voiture qui convient au fonctionnement de la pile Joe,
plutôt que d’essayer d’adapter à la pile votre voiture moderne à 4 cylindres et traction avant.
Vos chances de succès immédiat dans la conversion d’une voiture compact à 4 cylindres, à injection
électronique, à distribution variable, turbo, contrôlée par ordinateur et avec double arbre à cames en tête, sont
minimales.
Le montage de la pile, une fois la position choisie, n’est pas difficile. La méthode la plus simple et permanente
est d’utiliser le boulon d’un ½ pouce négatif comme l’une des fixations pour la pile. Comme ce boulon est la
connection négative, il peut être directement boulonnée dans le sol ou par l’intermédiaire d’un morceau de plaque
métallique adéquat à un point convenable dans le compartiment du moteur. La pile devrait être entourée d’un matériau51
isolant similaire à un tapis de souris informatique ou une tenue de plongée.
Autour de cela vous devriez avoir deux colliers de serrage pour tenir le corps de la pile contre une partie rigide
de la voiture. Le but est d’empêcher la pile de développer sa propre vibration qui est additionnelle à la vibration
générée par le moteur et les conditions de route. Toutes les parties de la pile doivent être à tout moment bien à l’écart
de toute autre partie métallique, car le corps de la pile a un potentiel positif sur lui. Si accidentellement vous mettez en
contact le corps d’une pile chargée avec une partie métallique de la voiture, vous aurez probablement à recharger la
pile, et vous savez quelle souffrance cela peut être.
Pour résumer ce qui précède, la pile doit être fermement fixée au meilleur endroit possible et protégée de tout
contact accidentel avec les parties métalliques de la voiture. Toute les modifications de voiture doivent avoir la
permission des corps gouvernementaux concernés.
NOTE. Je suppose que vous avez une voiture raisonnablement moderne, dont la borne négative de la
batterie est connectée au chassis, autrement dit un système de terre négative. Si vous avez une voiture plus vieille avec
un système de terre positif, alors, d’après mes connaissances, vous aurez des problèmes. Je suggère que vous ne tentiez
pas une conversion d’un système de terre positive, d’autant que la plupart de ces voitures s’en sont allé au paradis des
voitures. Je doute qu’il y en ait encore beaucoup qui circulent aujourd’hui. Un bon indicateur est que la voiture fait
tourner un générateur au lieu d’un alternateur. Toutefois, cette règle s’applique seulement à la plupart des cas et il y a
des exceptions.
Connections électriques de la pile
Connection négative
La section pécédente a mentionné que nous traitons de voitures avec une terre négative. Cela veut dire que la
borne négative de la batterie est connectée à toute la structure métallique de la voiture. Puisque le cylindre intérieur de
1 pouce et le boulon inclus à la pile sont la borne négative de la pile, ce boulon peut être connecté à n’importe quelle
partie métallique substantielle de la voiture. Assurez-vous de bien enlever toute peinture ou matériau insonorisant du
trou que vous percez pour le boulon de ½ pouce. Utilisez deux rondelles à dents de chaque côté du trou dans la
structure métallique pour garantir une connection à faible résistance de longue durée.
Connection positive
Toutes les parties externes de la pile ainsi que le tuyau vers le moteur sont de potentiel positif. Le meilleur
endroit où connecter votre positif est à l’extrémité la plus éloignée du tuyau vers le moteur. Je connecte mon fil positif
en l’insérant sous la section longue de 4 pouces de la durite de néoprène (entre le tube d’aluminium et la durite), et je
fixe le tuyau de caoutchouc (du côté de la pile seulement) et la connection positive insérée avec un collier de serrage
en acier inoxydable. Cela crée une bonne connection électrique entre le fil positif et le tuyau de la pile au moteur.
Remarquez que là où le tuyau passe sur le bouchon borgne sur le moteur, AUCUN COLLIER DE SERRAGE n’est
utilisé.
Ce fil positif qui est connecté au tuyau de la pile devrait aller par un fusible de 5 Amp en série jusqu’au
contacteur général d’allumage. Cela veut dire que la pile n’est mise sous tension que lorsque la clé de contact est dans
la position de fonctionnement normal de la voiture. Comme la pile a été faite pour ne laisser passer qu’un Ampère, la
consommation résultante en électricité lorsque la voiture roule sera de 12 Watts. C’est une dissipation de pile assez
conservatrice, mais cela chauffera éventuellement la pile sur un long voyage et pendant un jour chaud. Lisez s’il vous
plaît la section Régulation ci-dessous.
Lorsque la voiture n’est pas utilisée et en fonction de la fuite de la pile, vous aurez peut-être besoin qu’un
courant de „chargement très léger” s’écoule dans votre pile pour maintenir une condition minimale de génération. Joe
utilisait pour cela une batterie de 1,5 Volts dans les premiers temps. Je suggère une intensité de courant de 0,25 Amps
pour faire cela. C’est une dissipation d’énergie de 3 Watts. Vous y arriverez en connectant une résistance d’environ 3
Ohms en série avec votre fil positif. Cette valeur variera d’une pile à l’autre et vous aurez à choisir, d’après des tests, la
bonne résistance à utiliser. Dans tous les cas, une résistance à fil spiralé (wire-wound resistance) de 4 ou 5 Watts de la
valeur de résistance appropriée sera adéquate. Assurez-vous que cette résistance est convenablement montée, car elle
va chauffer et vous ne voulez pas commencer un feu.52
Régulation
Comme vous pouvez le voir d’après ce qui précède, nous avons déjà deux valeurs de courants (une valeur de
fonctionnement et une charge d’entretien de compensation). Le moyen le plus simple d’accomplir cela serait un
interrupteur qui introduise une résistance en série lorsque la voiture ne roule pas. Mais comme la plupart des gens vont
oublier de commuter cet interrupteur à chaque fois qu’ils éteignent le moteur, un système automatique est de loin
supérieur et probablement essentiel. Cela est fait facilement avec un relais connecté au contacteur général d’allumage.
Avec cette méthode, lorsque le contact d’allumage de la voiture est éteint, le relais est relâché er la résistance
appropriée est en série avec le fil positif et la pile. La pile n’a plus maintenant que le courant de charge d’entretien de
compensation qui passe à travers elle. Lorsque l’allumage est en position de fonctionnement, le relais opère alors et la
résistance est court-circuitée par les contacts du relais. La pile a alors le plein 1 Ampère s’écoule à travers elle.
Evidemment, lorsque l’allumage est éteint, la pile revient à nouveau au mode de courant pour garder-en-vie.
Pendant les premières étapes expérimentales et de développement, je recommande un potentiomètre variable à
fil spiralé (wire-wound) de 5 Ohm, 5 Watts et un ampèremètre en série de 0-5 Amp. Avec ce système, vous serez
capables d’optimiser vos courants de fonctionnement et de charge de compensation et de choisir finalement les
résistances optimales pour ces deux modes. Aussi, vous serez capable de trouver exactement de combien de courant
vous avez besoin pour une génération optimale de la pile qui convienne aux conditions climatiques et de conduite. La
raison en est que lorsque la pile se réchauffe elle pompe plus de courant. Oui, vous aurez à expérimenter !
Le tuyau de la pile au moteur.
Auparavant, j’ai mentionné que j’utilise un tuyau en aluminium d’un diamètre extérieur de 1 pouce (24 mm). Le
diamètre intérieur du tube est de ¾”, donc l’épaisseur de la paroi du tube est de 1/8”. Je ne vous dis pas que c’est le seul
diamètre ou matériau qui marche. C’est le matériau et le diamètre que d’autres, moi y-compris, ont standardisés pour
permettre une interchangeabilité facile pour la recherche de défauts et l’expérimentation. La longueur de ce tuyau
devrait être aussi courte que possible sans utiliser de virages anguleux. Toutes les courbes du tube doivent avoir un
changement de direction doux et progressif, sans distorsion. Le tube devrait être recouvert d’une isolation similaire à
ce qui est utilisé sur les tuyaux d’eau chaude et les galeries de voiture. Réduisez au minimum tous les trajets
horizontaux du tuyau. De même, n’utilisez aucune courbe en U qui forcerait l’orgone à changer de directions d’un trajet
vers le haut à un trajet vers la bas. Un bon exemple de comment ne pas monter la pile fut publié sur le sit web amigo
(le site n’existe plus). Sur les photographies, la pile est montée au-dessus de la voiture avec un dénivelé sévère jusqu’au
moteur. Bien que l’aluminium soit une bonne barrière pour l’orgone, l’énergie fuit toujours hors du tube. Comme vous
le savez maintenant, l’orgone a une tendance
verticale ascendante et la meilleure position
pour la Joe cell est par conséquent la position la
plus basse possible. L’orgone peut s’écouler vers
le haut jusqu’au branchement obturé et donc au
moteur.
Les bords intérieurs du tuyau en
aluminium au niveau de l’extrémité de la pile
doivent avoir un rayon qui réduit graduellement
de 20 mm de diamètre intérieur à 24 mm de
diamètre extérieur. Donc, si nous regardons d’en
bas l’intérieur du cône allant vers la bague de
compression et le tuyau d’aluminium, il ne
devrait y avoir aucun changement soudain de
diamètre qui dérangerait l’écoulement de
l’orgone. Cette zone, dans laquelle nous
essayons de forcer l’orgone a créer un rayon qui
remonte le tuyau d’aluminium, est critique.
Gardez toutes les surfaces internes polies et
n’ayez aucune sort d’obstruction sur le chemin
du flux. (Voir figure 44.)
L’extrémité moteur du tuyau a une
section d’environ 4 pouces de tuyau de
caoutchouc néoprène poussé sur le tuyau
Fig.47 – Connection du tuyau pile-moteur. Remarquez qu’il n’y a
aucun collier de serrage du côté bouchon du tuyau de caoutchouc.
Une courte section de fil électrique est connectée au câble positif de
contact d’allumage de la voiture.53
d’aluminium et le bouchon borgne. Si vous avez 1 pouce de longueur de tuyau sur le bouchon borgne et 1 pouce de
longueur de tuyau sur le tuyau d’aluminium, vous finissez avec un écart non métallique long de 2 pouces. Cet écart est
vital, car le moteur est de potentiel négatif et le tube en aluminium de potentiel positif. Nous ne devons jamais laisser
aucune portion de la pile ou du tuyau toucher une partie de la voiture ou du moteur. C’est pourquoi j’ai suggéré que
vous devriez isoler votre pile et votre tuyau.
J’ai mentionné précédemment que notre fil positif est sous le manche de caoutchouc de 4 pouces et est tenu
fermement au tuyau d’aluminium au moyen d’un collier de serrage. L’extrémité côté bouchon borgne du tuyau de 4
pouces ne doit avoir aucune forme de serrage métallique sur lui ! Cette extrémité du manche de caoutchouc accomplit
la fonction d’une valve à un sens pour la pile Joe. Lorsque vous poussez le manche de caoutchouc sur le bouchon
borgne, assurez-vous s’il vous plaît que vous couvrez l’intérieur du manche et l’extérieur du bouchon borgne avec de la
Vaseline (gelée de pétrole).
Voilà ce qui va maintenant se passer. Comme résultat de l’électrolyse dans la pile, de temps en temps, l’excès de
pression de la pile se déchargera dans l’atmosphère par le raccordement lâche entre le manche en caoutchouc et le
bouchon borgne. Mais lorsque la pression baisse, l’air ne sera pas aspiré en retour dans la pile. J’ai trouvé que cette
valve augmente la durée du processus de génération. Je répète, l’extrémité côté bouchon borgne du manche en
néoprène de 4 pouces doit être libre de permettre le relâchement de la pression excessive développée. Si vous
maintenez l’électrolyse de votre pile à 1 Amp ou moins, ce déchargement sera minimal. Tout de même, les gaz sont
explosifs, donc prenez les précautions appropriées. Imaginez ce qui arriverez si la pile ne déchargeait pas la pression
excessif ?
La pression dans la pile continue de se développer jusqu’à ce que le point le plus faible la laisse partir. Cela
sera, en toute probabilité, le manche en caoutchouc. Si vous avez été stupide et avez vraiment serré ou collé le tuyau à
chaque extrémité, le tuyau peut supporter plus de 100 psi avant de laisser passer. Cela relâcherait un courant de haute
pression de GAZ HAUTEMENT EXPLOSIFS ! Ca pourrait être enflammé par le distributeur, des cigarettes,
l’électricité statique, le système d’échappement, etc. DES GENS POURRAIENT ÊTRE TUÉS OU
SÉRIEUSEMENT BLESSÉS !!! S’il vous plaît, si vous n’êtes pas compétent, ne le faites pas ou cherchez un
professionnel. Lisez mon avis de non-responsabilité !
La solution optimale et habile est d’utiliser une valve d’échappement de 1 psi qui décharge le gaz excessif dans
l’entrée d’air après le filtre à air. Le gaz en trop sera alors attiré dans le moteur et le filtre à air agira comme un coupeflamme. C’est la solution intelligente, prudente et logique. J’utilise un pressostat qui fait fonction d’interrupteur de
basse pression, comme ceux utilisés sur les machines à laver pour gérer la quantité d’eau dans le tambour de lavage. Je
règle cet interrupteur pour agir à 2 psi. Lorsque l’interrupteur de pression opère, il actionne électriquement une
électrovanne (solénoïde à air) qui permet à la pression excessive de la pile d’être déchargée dans le collecteur
d’admission entre le filtre à air et le carburateur.
Le seul autre danger est que vous n’ayez pas suivi mes instructions, ou que vous ayez décidé que vous savez
mieux, ou que plus est mieux et que vous avez boosté l’action d’électrolyse. Dans ce cas, vous aurez un déchargement
de gaz excessif et tôt ou tard vous et votre expérience disparaîtrez, soudainement et violemment. S’il vous plaît, s’il
vous plaît, tenez en bride votre cerveau avant de jouer avec des mélanges explosifs, ou mieux encore, laissez cela à
des professionnels.
Position du bouchon borgne
Tout d’abord, la section longue de 1 pouce du bouchon borgne sur laquelle est glissé le tuyau de néoprène, doit
avoir le même diamètre extérieur que le diamètre intérieur du tuyau de néoprène. Par conséquent, si vous utilisez
un tuyau de diamètre extérieur de 24 mm et d’un diamètre intérieur de 20 mm, alors le diamètre extérieur du bouchon
borgne doit aussi être de 20 mm. Le manche de néoprène (de diamètre intérieur de 20 mm) ne doit pas être forcé sur le
bouchon borgne. Ne faites pas d’économie ou de compromis sur cet ajustement. Votre vie et la vie des autres peuvent
en dépendre ! Le manche doit être ajusté par une pression facile sur le bouchon borgne. Le bouchon borgne devrait
être fait en aluminium et la forme finale sera déterminée par la position de montage sur le moteur.
Le but est d’introduire le „rayon” d’énergie d’orgone aussi centralement que possible sur le moteur et aussi près
que possible de l’eau qui circule autour des cylindres. Beaucoup de positions ont été employées, et elles fonctionnent
toutes à un certain degré, autrement dit un bouchon borgne sur le collecteur d’admission, un bouchon borgne sur
l’arrière de la culasse, un bouchon borgne sur le bloc-moteur, etc. Ma suggestion pour un mteur de 4 à 6 cylindres est
de placer le bouchon borgne sur le bloc près de la ligne du joint de culasse et aussi centralement que possible (à michemin entre les cylindres). La conception du moteur V8 (à 8 cylindres en V) est idéale, car le bouchon borgne peut
est positionné centralement sur la partie chauffée par l’eau du collecteur d’admission.
Soyez prudents avec les vieux moteurs de 4 à 6 cylindres car un côté peut avoir les tiges de poussoir, les
culbuteurs et l’arbre à cames localisés dans le bloc. De ce fait, vous n’allez pas placer votre bouchon borgne contre la
chemise d’eau.
Parfois vous pourrez peut-être enlever un bouchon dans le bloc-cylindre (bouchant une ouverture d’usinage) qui54
est à la position optimale et d’usiner l’une des extrémités du bouchon borgne pour l’ajuster à cette ouverture circulaire.
Assurez-vous que vous faites cela professionnellement, car un bouchon qui tombe signifie une perte de toute l’eau et
probablement du moteur ! Certains individus affirment qu’ils ont placé le bouchon borgne sur le carburateur, voire sur
le filtre à air. J’ai mes doutes, mais comme je n’ai pas vérifié ces affirmations, elles peuvent être adéquates, mais
d’après moi loin d’être optimisées. On raconte l’histoire d’un professeur qui fabriqua une pile Joe qui remplaçait le
filtre à air et qui fonctionna pendant un moment jusqu’à ce qu’elle s’effondre à cause de l’acier inoxydable qui était trop
fin. Encore une fois, je ne peux pas vérifier cette histoire, mais cela serait une méthode idéale pour éliminer le tuyau
moteur et le bouchon borgne entièrement. Juste quelques idées en plus pour les cerveaux fertiles qui lisent ce manuel.
Je suggère que vous mainteniez serré votre bouchon borgne avec deux boulons Allen et les trous adéquats
percés dans la position de votre choix. Assurez-vous que la surface de montage du bouchon borgne correspond au
contour du bloc, de la culasse ou du collecteur, au point de fixation choisi.
Le bouchon borgne doit être monté du côté opposé au système d’échappement sur les moteurs à écoulements
croisés. C’est une autre raison de la supériorité du moteur V8 ou du moteur horizontalement opposé pour leur
conversion à l’énergie d’orgone. Nous voulons rester aussi éloigné que possible du côté chaud et d’échappement du
moteur. Si vous avez un moteur à collecteurs d’admission et d’échappement jumelés, vous vous rendez la tâche
vraiment difficile. A moins que vous ne sachiez exactement ce que vous faites et que vous ayez déjà accompli une
conversion précédente pour vous donner de la foi en vous-mêmes, je pense honnêtement que vous n’aurez pas de
succès.
Vous pouvez voir de ce qui précède pourquoi la Rover de Joe a démarré du premier coup avec la pile, tandis
que d’autres moteurs ont pris des semaines à mettre en condition avant que des résultats ne soient accomplis.
L’avance à l’allumage
Des volumes entiers ont été écrits à ce sujet par des scientifiques de salon qui essaient d’expliquer leurs théories
favorites sur l’implosion, l’explosion, les deux ensembles ou toute autre combinaison que vous daigneriez imaginer.
Donc, le besoin de varier l’avance quelque part dans le cycle moteur de 720° pour faire fonctionner le moteur avec
quelque sorte de projection théorique de l’esprit.
Je vais le répéter encore, oubliez les théories et FAiTES LE SIMPLEMENT ! C’est réellement simple. Je vais
encore une fois vous dire comment je le fais. De préférence, ayez une voiture qui a une pompe à carburant électrique
et un interrupteur avec lequel vous pouvez éteindre la pompe. Si vous avez une pompe mécanique, installez une sorte
de collier de serrage ajustable sur la durite qui va du réservoir à l’entrée de la pompe à carburant. Ou bien vous
voudrez peut-être aspirer le carburant dans la pompe à carburant depuis un récipient à pétrole métallique de 5 litres.
NOTE : cette méthode est dangereuse car vous travaillez avec du pétrole à découvert.
Quel que soit le système que vous adoptez, tout ce que vous essayez de faire est de contrôler l’écoulement de
pétrole dans le moteur.
Si vous avez accompli les directives précédentes, vous êtes désormais prêts pour ajuster le timing de la manière
suivante :
Desserrez le collier qui sert le distributeur, mais ne déplacez pas le corps du distributeur.
Fig.45 – Vue d’en haut et rapprochée sur l’emplacement choisi
pour l’insertion du bouchon borgne de connection.
Fig.46 – Vue du bouchon borgne ajusté sur le collecteur
d’admission avec deux boulons. Le bouchon est conçu pour
s’ajuster à un tuyau d’un diamètre interne de 1 pouce.55
Démarrez la voiture au pétrole et laissez-là se réchauffer. Assurez-vous que votre pile Joe est en électrolyse.
Laissez le moteur se réchauffer et assurez-vous qu’il est assez chaud pour que le starter soit venu à la position
de fonctionnement normale.
Arrêtez l’écoulement de carburant jusqu’au moteur par la métode de votre choix.
Dans une courte période de temps, la voiture commencera à tourner de manière irrégulière.
Faites tourner le distributeur pour avancer l’étincelle de la bougie d’allumage jusqu’à ce que vous obteniez la
meilleure vitesse de ralenti possible.
Continuez à faire cela avec des rotations du corps du distributeur progressivement plus petites d’un côté et de
l’autre, pendant les quelques minutes suivantes. Le dernier ajustement sera très précis car le moteur hésitera des
deux côtés de l’ajustement optimal.
Vous trouverez finalement que le distributeur s’arrêtera entre 35 et 40 degrés avant le point mort haut, ce qui
se convertit en 70 à 80 degrés d’avance sur le vilebrequin.
Si votre pile a pris la direction, votre moteur continuera à tourner. Si la pile n’a pas pris la relève, le moteur
s’arrêtera car il sera en panne sèche et c’est tout. Allez à la section de recherche des erreurs. Si la pile a pris la relève,
resserrez le distributeur à sa nouvelle position. Lorsque l’excitation disparaît et si vous êtes encore sobre, emmenez la
voiture à un garage ayant un dynamomètre à roue (wheel dynamometer) et optimisez le moteur (l’avance à l’allumage)
pour une puissance maximale. Ne laissez pas le mécanicien quelque part près de votre système déchappement avec un
analyseur de gaz, car il n’y aura aucune mesure sur son analyseur de gaz et vous devrez vraiment fournir une
explication imaginaire.
Avance à l’allumage standard
Je voudrais maintenant clarifier quelques points concernant l’avance à l’allumage pour les individus nonmécaniciens.
Dans tous les moteurs à allumage par étincelle, il est nécessaire de s’arranger pour que l’étincelle se produise
juste avant que le piston ait atteint la limite supérieure de sa course de compression. Il est habituel d’exprimer
cette nécessité d’avance sur l’allumage en termes de degrés d’angle de vilebrequin avant le point mort haut
(avant PMH).
Le danger de ce terme est qu’il peut être mesuré soit au vilebrequin soit au distributeur. Comme le
distributeur est entraîné par l’arbre à cames et donc à la moitié de la vitesse du moteur, la mesure au distributeur
sera exactement la moitié de la mesure au vilebrequin. Donc lorsque nous parlons de 10 degrés avant PMH au
distributeur, nous voulons dire en réalité 20 degrés avant PMH au vilebrequin. Cette mécompréhension a causé
d’immenses confusions pour le lecteur insouciant non-informé. Par exemple, lorsque Joe affirme que l’Escort
tourne le mieux à 85 degrés d’avance, de quoi parle-t-il ?
Comme dit au début de cette sous-section, une bougie d’allumage s’allume une fois tous les 720 degrés de
vilebrequin ou plus simplement toutes les deux révolutions. Au ralenti, la plupart des moteurs sont réglés pour
allumer la bougie d’allumage entre 5 et 15 degrés avant PMH au vilebrequin. Lorsque les révolutions du moteur
augmentent, l’avance mécanique du distributeur, ou bien l’ordinateur de la voiture, augmentera l’avance (le fera
s’allumer plus tôt) jusqu’à ce qu’il atteigne une avance d’environ 35 degrés avant PMH au vilebrequin pour les
moteurs normaux et les carburants normaux. Avec des carburants de type octane 100 d’aviation, l’avance des
voitures de course peut être aussi grande que 60 degrés avant le PMH.
Donc, réellement, lorsque Joe affirme qu’une avance de 85 degrés est nécessaire pour le fonctionnement d’un
moteur d’Escort sur une pile Joe, ce n’est pas une grosse affaire puisque c’est très proche d’un réglage nécessaire
pour un moteur qui tourne avec un carburant haut en octane et brûlant plus lentement. Cela ne fait pas
d’allusion, même lointaine, à une quelconque implosion.
En conclusion, puisque nous ne savons pas exactment comment ou quoi donne sa puissance au moteur, toutes
les ordures académiques de salon sont exactement cela : des ordures. Fabriquez votre pile, connectez là comme je le
recommande, réglez l’avance comme je le recommande, faites tourner la voiture et ensuite commencez vos analyses et
batailles de salon.
Modifications du moteur
Pour une première mise en marche à partir de la Joe cell, un moteur en aluminium V8 ne demandera aucune
modifications à part un changement de l’avance à l’allumage, comme décrit ci-dessus. D’autres moteurs auront besoin
d’un temps variable de „conditionnement” avant d’être finalement prêts à fonctionner avec la pile Joe. Puis vous aurez56
à changer l’avance à l’allumage comme décrit.
Puisque l’énergie d’orgone est primairement attirée par la chemise d’eau entourant le moteur, la plupart de
l’énergie sera „emmagasinée” à un état latent dans cette zone. Ce n’est pas pour dire qu’il n’y aura pas une densité
variable d’orgone dans les autres sections du moteur ou dans les environs immédiats de la pile et de la voiture. Joe fait
assez peu de références à ce qu’il appelle un „moteur étanche”, comme dans le cas du moteur Rover et de la plupart
des autres moteurs modernes aussi bien. Basiquement, si vous ôtez le bouchon de remplissage d’huile, vous devriez
remarquer que les révolutions du ralenti du moteur changeront, puisque vous avez dérangé le circuit de recyclage des
gaz de carter (PCV pour l’anglais positive crankcase ventilation). Dans les moteurs plus vieux, les gaz de carter, c’est-
à-dire les gaz qui passaient les
segments et finissaient dans le
carter, étaient déchargés par un
reniflard directement dans
l’atmosphère. Ces types de
m o t e u r n ’ é t a i e n t p a s
„étanches”. Comme les lois sur
la pollution changent lentement
à travers le monde, ces types de
produits imbrûlés ont été
désapprouvés et les fabricants
de voitures ont eu à développer
une autre méthode pour leur
évacuation. La solution
moderne est de collecter ces
produits ventilés et de les
réintroduire dans le collecteur
d’admission via une valve
PCV pour qu’ils se mélangent
au carburant et soient ensuite
consumés.
Si, par exemple, vous enlevez la baguette de niveau d’huile ou le bouchon de remplissage d’huile, vous avez
effectivement ouvert ce système qui est sous pression atmosphérique. Vous changez ainsi la vitesse de ralenti car vous
introduisez une fuite d’air sur le côté moteur du carburateur ou du papillon qui contrôle l’injection de carburant. Vous
avez aussi interféré avec la densité d’orgone et sa relation avec l’air ! Rappelez-vous comment j’ai insisté pour que
vous gardiez le couvercle sur la pile de test lorsqu’elle n’est pas utilisée ? Eh bien le moteur est juste une pile de test
plus large et plus complexe. Nous ne voulons pas introduire notre énergie d’orgone dans l’air extérieur tant que
nous ne sommes pas prêts ! Et nous ne sommes prêts que quand le piston descend dans le cylindre, créant une
dépression et causant ainsi un flux externe d’air venant dans le moteur par la valve d’admission.
Si vous avez des problèmes à faire fonctionner le moteur avec la pile Joe et si vous avez épuisé toutes les autres
domaines possibles de problèmes, considérez aussi s’il vous plaît le système interne de ventilation du carter comme
expliqué ici. Vous n’aurez de problème avec ça que sur un moteur assez vieux, ou un moteur qui a été modifié ou qui a
développé un défaut dans le système PCV. Essayez simplement le „truc d’enlever le bouchon de remplissage d’huile”.
Au-delà du test initial de fonctionnement à court terme du moteur avec une pile Joe, chaque moteur et chaque
voiture développeront leurs propres types d’idiosyncrasies. Comme ma liste personnelle de voitures converties est très
petite, je ne peux que très peu vous guider dans ce domaine. Je mentionnerai le peu que je connais dans ce domaine et
commencerai au moins une liste qui peut être amendée lorsque VOUS et d’autres me donneront des retours de vos
propres conversions. Je pourrai alors utiliser vos retours pour mettre à jour ce manuel.
Tristement, j’ai trouvé que la plupart des propriétaires de voitures converties préfèrent garder leur connaissance
et espère la maintenir secrète, pour avoir ainsi un plus long usage de l’énergie libre avant que la puissante main de la
bureaucratie n’interdise un tel travail. Ainsi soit-il. Nous sommes tous différents et ils ont le droit de penser ainsi. Je
m’étonne parfois de la raison pour laquelle je donne des milliers d’heures et des milliers de dollars de mon temps et de
mon argent personnels pour de telles personnes. Quoi qu’il en soit, commençons la liste des modifications à long
terme :
Le moteur fonctionne plus froid. De ce fait, une huile d’hiver et un antigel semblent être un arrangement
logique.
Le top-end (?) fonctionne chaud et sec. Le moteur à pétrole normal utilise la charge entrante de pétrole/air
pour accomplir un refroidissement considérable de la valve d’admission et de son assiette. De même un moteur
à pétrole au plomb utilise le plomb ou son équivalent comme un lubrifiant pour la valve d’admission, son guide
et son assiette. Avec les moteurs modernes sans plomb ou au gaz, ce problème est résolu avec des valves et des
assiettes plus solides et un type différent de guide de valve. Si vous utilisez un type plus ancien de moteur, il
peut être profitable pour la vie à long terme du moteur d’utiliser l’un des nombreux types de kit de lubrification
supérieure qui sont facilement disponibles chez différents fournisseurs d’accessoires automobiles.
Fig.48 – Une vue du moteur Rover utilisé dans le test, montrant le tuyau s’étendant de la pile
externe et connecté au collecteur d’admission.57
Les instruments et les capteurs grillent. Je ne connais pas d’arrangement pour cela, car il est très difficile de
blinder une pile qui génère. Rappelez-vous que du fait que l’orgone atteint son point de saturation dans l’eau,
l’excès d’orgone est converti en électricité. Ces potentiels peuvent être assez hauts dans des conditions
favorables et vont joyeusement détruire l’équipement électrique. Une solution possible est de placer des diodes
Zener ou de semblabes circuits de stabilisation du voltage sur les composants sensibles au voltage pour courtcircuiter tout voltage supérieur à 15 Volts. Cela peut marcher, je n’ai pas essayé encore.
La pile interagit avec les occupants de la voiture. A part de rendre la pile non-fuyante, je ne peux pas penser à
ne serait-ce qu’une solution à cela.
La pile chauffe après des heures d’utilisation, par exemple pour un taxi. Le remède est de contrôler le courant
d’électrolyse au minimum possible, sans noter de changement de performance. Lorsque la pile se réchauffe,
vous avez un effet de fuite thermique. Donc lorsque la pile devient plus chaude, elle écoule plus de courant, qui
la réchauffe encore un peu plus, ce qui fait s’écouler plus de courant, etc. Comme mentionné précédemment, un
contrôle d’électrolyse variable avec un ampèremètre serait idéal.
Il n’y a pas à ma connaissance de témoignages sur la dégradation à long terme du moteur fonctionnant avec la
pile. Le plus haut kilométrage dont j’ai personnellement entendu parlé est moins de 10 000 km, et comme tel est
encore bien trop précoce pour quelque forme d’appréciation que ce soit.
Fig.49 – Une vue générale de la Rover et de la connection de la pile externe.58
Chapitre 10
„N’analysez pas trop, n’expérimentez pas trop. Cela detruirait l’expérience et sa
force orgonomique créative.” – Dr. Willhelm Reich
QUAND LES CHOSES VONT MAL
Bien, mon cher lecteur, vous lisez cette section pour un certain nombre de raisons, dont certaines sont :
A. Vous lisez toujours un livre ou des notes de couverture à couverture avant de commencer un projet de
construction. Très bien, bonne idée, continuez à lire.
B. Vous êtes un scientifique de salon et vous lisez cette information pour voir si ça colle avec vos propres
petites opinions sur le sujet. Bonne chance et j’espère que, si vous trouvez quelque chose à ajouter en contribution,
vous le ferez librement et dans l’amour fraternel.
C. Vous lisez ce chapitre parce que vous avez fabriqué une pile par d’autres méthodes et vous cherchez un
arrangement rapide. Je vous recommande fortement de lire et d’absorber tous les précédents chapitres, car vous avez
peut-être une pile limite et cela pourrait être mieux de construire une nouvelle pile.
D. Vous êtes ici parce que vous avez suivi exactement toutes mes suggestions et votre voiture ne fonctionne
pas avec la pile.
Je ne m’intéresse ici qu’au lecteur D.
Approche du problème
Tout problème, indépendamment de sa complexité, peut être résolu d’une manière méthodique et rationnelle.
S’il semble insurmontable, brisez-le en plus petites sections commodes auxquelles vous pouvez faire face. Que cette
section plus petite ne couvre qu’un sujet seulement. Assurez-vous d’avoir une connaissance opérante du sujet. Prenez
votre temps et ayez quelqu’un à qui parler des solutions et approches que vous choisissez.
Il est important que vous ne changiez qu’une variable à la fois ! Si vous changez les variables à l’aveuglette
ou sans noter vos observations, à la fin de la journée vous serez plus mal en point qu’au début. Je suggère que vous
divisiez votre problème en les sujets suivants.
Tableau de recherche de défauts :- L’eau
1a. L’entretien de la pile- La construction de la pile
- L’opération de chargement
- L’interface pile-voiture
- Les modifications de la voiture
- La position géographique
- Le facteur Y59
- L’eau
Le problème le plus commun que vous rencontrerez est l’eau. Comme Joe l’a remarqué en de nombreuses
occasions, „l’eau va mal”. Ce n’est pas une explication scientifique, mais c’est bien dit. Donc, quels sont quelques uns
des problèmes avec l’eau ?
A. L’eau est-elle morte ou polluée depuis le début ? Si vous allez chercher, transportez et conservez l’eau vousmêmes, vous devriez connaître son histoire. Relisez le Chapitre 8. Si vous doutez encore, essayez ce qui suit. L’orgone
s’accumule dans l’eau et de ce fait, lorsque vous transférez l’eau hors de la pile, vous prenez la charge avec. Par
conséquent, si vous ou une connaissance avez une bonne pile, c’est-à-dire une pile au stade 3, l’eau peut maintenant
être substituée dans la pile suspecte. En mettant sous tension la pile suspecte, dans la minute, votre pile devrait être au
stade 3. Si la pile suspecte n’en vient pas au stade 3, l’eau n’est pas en faute ! Voilà le moyen de loin le plus simple pour
tester une pile suspecte. Malheureusement, vous aurez besoin d’une autre pile ou d’une aide extérieure. C’est pourquoi
je suggère qu’un groupe puisse garder une pile de test au stade 3 indéfiniment à l’usage des membres. Tout ce que cela
demande est que le „gardien de la pile” donne à la pile une „alimentation” quotidienne de 1 minute. Vous pourriez
même avoir un minuteur automatique qui applique 12 Volts à la pile pendant 1 minute toutes les 24 heures et la laisser
seule en un endroit convenable. J’ai gardé une pile de test au stade 3, suivant ces principes, pendant plus d’un an, et
l’idée marche bien.
Note : Ne laissez pas l’eau chargée hors de sa pile plus longtemps qu’une heure lorsqu’elle ne génère pas. J’ai
constaté que lorsque j’utilise de l’eau que j’ai conservée plus longtemps qu’environ 6 mois, en l’utilsant pour remplir de
nouvelles piles, j’obtiens un résidu très léger, blanchâtre au fond de la pile. Tout le reste marche bien, c’est-à-dire une
pile au stade 3 générant normalement. Mes bouteilles de 20 litres en Pyrex sont conservées dans le garage et sont
exposées aux voitures, au bruit, à des lampes fluorescentes, à de la musique, etc. J’ai désormais modifié le bouchon des
bouteilles de façon à ce que l’eau puisse respirer. (Voir figure 42.) Les bouteilles ont aussi été faites „étanches à la
lumière” avec un manteau de feutre 100% laine pourpre. Cela peut aider.
J’ai constaté que la „vieille” eau juvénile peut être réactivée par différentes formes de modificateurs d’eau.
J’utilise un appareil spécial à vortex d’eau et j’ai constaté qu’une pile qui ne voulait pas atteindre l’ stade 2 en une
semaine se retrouvait au stade 3 en 2 jours ! Cela est une grande nouvelle pour les gens qui doivent voyager sur de
longues distances pour obtenir leur eau. Bien sûr, la mauvaise nouvelle est que vous avez besoin d’un „gismo” comme
celui que j’utilise, ou bien vous voudrez peut-être essayer différentes eaux structurées du commerce pour trouver ce
qui marche. Je le répète, il est bien plus simple de laisser Mère Nature faire le travail pour vous, plutôt que de
dépenser des centaines de dollars sans garanties. J’ai parlé de cela au cas où vous utiliseriez déjà un „modificateur”
d’eau pour des raisons de santé. Si c’est le cas, essayez avec, vous n’avez rien à perdre.
B. Le pH de votre eau a-t-il changé ? Utilisez simplement votre test de pH sur l’eau de la pile. La mesure
devrait être la même. Sinon, soit les cylindres soit les isolants se défont et réagissent avec l’eau et l’électrolyte.
Assurez-vous que vous avez suivi les recommandations de précédents chapitres quant au chargement et au type de
matériau des isolants et des cylindres.
C. L’eau est-elle limpide ? Comme en B., les cylindres ou les isolants s’abîment. Ou bien la pile est entrée dans
un mode de création de matière de base. Comme ce thème est hautement controversé et n’est pas pertinent pour notre
sujet, votre seule option est de démonter complètement la pile, de la polir et de la nettoyer et/ou de remplacer les
isolants. Remplissez avec de l’eau juvénile nouvelle. Accomplissez les étapes de chargement comme dans le chapitre
8.
D. Y a-t-il un résidu au fond ? Comme en B. et C. ci-dessus.
E. Est-ce que les indicateurs de génération du stade 3 sont toujours les mêmes ? Lisez le chapitre 8 et assurezvous que le comportement des bulles et du ménisque sont les mêmes, spécialement la rétention de bulles à long terme.
Encore une fois, si tout échoue, essayez la vérification du voltage.
F. Avez-vous changé d’emplacement et la pile est installée maintenant dans une bande de faible densité
d’orgone ? Assurez-vous que la pile est au stade 3. Lisez le chapitre 8.
G. Avez-vous accidentellement court-circuité la pile ou inversé les polarités sur elle ? Regardez si elle reviens
au stade 3 si vous la mettez sous tension pendant 1 minute. Sinon, démontez, polissez et nettoyez tous les composants.
Remplissez avec de la nouvelle eau juvénile. Accomplissez les étapes de chargement du chapitre 8.60
H. Avez-vous permis au germe de mourir ? Lisez le chapitre 8. Passez par le stade 1, le stade 2 et le stade 3. La
pile atteindra peut-être le stade 2, voire même le troisième, en 3 minutes.
I. La pile s’est-elle renversée à une étape ? Essayez un chargement de 1 minute et voyez si la pile atteint le
stade 3. Sinon, démontez, polissez et nettoyez tous les composants. Remplissez avec de la nouvelle eau juvénile.
Passez par les étapes de chargement du chapitre 8.
1a. Entretien de la pile
J’ai constaté qu’après qu’une pile ait été en opération pendant environ 6 mois, malgré qu’il n’y ait pas
d’indications extérieures de dysfonctionnement, c’est-à-dire que la pile génère joyeusement, c’est une bonne idée de
faire l’équivalent d’un changement d’huile et d’un graissage. Vous pourrez trouver l’une ou l’autre des choses suivantes :
Il y a un léger dépôt sur les cylindres, particulièrement sur l’extérieur des cylinres de 1 et 2 pouces.
Les cylindres peuvent s’être affaissés du fait des vibrations, autrement dit leurs sommets ne sont plus aligné à
plat horinzontalement.
Si des isolants en caoutchouc sont utilisés, vous constaterez qu’ils peuvent avoir développé une déformation
ou un chemin conducteur d’électricité.
Certains des isolants, particulièrement les intérieurs d’en haut, peuvent avoir sur eux un dépôt léger blanc ou
gris.
Il peut y avoir une légère suspension ou colloïde vers le fond de la pile.
Il peut y avoir de légères indications d’un sédiment brun à la surface de l’eau.
Les parties métalliques de la pile peuvent avoir été magnétisées.
Les isolants du boulon d’en bas peuvent avoir rétréci et peuvent suinter.
Les connections électriques de la pile peuvent être desserrées ou corrodées.
La bague de compression pour le tuyau d’aluminium peut être desserrée.
Le court morceau de tuyau de caoutchouc ou néoprène jusqu’au bouchon borgne peut avoir vieilli.
Les remèdes pour tout cela s’expliquent d’eux-mêmes. Le seul problème difficile est lorsque la pile a été
magnétisée. Vous serez peut-être capables de démagnétiser la pile ou, au pire, vous pouvez faire remplacer ou traiter
thermiquement le cylindre en cause. Après que vous ayez démagnétisé votre pile, trouvez-lui un meilleur
emplacement, ou bien cela se reproduira !
Je fais un entretien tous les 6 mois de mes piles. Les étapes que j’accomplis sont :
Je verse l’eau chargée dans un récipient en verre de 5 litres et je le dépose en un endroit frais et sombre.
Evidemment le récipient de verre est propre et ne sert qu’à votre travail sur la pile Joe ! Rappelez-vous que vous
avez approximativement une heure pour replacer à nouveau l’eau chargée dans une pile germinante et
générante.
Puis je démonte la pile et je nettoie toutes les surfaces avec un acide acétique doux. Je trouev que ça n’est pas
nécessaire de repolir les cylindres, mais vous pouvez le faire si cela vous permet de vous sentir mieux. Je
tourne tous les isolants en caoutchouc de 180 degrés pour utiliser une nouvelle surface sans déformation. Je
lubrifie mon boulon et les isolants associés avec de la Vaseline et je réassemble la pile. A ce moment, l’eau
chargée est restée pendant une demi heure environ dans le cylindre de verre et la plus grande partie du sédiment
s’est déposé au fond du récipient de verre temporaire.
Maintenant je verse l’eau chargée à nouveau dans la pile en utilisant un filtre à café en papier pour capter tout
sédiment. J’arrête de verser l’eau chargée dans la pile lorsque les premières gouttes d’eau avec les sédiments
commencent à quitter le récipient de verre. Je me débarrasse de cette eau, ou bien je l’analyse pour m’amuser.
Je fais alors le niveau dans la pile avec de la nouvelle eau juvénile et je connecte la pile à l’alimentation
électrique. En quelques secondes vous verrez un fin nuage blanc se développer à la surface de l’eau. C’est le
résidu de l’acide acétique que vous utilisez pour nettoyer la pile. Je l’enlève simplement en essuyeant la surface
de l’eau avec une serviette en papier. Dans la minute, votre pile sera de retour au stade 3. Voilà, vous venez de
finir votre entretien pour 6 mois.
Note : Je répète, au cas où vous auriez oublié, que tous les récipients, eau, entonnoir, etc, doivent seulement
être utilisés avec de l’eau juvénile dans le nettoyage et le transfert de l’eau pour l’entretien de la pile. Il suffit d’une très61
petite quantité d’eau du robinet qui a été „améliorée” par cette bonne vieille humanité pour tuer la pile. Ne m’en voulez
pas si vous avez à repartir du stade 1 parce que vous avez été fainéants.- La construction de la pile.
Inutile de dire que vous devriez avoir suivi à la lettre les instructions indiquées dans ce manuel. Si vous ne
l’avez pas fait, vous savez évidemment comment fabriquer un type différent de pile et ces notes ne seront pas 100%
pertinentes, ou bien vous avez choisi d’être créatifs, économes, hasardeux ou insouciants au mauvais moment. Je le
répète, vous ne faites pas un grille-pain ! Vous essayez d’induire la force vitale à travailler pour vous. Vous ne pouvez
pas capturer la force vitale comme dans une cage. Elle entrera et sortira comme ça l’arrange. Elle peut pénétrer tous
matériaux !
Donc pour la contenir vous devez utiliser la géométrie et les mathématiques de la nature. Certaines dimensions
ne sont pas critiques, mais d’autres dimensions ont à être parfaitement exactes.
Si la pile fonctionnait au stade 3 et maintenant ne fonctionne plus.
A1. Un problème commun est que les cylindres ont bougé à cause d’une manipulation brusque, de vibrations
ou d’un mauvais diamètre des isolants. La solution consiste à démonter et réaligner la pile. Assurez-vous que vos
mains sont propres !
A2. Un autre problème commun est le recouvrement des cylindres et isolants avec divers résidus. Cela peut
être vu sur la pile démontée, comme une pellicule aisément enlevable sur les cylindres et isolants. Dans ce cas, traitez
comme une pile morte et démontez, polissez et nettoyez tous les composants après avoir trouvé la cause du problème.
Les causes usuelles sont : mauvais matériau de soudure ou mauvais flux décapant de soudure ; mauvais type de
matériau de cylindre ; mauvais type de matériau d’isolant ; ou problèmes d’eau comme dans la section 1 précédente.
Remplissez d’eau juvénile nouvelle et commencez au stade 1.
A3. Le matériau de la pile a été magnétisé du fait de son emplacement près des câbles de démarrage ou
d’autres câblages porteur de courant élevé, etc. Dans ce cas, trouvez le ou les composants magnétisés, avec votre
aimant test et remplacez, traitez thermiquement ou démagnétisez les composants affectés. Un emplacement chaud sous
le capot causera des problèmes similaires. Après avoir arrangé la pile, repositionnez la pile ou les éléments en cause.
A4. Les isolants ou les cylindres sont dissous à un certain degré. Vous remarquerez ça à la décoloration de
l’eau. Si vous avez suivi mes instructions, cela ne se produira pas. Le problème est un acier ou des isolants
incompatibles avec la combinaisons de l’eau et de l’électrolyte. Dans tous les cas, traitez la pile comme morte,
remplacez les composants défectueux, etc, comme en A2.
Si la pile n’a jamais fonctionné au stade 3
B1. Le type de matériau des cylindres. Comme dit dans le chapitre 5, le matériau que vous employez est
critique dans vos premières étapes d’apprentissage. Tous les 316L ne sont pas les mêmes ! Relisez le chapitre 5.
B2. Les dimensions des cylindres de la pile sont incorrectes. Relisez les chapitre 5 et 6. Les cylindres doivent
être à niveau pour la séparation critique des chambres qui est formée par les sommets des tubes cylindriques intérieurs.
Re-vérifiez que les cylindres sont à niveau. Vous ne devriez voir aucun jour en mesurant avec un bord plat.
B3. La finition des cylindres. Puisque les découpes des sommets et fonds sont finies au tour, elles devraient
être absolument douces, c’est-à-dire sans rugosité ni marques de coupe. De même, il ne devrait y avoir aucune bande
de chaleur là où les cylindres ont été coupés. La surface du reste du cylindre n’a pas a être doux comme un miroir,
mais assurez-vous qu’il n’y a pas de marques longitudinales ou d’égratignures. Si vous avez suivi le chapitre 5, ils
devraient être bons.
B4. Assurez-vous que la soudure est faite comme au chapitre 5. Assurez-vous que toutes les irrégularités
internes causées par le processus de soudure sont enlevées, sans causer de points de chaleur excessive.
B5. Assurez-vous que tous les raccordements filetés de la pile au moteur sont jointés métal sur métal et que les
filets ne sont pas couverts d’enduit d’étanchéité ou de bande de Teflon, etc.
B6. Assurez-vous que la pile est étanche à l’air. Mettez sous tension la pile pendant une ou deux minutes et
bloquez la sortie du tuyau d’aluminium avec vos doigts seulement. Vous sentirez le relâchement de la pression de gaz
en enlevant votre doigt. Ne faites pas cela près de flammes et/ou de gaz explosifs ! Cela vérifiera aussi que votre pile62
n’est pas en circuit ouvert ou en court-circuit et qu’elle accomplit bien une électrolyse.
B7. Dans B6 ci-dessus, les problèmes électriques les plus communs sont l’insertion serrée du boulon d’un ½
pouce dans le tube de 1 pouce et les isolants entre le boulon et le point de sortie inférieur de la pile.- L’opération de chargement
Les échecs peuvent être subdivisés en 3 sections :
A. Echec de l’arrivée au stade 1.
Si vous ne pouvez pas du tout électrolyser l’eau, vous n’avez pas lu le Chapitre 8. N’importe quel Fredo aveugle
et son chien peuvent le faire. Allez vous cacher et intéressez-vous à autre chose ! Sérieusement, peu de choses peuvent
aller mal. Si votre source d’électricité produit environ 12 Volts et si vous avez ajouté l’électrolyte comme décrit, alors
vous devez avoir une activité de bulles (même des minuscules qui ressemblent à une brume blanche) dans l’eau.
S’il n’y a toujours pas de bulles dans l’eau, connectez une ampoule de voiture de 12 Volts de n’importe quel
wattage ou type aux extrémités des fils que vous connectez à la pile. La lampe s’allumera si votre source de courant et
vos fils sont bons. Maintenant enlevez la lampe et mettez le fil positif sur la surface externe de la pile et le fil négatif
sur le boulon de ½ pouce qui connecte au cylindre de 1 pouce. Si vous n’avez toujours pas de bulles, la connection du
boulon de ½ pouces au tube de 1 pouce est défectueuse, mais cela est peu probable. Revérifiez les isolants qui isolent
le boulon de ½ pouce du récipient extérieur. Comme il y a maintenant de l’eau dans la pile, vous ne serez pas capable
de faire votre test d’isolants, mais vous devriez toujours lire plus que 10 Ohms de résistance du boulon à la boîte.
Soyez prudent avec des mesures induisants en erreur si la pile agit comme une batterie, car votre mesure d’Ohm sera
inutile.
B. Echec de l’arrivée au stade 2.
Je veux dire par là que la pile n’a pas germiné et reste au stade de l’électrolyse. C’est une pierre
d’achoppement très commune ! Comme expliqué, si la pile ne germine pas, l’indication en est qu’il n’y a pas de
changement dans la taille des bulles ou la tension de surface. Mon garçon, je me suis retrouvé là bien souvent et je
suggère ce qui suit :
B1. La première et plus commune indication est le recouvrement des cylindres par un revêtement de produits
chimiques variés. Dans mes premiers temps, lorsque j’ai pris la voie fainéante et que j’ai soudé à l’étain ou à l’argent les
joints de ma boîte, ce composant a fini partout à travers le reste de la pile à cause de l’électrolyse. Le positif est la
surface donneuse, qui est dans notre cas la boîte extérieure incluant les soudures, les enduits d’étanchéité, etc. Ce fait a
aggravé le processus de déposition.
B2. Un autre échec, avec sa contamination résultante, était l’usage du mauvais type d’enduit d’étanchéité sur
l’isolant central pour l’étanchéité du boulon de ½ pouce, là où il passe à travers le fond de la pile.
B3. De même, lorsque j’ai décidé d’emmanché à force les composants extérieurs de ma pile, j’ai utilisé sur les
joints un ciment d’étanchéité en silicone pour automobile. Cela aussi a fini par recouvrir toute la pile.
B4. Si l’eau sent une odeur malsaine ou s’il y a de l’écume flottant dessus, l’eau est devenue mauvaise.
Remplacez par de l’eau juvénile nouvelle et recommencez au stade 1.
B5. Vérifiez que vos isolants ont gardé leurs couleurs d’origine. Si le caoutchouc était rouge, assurez-vous qu’il
est toujours rouge ; si c’était du tuyau de silicone, assurez-vous qu’il est toujours transparent, etc. Les isolants peuvent
être bons pour le stade 1 d’électrolyse mais peuvent être très fuyants pour l’orgone.
B6. Votre zone de travail ou vous-mêmes pouvez être néfastes pour la germination de la pile. Voir chapitre 5 et
6.
B7. Vous ne recouvrez pas la pile pendant la nuit et/ou entre les expériences. Comme expliqué précédemment,
nous voulons maintenir sur la pile une très légère étanchéité à l’air. Cela est facilement réalisé en plaçant un couvercle
sur la pile de test, ou en ayant un bouchon d’aluminium à l’extrémité du tuyau, là où il s’ajuste sur le bouchon borgne
du moteur. Encore une fois, je dois me répéter, N’UTILISEZ PAS de collier de serrage aux deux bouts du manche de
raccordement en caoutchouc. Le manche de caoutchouc doit agir comm une valve de sortie anti-retour pour la pression63
dans la pile. La pression interne de la pile doit rester très proche de la pression atmosphérique pendant son
fonctionnement.
B8. Vous êtes juste trop impatients ! Cela peut prendre 4 semaines pour faire germer la pile ! Ne passez que
quelques minutes par jour avec elle et aller faire autre chose.
B9. Vous avez employé des matériaux incorrects. Cela a déjà été vu. Relisez s’il vous plaît la section 2.
B10. Vous avez utilisé la mauvaise eau. Idem. Relisez s’il vous plaît la section 1.
B11. Vous utilisez la mauvaise méthode de chargement. Idem. Relisez s’il vous plaît la section 3.
B12. Vous êtes le mauvais potentiel. Voyez le „facteur Y”, section 7 et chapitre 11.
Note : Pour tous les problèmes de cette section causés par la contamination de la pile par des dépôts, par l’eau
ou par les matériaux, démonter la pile, polissez, nettoyez et remplissez avec de l’eau juvénile.
C. Echec pour arriver au stade 3.
C’est l’échec de la pile à générer. Pour répéter, c’est l’échec de la pile à continuer d’augmenter la densité initiale
de germination jusqu’à une limite d’énergie d’orgone plus haute, bien que toujours finie. Les indicateurs en seront un
manque de bulles qui durent longtemps et de rétention de la tension de surface, et une absence manifeste de
fonctionnement ou un fonctionnement marginal. Habituellement vous atteindrez le stade 3 très tôt, c’est-à-dire
quelques jours après le stade 2. Une autre manière de décrire l’échec du lancement du stade 3 est que la pile est fuyante
à un point tel que la force d’orgone ne peut pas accumuler dans son emplacement présent suffisamment de densité pour
vos besoins.
C1. Le défaut le plus commun de la pile qui ne génère pas ou pas assez est causé par une eau marginale et/ou
des dimensions de constructions défectueuses et/ou des matériaux défectueux. Assurez-vous s’il vous plaît que vous
avez suivi ces notes à la lettre. Si vous avez modifié ou remplacé des composants, etc, vous savez manifestemment
quelque chose que je ne sais pas. Si votre pile a marché, j’aimerais l’entendre de vous, mais puisque vous lisez ceci et
si votre pile ne marche pas, je vous suggère de suivre mes instructions à la lettre ou d’essayer le manuel „comment
construire une pile Joe” de quelqu’un d’autre.
C2. Vous, ou votre environnement de travail, pouvez être néfastes pour le fonctionnement de la pile. Lisez les
sections 6 et 7.- L’interface pile-voiture
Si vous cherchez des défauts dans ce domaine, vous savez que votre pile est au stade 3, mais votre moteur
refuse de tourner à partir de la pile.
A1. Le tuyau de sortie de la pile. De nombreux diamètres et matériaux différents marcheront. Je vous
suggère, comme Joe, d’utiliser un tuyau en aluminium de 20 mm. A cause de l’action électrolytique, le cuivre va soit
polluer la pile soit se polluer lui-même. Le court morceau de tuyau de caoutchouc ou de néoprène ne doit pas avoir de
collier à l’extrémité qui s’attache sur le bouchon borgne d’aluminium. L’idée est de laisser la pression sortir en „rotant”,
mais sans laisser l’air rentrer. Le raccord devrait agir comme une valve anti-retour pour la pression de la pile causée
par l’action électrolytique. Le bout moteur du tube d’aluminium devrait avoir votre connection électrique positive
fermement maintenue sur le tube au moyen du même court morceau de tuyau glissé sur le tube. Ce bout devrait avoir
un collier pour compresser le tuyau de caoutchouc et le raccordement électrique au tube. Ce que vous faites, c’est
assurer votre connexion électrique tout au bout du tuyau d’échappement. Votre négatif, comme décrit précédemment,
ira au corps de la voiture (nous supposons une voiture moderne avec un système de terre négative).
Le raccord du tube au sommet de la pile doit être étanche à l’air sans utiliser d’enduit d’étanchéité ou de bande
de Teflon, etc. La bague de compression fera cela correctement. Essayez de tourner le tube d’aluminium pour le sortir
de la bague de compression. Si c’est étanche, vous ne serez pas capables de le bouger. Votre tube devrait aussi être
entouré d’une forme d’isolation pour empêcher les contacts avec le reste des parties métalliques de la voiture.
Idéalement, la pile devrait être pareillement protégée. Souvenez-vous, un seul court-circuit et la pile est morte !
A2. Connections électriques. Le fil positif venant du bout du tube en aluminium va, via un fusible de 5
Amp, à votre câblage de contact. Je veux dire par là que la pile devrait être connectée à l’électricité de la voiture64
seulement lorsque le contact est mis. Certaines personnes préfèrent faire passer ce fil par un interrupteur on/off qui est
placé dans la voiture. Lorsque vous connectez votre négatif à la voiture, il est préférable de le connecter directement
au bloc si les connections de terre de votre moteur ou de votre boîte de vitesse sont suspectes. Dans tous les cas,
lorsque le contact est mis, vous devriez mesurer 12 Volts positifs sur le corps de la pile et 12 Volts négatif au boulon
central. Sinon, vérifiez vos câblages, fusibles et interrupteurs, etc. La cause la plus probable d’une absence de voltage
est un fusible grillé parce que vous avez court-circuité la pile. Trouvez votre court-circuit, remplacez le fusible et
assurez-vos que la pile arrive au stade 3. Sinon, sortez la pile, nettoyez, polissez, mettez une nouvelle eau, etc,
autrement dit recommencez.
Les autres problèmes les plus communs sont l’utilisation d’enduits d’étanchéité sur la bague de compression.
C’est facile à repérer et arranger. Si vous avez 12 Volts dans la pile, ça ne veut pas nécessairement dire que vous avez
votre courant d’une intensité de 1 Amp. Pour vérifier cela, déconnectez temporairement la borne négative de votre pile
du corps de la voiture ou du moteur et mettez votre ampèremètre en série avec le boulon central et la connection à la
voiture. Vous devriez mesurer votre courant de 1 Amp. Sinon, vous avez un fil ou une connection à haute résistance,
ou bien la pile est défectueuse. Comme vous lisez ceci parce que votre pile est défectueuse, le problème est soit la
connection de votre tube d’aluminium, soit votre câblage. Localisez le problème pas à pas, en vous assurant de ne pas
court-circuiter ni inverser les polarités de la pile.
Comme dit dans le chapitre 9, l’intensité de 1 Amp est une valeur indicative. A 1 Amp la pile dissipe environ 13
Watts et la pile peut éventuellement se réchauffer lors d’un trajet étendu ou par une chaude journée. Vérifiez le chapitre
9 pour des recommandations.
A3. La conception de la pile Si vous avez fabriqué une pile avec un fuselage incorrect de votre cône, la
force d’orgone va se focaliser avant qu’elle atteigne le moteur : la pile va travailler brillamment sur le banc d’essai,
mais ne va pas faire tourner la voiture. La seule raison est vous n’avez pas construit une pile comme décrite dans ces
notes. Pour résumer rapidement les angles du cône, un angle de commet du cône de moins de 45 degrés est hautement
suspect.
A4. L’emplacement de la pile. Vérifiez, ainsi qu’expliqué précédemment, que la pile se trouve à un
emplacement favorable dans la voiture. Est-ce un endroit frais ? Est-elle à l’horizontale ? Est-elle placée aussi loin que
possible des câblages haute-tension ? Est-elle placée dans une zone à faible vibration ? Non pas comme un scientifique
acharné qu’il l’attache à son moteur !!!
Puisque l’orgone a une préférence verticale lorsqu’elle quitte la pile, il est de bon conseil de réduire au
minimum les trajets horizontaux et descendants du tube.
Une pile placée dans le coffre, avec un trajet de 4 mètres jusqu’au moteur, n’est pas une très bonne idée. Encore
une fois, une pile non-fuyante peut parcourir 60 mètres ou plus dans un tube horizontal, mais pourquoi tentez le
destin ? En ce qui concerne la pile (mais pas le passager), le logement des pieds du passager avant est un emplacement
convenable où placer temporairement votre première pile. Un tube passant par la cloison et un tube court (moins d’un
mètre) jusqu’au bouchon borgne à l’arrière du moteur (non V8) fonctionne très bien. Remarquez s’il vous plaît ! Une
pile dans la zone des pieds du passager sera illégale dans certaines régions ! Donc, vous utilisez évidemment cette
voiture en terrain privé jusqu’à ce que vous la faites approuver légalement.
Note : A ce point de la liste de résolution des problèmes, vous savez que votre pile est au stade 3 et qu’elle est
connectée correctement à la voiture. Donc si les choses ne marchent toujours pas, laissez ce domaine tranquille ! Ne
défaites pas ce dont vous savez que ça fonctionne, autrement dit ne démontez pas votre pile ou les connections
associées à la voiture, tout ça est OK ! Laissez tout ça tranquille et chercher les problèmes dans les seuls domaines
restants, ceux que vous n’avez pas encore examiné, à savoir les sections 5, 6 et 7. A moins de garder une approche
systématique de l’installation et des procédures de résolution des problèmes, vous n’arriverez jamais à faire tourner la
voiture avec la pile.- Les modifications de la voiture
Pour commencer, je vais encore affirmer l’évident. Certaines voitures seront plus faciles à modifier que d’autres
ou, plus important, tout le monde ne sera pas capable de modifier toutes les voitures ! Donc, à moins que vous ne
soyez masochistes et vouliez faire de la vie de vos amis une misère, choisissez une voiture facile ! Ce n’est peut-être
pas, bien sûr, la vieille bagnole fidèle qui trône dans votre garage. Vous devriez aussi avoir suivi le chapitre 9 avant de
lire ce qui suit.
Vous lisez ceci parce que vous SAVEZ que votre pile génère toujours, autrement dit fonctionne au stade 3, que
les raccordements à votre voiture sont OK et que les connections électriques sont OK. Vous avez démarré votre voiture
au pétrole et après qu’elle se soit réchauffée, vous avez soit éteint la pompe à carburant électrique, soit arrêté l’arrivée
de carburant dans la pompe ou sortant de la pompe. Maintenant que se consume le carburant restant dans le système65
d’injection, le moteur hésite et s’arrête (à ce point je ne parle que de moteur à injection). C’est ainsi que je m’attends à
ce que vous testiez la phase de changement. Vous comptez vraiment trop sur votre chance si vous vous présentez à une
voiture froide comme la pierre, enlevez le carburant du moteur et commencez à actionner le démarreur ! J’espère que
vous avez plein de batteries chargées !
La voiture va fonctionner soit entièrement, soit irrégulièrement, soit pas du tout.
A1. La voiture ne montre aucun signe de fonctionnement à partir de la pile. Je veux dire
par là que dès que le moteur tourne sans carburant, la voiture s’arrête. Beaucoup de gens en arrivent là, mais accusent
des composants incorrects. Comme dit plus haut, vous êtes ici parce que vous savez que toutes les sections
précédentes fonctionnent correctement. Il ne reste plus que les sections 6 et 7. Présumons donc que la voiture est en
faute, puisque nous en sommes à ce thème. Je peux vous affirmer comme un fait qu’une Rover V8 de 1971 démarrera
du premier coup et roulera comme dans un rêve. D’un autre côté, une Mini Minor 1100cc ne pensera même pas à
démarrer du premier coup. Pourquoi ? Il y a beaucoup de petites théories traînant à ce sujet, mais comme ce sont mes
notes, je vous donnerai ma théorie, basé sur la logique.
Note. La théorie suivante pourra peut-être être réfutée par des preuves. Ma façon de voir est que l’eau et les
alésages des cylindres dans le moteur agissent comme un accumulateur d’orgone à une couche, c’est-à-dire un matériau
organique (l’eau) entourant un cylindre non-organique (la chambre). Comme tel, un moteur avec une chambre qui est
entièrement entourée d’eau sera de loin supérieur à un moteur avec des chambres jumelées ou une méthode de moulure
qui ne permet pas à l’eau d’entourer complètement chaque cylindre. Maintenant, puisque la plupart des blocs en
aluminium ont pour alésage des chemises de cylindre en métal pressées dans le bloc d’aluminium, cette caractéristique
permet une pleine circulation de l’eau et complète notre accumulateur d’orgone à une couche. Cela le rend aussi moins
fuyant et plus conducteur pour la conversion au système de la pile Joe. Souvenez-vous, l’orgone aime l’eau. C’est aussi
(d’après moi) la raison pour laquelle une personne qui choisit un moteur à refroidissement par air aura plus de
problèmes qu’une personne utilisant un moteur à refroidissement liquide.
Ce qui précède me donne une raison pour expliquer que certains moteurs démarrent du premier coup alors que
d’autres peuvent prendre des semaines pour s’y mettre. Deux autres effets retardent ou assistent ce qui précède.
Le premier est que l’orgone semble „aimer” voyager dans l’aluminium ou trouve l’aluminium plus difficile à
pénétrer. Ainsi elle aura tendance, lorsqu’elle quittera notre tube d’aluminium, soit à préférer le bloc en aluminium, soit
à avoir une plus grande difficulté à s’en enfuir une fois qu’elle sera dedans. Je serais le premier à admettre que je ne
comprends pas cet effet, mais il est décidément là. Lorsque davantage d’informations seront disponibles, je mettrai ces
notes à jour.
Le second est la conversion plus facile des moteurs V8. Comme notre raccord d’entrée obturé est localisé
dans le V formé par les deux bancs de 4 cylindres, la distribution d’orgone depuis la pile est idéale, autrement dit c’est
une entrée centrale, presque équidistante et proche de tous les cylindres. Une autre caractéristique importante est que
le point d’entrée est du côté froid du moteur, autrement dit le système d’échappement est de „l’autre côté” des cylindres.
Cela aussi donne un avantage à un moteur à écoulements transversaux (admission et échappement opposés).
Que faire, donc, de ce qui est dit ici ? Je suggère, comme Joe, de commencer une conversion facile jusqu’à ce
que vous ayez développé de la confiance en vous, et donc le „facteur Y”. Allez voir une voiture déjà convertie pour le
croire, ou bien convertissez une vieille Rover ou Leyland V8 dans le cadre d’un travail collectif. Je ne vois pas
pourquoi les différents clubs et groupes d’intérêts ne pourraient pas se regrouper pour acheter ensemble une vieille
épave.
Si vous insistez pour convertir votre moteur en fonte (de fer) ou à refroidissement à l’air, préparez-vous à
attendre les changement moléculaires qui semblent se produire dans la fonte de fer, les cylindre jumelés ou les moteurs
de type collecteur. Comme Joe l’a affirmé, cela peut prendre 3 à 4 semaines. Personnellement, j’ai installé des piles qui
sont au stade 3 et je les ai laissées „tourner” sur la voiture. La voiture était conduite normalement au pétrole ou au gaz,
jusqu’à ce que le ralenti ou le fonctionnement du moteur change notablement. C’était l’indicateur que les changements
„moléculaires” avaient eu lieu et que la voiture était prête. Ce que vous pourriez aussi vouloir essayer, c’est de
remplacer l’eau normale du radiateur par de l’eau SPECIALE chargée au stade 3 (voir chapitre 8 concernant l’eau
spéciale de stade 3). Cela devrait accélérer le processus d’acclimatation.
Comme la plupart des moteurs modernes utilisent des formes d’additifs inhibiteurs et anti-gel dans l’eau, vous
aurez à considérer les conséquences de votre jeu avec ce mélange. L’inconvénient de se débarrasser de ces additifs
peut être une corrosion accrue sur les composants en aluminium, c’est-à-dire la culasse, les collecteurs, la pompe à eau,
etc. A cause de la tendance du moteur à fonctionner bien plus froid avec la pile Joe, je vous recommanderais de laisser
le Glycol dans l’eau. Manifestement, vous jetez par la fenêtre toutes les garanties des nouvelles voitures à partir du
moment où vous ajoutez à votre voiture la pile Joe et les conversions qui vont avec.66
A2. Voitures à injection. Le moyen le plus simple de traiter ces voitures est d’accomplir une conversion
entière au gaz. De cette façon, vous avez un système à double carburant, autrement dit Joe cell ou gaz. En outre, vous
bénéficiez des avantages d’une plus longue durée de vie pour votre moteur, comme au Chapitre 9.
Résumé de la section
Donc simplement, tout ce que je peux suggérer dans cette section est que si la voiture ne démarre pas DU
TOUT et que toutes les autres sections ont été examinées, vous devriez donner à la conversion un maximum de 4
semaines pour que la pile prenne la relève. Si la pile ne s’y met pas dans cette période, les chances seront vraiment
maigres qu’elle fonctionne un jour. Il semble que vous n’ayez que quelques chances restantes. Quelques personnes ont
fait surface en Australie, qui sont capables de modifier votre voiture et votre pile par l’application de groupes de
cristaux spécifiquement fabriqués et correctement positionnés. Cela a émergé comme une science nouvelle, pas si bien
comprise. Cependant, cela garantit à peu près que la pile fera tourner la voiture d’une manière ou d’une autre.
Une découverte récente faite par un expérimentateur passionné en énergie alternative de Adelaide (Australie)
était que la voiture ne fonctionnait à partir de la pile qu’après que la voiture ait atteint une vitesse de 80 km/h.
Evidemment, s’il avait seulement essayé de faire tourner la voiture sur la pile dans une situation stationnaire de
démarrage, il n’aurait jamais découvert que la pile marchait. Donc, comme il est un grand penseur latéral, il a emmené
la voiture faire un tour au pétrole, puis il a éteint la pompe à carburant électrique lorsque la voiture a atteint la vitesse.
Comme la voiture ne voulait pas tourner au ralenti, il a simplement allumé la pompe à carburant avant que le moteur
ne retourne à la vitesse de ralenti. Je devine que sa pile était très fuyante ou que le transfert d’orgone au moteur était
pauvre et donc insuffisant pour les besoin du moteur, et que le mouvement de la voiture a causé un chargement avec
l’orgone supplémentaire tandis que la voiture roulait.
Par cet exemple, je veux dire que vous ne devriez pas abandonner trop facilement et qu’avec un peu
d’expérimentation votre voiture pourra aussi tourner à l’orgone.
Toutes les voitures, y-compris les chariots élévateurs, les dragsters et les moteurs diesels que Joe a convertis,
ont fini par fonctionner ! Si votre voiture ne fonctionne pas, consultez votre „expert” favori, ou bien envoyez-moi ou à
l’éditeur un mot, seulement en dernier ressort, lorsque vous avez épuisé toutes les autres voies. Soyez raisonnables s’il
vous plaît, rendez-vous compte que je ne suis qu’une seule personne, j’ai une vie et une famille, je ne suis pas payé
pour le temps que je vous donne ou que je donne aux centaines d’autres ayant besoin d’aide. Quoi qu’il en soit, je ferai
de mon mieux.
A3. La voiture fonctionne irrégulièrement – ou n’atteint pas la puissance maximale, ou démarre
et puis s’arrête. Cela pourrait être causé par beaucoup de choses et vous aurez à pister logiquement le défaut en
éliminant l’une après l’autre les causes supectes. Remarquez que certaines causes typiques sont listées ci-dessous mais
ne sont pas listées dans un ordre spécifique :
La pile a un rendement insuffisant. Vérifiez qu’elle est toujours au stade 3.
La pile contient trop d’eau. Rectifiez.
La pile a un rendement insuffisant à cause d’une mauvaise conception. Lisez le Chapitre 5.
La pile est trop petite. Lisez le Chapitre 5.
Le tube de la pile au moteur est d’une forme, d’un diamètre ou d’un matériau incorrect. Lisez le Chapitre 9.
L’emplacement du bouchon borgne n’est pas optimisé sur le moteur. Lisez le Chapitre 9.
La pile est devenue magnétique. Voir les sections précédentes.
La journée est chaude ou la pile est trop chaude. Touchez la pile !
La pile est trop chaude à cause d’un courant d’électrolyse excessif. Attendez que la pile se refroidisse, puis
réajustez le courant.
La pile est montée à un mauvais emplacement dans la voiture. Lisez le Chapitre 9.
La journée est pluvieuse ou humide. Voir section 6.
Vous, vos passagers, vos animaux ou l’endroit où vous êtes, interagissez avec une pile faible. Voir section 7.
Votre avance à l’allumage n’est pas optimisée. Ajustez !
Votre eau s’est „dissoute” ou bien le niveau d’eau est descendu. Rectifiez !
Vos cylindres sont pollués. Démontez et nettoyez.
Vous êtes dans une zone de DOR élevé avec une pile faible. J’espère que vous pourrez quitter cette zone avant
que la pile ne meurt.67
Vous êtes dans une bande d’orgone bas ou inversé. Comme précédemment.
Le Soleil ou l’activité planétaire est nuisible à la génération de la pile. Passez au carburant „normal” et
attendez des temps plus favorables.
Votre niveau d’électrolyse est trop bas pour faire fonctionner le moteur.
Votre câblage ou la pile ont acquis une résistance élevée. Vérifiez avec un ampèremètre pour vous assurer
que le „courant de fonctionnement” de votre choix est toujours bon.
Le flux d’air entrant dans le moteur est „incorrect” à ce niveau particulier de fonctionnement du moteur. Nous
travaillons sur ce problème, mais comme remède temporaire, certains opérateurs de pile ont modifié le système
de carburant pour fournir un léger flot de pétrole dans le moteur au niveau de fonctionnement qui pose
problème.
A4. La voiture fonctionne.
Super ! Bon pour vous, mais rappelez-vous qu’elle ne fonctionnera pas tout le temps. Elle s’arrêtera sans que
vous vous y attendiez et sans signes d’avertissement, donc ayez toujours un système de double carburation prêt à s’y
mettre. Il serait hautement embarrassant d’être à des milliers de kilomètres de chez soi et d’avoir à demander au
mécanicien du coin de réparer votre conversion à la pile Joe ! Vous devriez voir un regard intéressant sur son visage.
La performance de votre voiture sera déterminée par la réserve de densité d’orgone que vous avez à la demande.
Une pile fuyante ou de trop faible capacité ne vous donnera pas une puissance maximale. Une bonne pile vous
donnera au moins la même performance que le carburant normal, mais habituellement une étendue (ou portée) de
puissance améliorée, avec un fonctionnement plus doux et un moteur plus docile.
Pour ramener la voiture au carburant normal
Il m’est arrivé, comme à beaucoup d’autres gens, que des individus s’approchent de nos piles et que celles-ci
soit en arrivent au stade 3, soit retournent brusquement du stade 3 au stade 1. Ma pile de test favorite était au stade 3
depuis 10 mois et je fus assez stupide pour la laisser être observée par un individu qui admettait lui-même être „vide
d’énergie et au plus bas”. En quelques secondes d’observation de ce type, ma pile quitta le stade 3 et se retrouva à un
stade 2 faible. Le matin suivant, elle était absolument morte. Il avait plu lourdement, ce qui avait encore plus fragilisé
ma pile. Je l’ai mise en pièces et j’ai nettoyé toutes les parties métalliques en espérant que l’eau était encore chargée.
Pas de chance ! J’ai maintenant reconstruit la pile avec de la nouvelle eau et j’attends toujours qu’elle atteigne le stade
2 ! Comme au Chapitre 8, vous avez été prévenus, gardez pour vous votre pile vivante. Un ami m’a rapporté qu’une
pile qui ne voulait pas atteindre le stade 2 jaillit à la vie (stade 3) lorsqu’un de ses amis était à 20 mètres de distance,
puis entra dans une frénésie lorsqu’il s’approcha. Lorsque son ami partit, la pile mourut de nouveau ! Histoires vraies.
Si, pour des raisons mieux connues de vous-mêmes, vous avez décidé de reconvertir la voiture à la normale,
vous devriez accomplir les étapes suivantes :
Ôtez la pile, les câblages, les fixations, etc.
Bouchez de manière professionnelle TOUS les trous que vous avez faits dans le sol ou la cloison. Si des trous
demeurent, la moisissure pourrait entrer dans le véhicule et donc causer de la rouille. Plus important, certains
trous pourraient laisser entrer des gaz qui peuvent vous tuer vous ou d’autres occupants !!!
Ramenez à la normale l’avance à l’allumage selon les recommandations des constructeurs.
Remplacez toutes les huiles et eaux spéciales qui étaient utilisées pour faire fonctionner la voiture avec la
pile.
Ôtez tout filtre à air ou silencieux à vortex, à moins que vous ne vouliez encore les utiliser pour économiser
du carburant.
Maintenant l’amusement va commencer. Comme il pourrait y avoir un résidu de charge d’orgone dans le moteur
ou la structure de la voiture, le moteur peut refuser de fonctionner à l’avance à l’allumage normale. Elle peut ne
retourner au fonctionnement normal qu’après des semaines, mais pendant le temps d’intervention le moteur
fonctionnera brusquement, refusera de tourner au ralenti avec la vitesse normale de ralenti et sera une vraie souffrance
à conduire. Une solution suggérée est d’utiliser un câble épais (un câble de démarrage est parfait) et de connecter l’une
de ses extrémités à la borne positive de la batterie pour passer très brièvement l’autre extrémité sur le moteur, là où
était situé le bouchon borgne pour le tube de transfert de la pile, ou près de cet emplacement. Cela produira un courant
massif momentané, s’écoulant à travers le moteur vers la terre (parties métalliques de la voiture) et finalement de
retour à la borne négative de la batterie et ainsi renversera (espérons-le) la charge d’orgone et donc videra le moteur.
Assurez-vous d’avoir d’abord déconnecté tous les câbles qui sont sur la borne positive de la batterie avant de
tenter ce qui précède !
NOTE ! L’opération précédente est un effort de dernière instance mené par des mécaniciens compétents. Cela68
est dû aux dommages très coûteux et mortels qui peuvent vous arriver à vous et à votre voiture :
Vous pourriez détruire votre ordinateur de bord, l’alternateur, le régulateur et/ou les diodes, l’auto-radio, les
jauges et tout autre appareil électronique de votre voiture.
Puisque vous créez des courants massifs, vous avez une chance certaine de faire fondre des câbles fins
connectés entre le moteur et la terre.
Puisque vous créez également des étincelles près de la batterie de la voiture (si elle se trouve sous le capot),
vous avez une certaine chance d’enflammer le gaz d’hydrogène dans la batterie, provoquant ainsi une large
explosion avec une projection généreuse d’acide sulphurique. Cela pourrait VOUS MUTILER OU MÊME
VOUS TUER vous ou d’autres observateurs, et détruire bien sûr l’avant de la voiture.
Encore une fois, je ne recommande pas cette méthode, à moins que vous ne sachiez exactement ce que
vous faites. Je la mentionne simplement pour être complet, car elle est employée par certaines personnes.- La position géographique
Comme dit précédemment, l’orgone n’est pas une couverture de densité constante ni régulière sur cette planète.
Quelques uns des problèmes résultants sont les suivants :
La densité varie de façon saisonnière.
La densité varie avec le moment de la journée.
La densité varie avec les mouvements planétaire.
La densité varie avec le cycle du Soleil.
La densité varie avec l’altitude.
La densité varie avec la position géographique.
La densité varie avec les „usagers” de l’énergie d’orgone, c’est-à-dire une voiture proche.
La densité varie avec le temps qu’il fait.
La densité varie avec l’introduction de polluants.
La densité varie avec le magnétisme de la Terre et le magnétisme cosmique.
Comme vous pouvez le voir ci-dessus, c’est un miracle que nous puissions utiliser l’énergie d’orgone avec notre
savoir primitif et notre pile encore plus primitive. La solution principale est d’avoir une pile qui n’est pas trop fuyante.
Cela signifie que la pile est toujours sur-générante, vous donnant ainsi un temps valable pour conduire la voiture hors
de la localité défavorable. Voilà pourquoi j’ai suggéré que vous ayez un système de double carburation et que vous ne
comptiez jamais sur la seule pile. C’est une chose de la voir défaillir dans votre garage et une chose complètement
différente de la voir défaillir loin de chez vous.
L’orgne a un dégoût très grand pour toute forme de rayonnement électromagnétique fait par l’homme. Donc
toute grosse ligne électrique à haute tension, transmetteurs, radars d’aéroport, installations militaires ou sources
radioactives provoqueront une réaction de l’orgone créant du DOR („Deadly Orgone Radiation”). Ca peut être si grave
que, comme l’a dit Joe, „l’eau est devenue mauvaise”. Malheureusement, comme vous vous en doutez probablement,
cela rend nécessaire un nettoyage des cylindres et isolants, de la nouvelle eau, etc. Tout juste, de retour au stade 1.- Le facteur Y
Aux genres de scientifiques rationnels, n’acceptant que les preuves (et „died-in-the-wool”) : vous allez détester
ça ! Normalement, tout ce qui ne peut pas être expliqué dans le cadre des théories existantes qui sont connues comme
des „faits”, est placé sous la catégorie de „phénomène observé expérimentalement”. Ce qui suit entre dans cette
catégorie. Fondamentalement, comme Reich l’a découvert, le facteur Y représente simplement vous („You”). Oui,
malheureusement, lorsque vous allez dans les domaines gris où la science connu se confond avec l’inconnu, vous
entrez dans des zones qui vont étendre votre système de croyance si vous le permettez. J’aurais pu très facilement
laisser hors de ce livre le soi-disant charabia non-scientifique et me donner ainsi au moins une petite „crédibilité
scientifique”, peu importe ce que cela veut dire. Heureusement, je suis auto-financé et je ne vis pas de bourses en
écrivant des articles „sélectionnés”, aucune multinationale ne peut commodément me faire taire ou reformuler ce qui
précède pour le faire convenir à leur besoin. En réalité, il est pas important que vous croyiez ou non au facteur Y, il
existe de toute façon et vous devriez réellement considérer le concept selon lequel toute la création est intimement
liée, de façon permanente et instantanée.
Le facteur Y fera que votre pile Joe soit ne germera pas, soit ne génèrera pas ou pauvrement, ou envore se
comportera de façon intermittente, en fonction des énergies vivantes autour d’elle à chaque moment. Ce n’est pas une69
fable sortant de mon cerveau dément, mais un fait observé, enregistré partout dans le monde depuis des siècles
indénombrables.
La meilleure procédure avec la pile ou pour tous les efforts concernant cette matière est de la traiter avec un
esprit ouvert. Vous n’avez pas à croire qu’elle va fonctionner, mais pareillement, vous ne devriez pas douter qu’elle
peut fonctionner. N’analysez pas trop, ne mettez pas des oeillères à votre processus de pensée en supposant que vous
avez appris tout ce qu’il y a à savoir.
Ce serait idiot de croire qu’avec votre „vaste connaissance” vous puissiez affirmer catégoriquement que ce
concept de pile Joe ne pourra jamais marcher. A moins que vous ne soyiez le Tout-puissant lui-même, vous apprendrez
de nouvelles choses tous les jours pour le reste de votre vie.
J’ai parlé avec beaucoup, beacoup d’individus intelligents qui refusent simplement de croire qu’une voiture
puisse fonctionner grâce à ce qu’ils considèrent comme rien. Ils ne peuvent pas plus comprendre comment ce rien peut
entrer dans un moteur de „métal solide” sans passer par aucune ouverture et faire tourer le moteur sans pollution
mesurable. Cependant, ces mêmes individus qui se considèrent eux-mêmes comme sains (avec des réserves sur ma
santé mentale) sont assez heureux de dépenser de grosses sommes d’argent ou de suivre quelque bizarre lubie new age
en médecines ou en techniques de self-thérapie avec bien moins de preuve ou de science derrière elles !
Commentaire de conclusion
„Ils me disent dérangé. Espérons qu’ils aient raison. Il n’est pas très important qu’un
autre idiot se balade sur terre, mais si j’ai raison et la science a tort, alors que le Seigneur
Dieu ait pitié de l’humanité.” – Viktor Schauberger.
Mon cher et patient lecteur. Je n’ai à aucun moment affirmé que la pile Joe est semblable à la fabrication d’un
grille-pain. Puisque vous traitez avec une force vitale peu connue et dépourvue de masse, vous êtes en position
difficile dès le départ. Votre bataille est ardue et solitaire, avec des „experts” ricanants et railleurs qui des deux côtés
attendent votre chute. De même, je n’ai à aucun moment dit que tout le monde peut convertir toutes les voitures. De
plus, une fois que vous aurez converti la voiture de votre choix, il n’y a pas de garantie quant à la durée de son
fonctionnement avant que la génération ne s’arrête et que le germe ne meurt.
Avec l’état d’esprit correct, tout ce qui précède n’est que problèmes mineurs et défis appréciables. Si vous
approchez cette conversion dans la hâte, sans réellement croire dans votre coeur que cela peut marcher, ou si votre
intention est de faire beaucoup d’argent facile, le facteur Y vous mordra, alors ne commencez même pas car vous
perdez votre temps et votre argent. Pensez-y ! Si c’était si facile et si tout un chacun pouvait exploiter la force vitale,
pourquoi cela n’est-il pas une production de masse dans le monde réel ? La réponse est simple. C’est exactement l’état
d’esprit de tels individus qui les empêchent d’utiliser les secrets de Mère Nature.
Mon objectif a été de vous montrer une méthode de construction de la pile qui fonctionne pour moi.
Evidemment, il y a beaucoup de moyens différents pour encourager la force vitale à entrer dans un accumulateur,
l’emmagasiner, augmenter la densité emmagasinée et finalement utiliser la force en la faisant travailler lors de sa
libération. Un peu comme un barrage et une turbine à eau. J’ai lu tous les matériaux qui m’étaient disponibles au sujet
de la force vitale et de son utilisation. Pendant 6 ans, j’ai compilé, analysé et expérimenté avec les combinaisons qui
montrèrent le plus grand potentiel. Je ne suis pas infaillible, pas plus que je ne prétends faire les meilleures piles. Je
prétends seulement que je fais des piles qui fonctionnent ! Vous lisez un peu de ce travail. Je vous donne cette
information librement et j’espère que vous la distribuerez aussi gratuitement. Ce que vous faites avec ce savoir est
votre décision. Espérons que, comme résultat de vos efforts, vous partagerez tout nouveau savoir ou astuce avec le
reste d’entre nous, afin que nous puissions tous grandir ensemble comme une fraternité.70
Chapitre 11
„Commencez par oublier ce que vous avez appris.” – Armand Barbault
PENSEES DIVERSES
Cette section est une lecture optionnelle. Elle est là pour le lecteur qui veut une meilleure vue d’ensemble de
l’orgone, de la théorie de l’accumulateur d’orgone et de diverses oeuvres qui les renforcent, y-compris d’autres de mes
propres commentaires.
La Table d’Emeraude
Ceci est l’oeuvre d’Hermès à propos de la force Cosmique, qu’il appelle Soleil (traduction de l’Hortulain).
„Il est vrai, sans mensonge, certain, & très véritable. Ce qui est en bas, est comme ce qui est en haut :
et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, pour faire les miracles d’une seule chose. Et comme toutes
les choses ont été, & sont venue d’un, par la méditation d’un : ainsi toutes les choses ont été nées de cette
chose unique, par adaptation. Le soleil en est le père, la lune est sa mère, le vent l’a porté dans son ventre ; la
Terre est sa nourrice. Le père de tout le telesme [works of wonder] de tout le monde est ici. Sa force ou
puissance est entière, si elle est convertie en terre. Tu sépareras la terre du feu, le subtil de l’épais
doucement, avec grande industrie. Il monte de la terre au ciel, et derechef il descend en terre, & il reçoit la
force des choses supérieures et inférieures. Tu auras par ce moyen la gloire de tout le monde ; et pour cela
toute obscurité s’enfuira de toi. C’est la force forte de toute force : car elle vaincra toute chose subtile, et
pénétrera toute chose solide. Ainsi le monde a été créé. De ceci seront & sortiront d’admirables adaptations,
desquelles le moyen en est ici. C’est pourquoi j’ai été appelé Hermès Trismégiste, ayant les trois parties de la
philosophie de tout le monde. Ce que j’ai dit de l’opération du Soleil est accompli, et parachevé.”
Calcul de l’angle de cône
Je doit prévenir le lecteur que cette section est, comme le chapitre 6, une création de mon cerveau, esprit ou
imagination. De ce fait, traitez-la avec précaution. Prouvez toutes choses, tenez fermement à la vérité !
Le cône a à accomplir une tâche très difficile. Comme l’orgone ne peut pas être tenu captif contre sa volonté,
nous devons réaliser d’une manière ou d’une autre une transformation d’impédance depuis l’assemblage du cylindre
contenant jusqu’au resserrement du raccord de sortie, puis jusqu’au tube d’aluminium de la pile à la voiture. Les
problèmes scientifiques sont un défi, d’abord parce que la science conventionnelle, en général, nie l’existence de
l’orgone ; ensuite parce que cette force invisible, dépourvue de masse et difficile à mesurer, ne se prête pas à une
analyse facile.
Donc un „timbré” doit être préparé à faire au moins un effort pour expliquer l’inexplicable. Il doit être préparé à
mettre sa réputation en jeu, avec au moins une quelconque forme de théorie qui pourrait éventuellement être corrigée
et développée, pour produire finalement des faits concrets. Donc voici :
Puisque nous nous occupons de fréquences et des harmoniques résultantes, tous les atomes et molécules
doivent avoir une signature individuelle. Donc les harmoniques du matériau du cône peuvent jouer un grand rôle pour
contenir et guider le champ du vortex d’orgone à pulsation double.
Les calculs pour les fréquences complexes d’harmoniques sont très difficiles. J’ai donc choisi de prendre la voie
plus facile consistant à travailler à partir d’un paramètre connu, puis d’obtenir les détails inconnus. Il y a une relation
entre les fréquences et les poids atomiques. Puisque nous avons une honnête classification de ceux-ci, je baserai par
conséquent mes calculs d’angle de cône sur les poids atomiques des éléments concernés.71
Je fais toujours références à l’angle formé à l’intérieur du sommet du cône.
Vous pourriez facilement chercher les poids atomiques par vous-mêmes, mais pour vous épargner du travail, je
ferai la liste de ceux qui sont concernés par mon explication.
Elément Poids atomique
Hydrogène 1,00794
Carbone 12,011
Magnésium 24,305
Aluminium 26,98154
Silicone 28,0855
Phosphore 30,97376
Soufre 32,06
Titanium 47,88
Vanadium 50,9415
Chrome 51,996
Manganèse 54,9380
Fer 55,847
Cobalt 58,9332
Nickel 58,69
Cuivre 63,546
Zinc 65,38
Molybdène 95,94
Argent 107,8682
Etain 118,69
Or 196,9665
Analysons maintenant les constituants principaux de l’acier inoxydable 316L.
Fer 72%
Chrome 16%
Nickel 10%
Molybdène 2%
Comme le reste des éléments constitue 1% ou moins, je ne les prendrai pas en compte dans les calculs. De
même, les pourcentages ci-dessus sont variables et j’utilise les valeurs minimales qui peuvent porter l’appellation
316L. Si vous voulez un calcul d’angle de cône plus précis, utilisez ma méthodologie et renforcer vos propres chiffres.
Vous verrez que la tolérance finale de fabrication absorbera votre perfection numérique.
L’étape suivante est d’ajouter aux poids atomiques des éléments concernés leur pourcentage dans le produit
final, donc :
Elément % dans le 316L Poids atomique % total dans le 316L
Fer 72 55,84 40,21
Chrome 14 52,00 7,28
Nickel 10 58,70 5,87
Molybdène 3 95,94 2,88
Manganèse 1 54,94 0,55
Total 56,79
Arondissons donc à 57 et appelons ça l’angle d’apex interne du cône en degrés. Okay, direz-vous, un grand jeu
avec les nombres dans lequel nous avons affaire d’abord à des pommes, puis au moment d’après vous les appelez des
oranges ! Oui, j’en conviens, mais voyons si des données empiriques donnent le même résultat.72
Rappelez-vous comment au chapitre 7 nous avons dérivé la hauteur de la boîte externe par deux
méthodes. L’une était ma théorie et l’autre était les dimensions des piles qui fonctionnent, celles de Joe et les
miennes. Nous ferons de même ici. Maintenant, je suggère que pour une pile de 5 cylindres, une longueur
interne de 8 pouces et une longueur externe de 10 pouces marchait très bien.
J’ai aussi expliqué précédemment que le centre de germination est le centre de la hauteur verticale de
l’assemblage de cylindres, ainsi que le dictent les forces magnétiques et électriques. Comme la hauteur est de
10 pouces pour la boîte cylindrique extérieure, la moitié de cette hauteur est évidemment 5 pouces. Donc les
points nodaux seraient à des intervalles de 5 pouces. Par conséquent, le cône parfait aurait une hauteur verticale
(non diagonale) de 5 pouces. Si nous faisons un peu de géométrie basique, vous verrez que cela donne un angle
d’environ 54 degrés, et une hauteur de cône de 4,5 pouces nous donnerait 58 degrés. En passant, un triangle
parfait (équilatéral) a des angles internes de 60 degrés.
En se rappelant que nous essayons de capturer le vortex au point nodal, les 4,5 pouces amèneraient donc
le sommet du croisement du vortex exactement dans le raccord de sortie. Gardez à l’esprit que l’apex réel du
cône est manquant et que nous avons à la place un trou de 1 pouce. Ce trou de 1 pouce est à 4 pouces de la
hauteur verticale du cône, donc vous voulez un réducteur en 316L de 5 pouces à 1 pouce avec une hauteur
verticale de la base jusqu’au trou de 4 pouces. Les 57 degrés tombent très près de la hauteur verticale de 4,5
pouces, qui est au milieu dans la bague de compression. Exactement là où vous le voulez.
Bon, qu’en est-il de la pile à 4 cylindres, comment s’arrange-t-elle dans cette théorie ? Regardons cela.
Puisqu’une longueur moyenne de cylindre interne est 7 pouces, la boîte cylindrique externe sera de 9 pouces.
Comme avant, les points nodaux sont à la moitié de cela, donc à une hauteur verticale de 4,5 pouces, l’angle de
cône serait de 48 degrés.
Donc, à moins que nous n’ayons utilisé une boîte cylindrique externe de 7 pouces et recalculé le diamètre
de germination et les longueurs des cylindres internes, le cône de 316L ne sera pas optimal. Mais qu’est-ce qui
nous empêche d’utiliser un cône fait d’un autre matériau ? Par exemple un cône en titane ayant un poids
atomique de 47,88 ou 48 serait parfait, et parfaitement cher. Donc oubliez celui-là. Beaucoup
d’expérimentateurs à travers le monde ont eu de bons résultats avec des cônes en aluminium. D’après les
tableaux ci-dessus, le poids atomique de l’aluminium est de 26,98154 ou pour mes calculs, un angle d’environ
27 degrés. Puisque nous nous occupons d’harmoniques, l’harmonique supérieure suivante est 54 degrés (proche
de 57 degrés comme dans la pile à 5 cylindres) et donc seulement une fraction plus haut que la hauteur verticale
de cône de 4 pouces.
Le résultat final est qu’un cône en aluminium marcherait mieux que le même cône en acier inoxydable de
mêmes forme et proportion. Le trou d’échappement de 1 pouce est sur la hauteur verticale de 3 pouces du cône,
donc vous voulez un réducteur en aluminium de 4 pouces à 1 pouce qui ait une hauteur verticale de la base
jusqu’au trou de 3 pouces.
Les 54 degrés tombent approximativement sur la hauteur verticale du cône de 4 pouces, ce qui sera un
assez bon chemin dans votre bague de compression. Comme le cône en aluminium ne peut pas être soudé à la
boîte en acier inoxydable, un emmanchement à force est requis. Rappelez-vous aussi que nous voulons une
transition intérieure sans couture entre le cône et le tube d’échappement. Cela a été fait et marche très bien,
mais pour l’expérimentateur général, il est bien plus facile d’utiliser un cône en acier inoxydable et de souffrir la
fuite supplémentaire.
Les deux exemples ci-dessus pourront vous aider dans vos expériences sur les angles de cône. Il y a beaucoup
de jeux de nombres que vous pouvez jouer avec les mathématiques de la Nature et celui qui précède n’est que l’un
d’entre eux. Par exemple, vous pourriez utiliser la suite de Fibonacci, c’est-à-dire 1, 2, 3, 5, 8, 13, etc, et l’utiliser pour
la conception de votre pile. Ainsi les diamètres des cylindres interne sont, 1 pouce, 2 pouces et 3 pouces et le diamètre
du cylindre externe est de 5 pouces. les longueurs des cylindres internes seraient toutes de 8 pouces, tandis que la
longueur de la boîte externes serait de 13 pouces. La hauteur verticale du cône est par conséquent de 6,5 pouces, ou la
moitié encore, c’est-à-dire 3,25 pouces. Je n’ai encore jamais essayé cela, mais je suis fort tenté de le faire lorsque le
temps le permettra.
Note. La plupart des cônes fonctionnent à un degré ou à un autre. Ce que j’essaie de faire est d’optimiser la
forme idéale et les dimensions correspondantes. D’après une personne qui pouvait réellement „voir” la flamme
d’orgone (Verne Cameron), les indications générales qui suivent valent leur poids d’or :
„Si le cône a moins que 90 degrés, le rayon est raccourci et se concentre en un point focal.” Vous pouvez
utilisez ces angles à discrétion, en considérant la longueur totale du tube.
„Si l’angle de cône est de 90 degrés, vous aurez un rayon concentré de 1 pouce, qui voyagera sur une
grande distance.” Un cône de 90 degrés pour la pile de 5 pouces est haut de 2,5 pouces à l’apex et de 2 pouces
au niveau de l’échappement de 1 pouce. Un cône de 90 degrés pour la pile de 4 pouces est haut de 2 pouces à
l’apex et de 1,5 pouces au niveau de l’échappement de 1 pouce. Je trouve ces angles trop „plats” pour des cônes
et je préfère une construction de cône à rayon focalisé. Bien sûr, un dôme d’une certaine forme géométrique73
favoriserait ce tracé plat, mais avec la complication supplémentaire de mettre au point la forme du dôme, c’est-
à-dire elliptique, parabolique, circulaire, etc.
„Si l’angle de cône est de plus de 90 degrés, le rayon tendra à se disperser.” N’utilisez pas ces angles. Ils
tendront à réfléchir l’énergie d’orgone et à la renvoyer vers la pile, ils feront donc de la pile une grande topmodel de table, mais ne feront pas tourner une voiture.
Nous pouvons voir dans ce qui précède pourquoi certaines piles expérimentales fonctionnent brillament sur le
banc d’essai mais refusent de faire fonctionner une voiture : précisément, l’angle de cône est trop petit et le rayon
d’orgone atteint un point de focalisation avant d’atteindre la chemise d’eau du moteur. Encore une fois, vous avez été
prévenus ! Si la pile est au stade 3 et que le moteur ne tourne pas, l’angle de cône est l’un des premiers suspects.
Comment ça marche ?
L’inspiration de cette section appartient à Walter Russell, un être vraiment stupéfiant. J’ai utilisé son grand
cerveau pour me permettre de vous expliquer comment je pense que la pile Joe fonctionne.
Extrait de „Au-delà de l’Atome” :
„Il y a un ether neutre qui consiste en d’innombrables myriades de particules inconcevablement petites par
centimètre cube, n’ayant pas de charge électrique ni de masse. L’esprit universel place des charges électrostatiques
sur ces particules lorsqu’il y a un champ magnétique convenable, de façon à ce qu’elles deviennent des particules
chargées. La complexité de la charge détermine le type de particule chargée et son comportement.”
Ce qui précède explique avec justesse quelques points pour le lecteur moyen :
L’ether (orgone) n’a pas de masse ni de charge électrique, ce qui le rend très difficile à mesurer. Si vous
lisez au sujet des efforts que la science a accomplis pour mesurer les vagues de gravité et les neutrinos, vous
comprendrez mieux les problèmes de mesure de ces „forces”. Cela suffit pour dire que ce n’est pas parce que
les scientifiques ne peuvent pas mesurer les énergies d’orgone que l’orgone n’existe pas.
Puisque la géométrie, la chimie, l’électrolyse, l’emplacement, les matériaux et les expérimentateurs de
notre pile Joe varient d’une pile à l’autre, la pile Joe produira toute une série d’effets différents pour des
expérimentateurs différents. La pile peut perdre du poids, provoquer la pluie, soigner les gens, rendre les gens
malades, „créer” des éléments variés et même faire ce que vous vouliez qu’elle fasse, c’est-à-dire fournir de la
puissance à un moteur à combustion interne.
Alors, est-ce qu’une Joe cell „fait fonctionner” une voiture ? Encore une fois, je vais prendre des risques et
suggérer une réponse qui fasse sens pour moi. C’est évidemment une théorie et elle ne tiendra que jusqu’à ce qu’un
lecteur suggère une meilleure théorie, auquel cas je retirerai la mienne et placerai la sienne avec le mérite qui lui
revient.
Avez-vous jamais pensé exactement à ce qui se produit lorsque vous utilisez une pile électrique dans votre
radio, votre lampe-torche, etc. Je veux dire : qu’y a-t-il dans la pile qui fasse marcher votre appareil et pourquoi se
décharge-t-elle ? Il y a beaucoup de moyens chimiques et électriques d’expliquer le processus, mais j’aimerais vous
l’expliquer dans une perspective légèrement différente. Voyons les étapes :- Toute action non-équilibrée doit en fin de compte être équilibrée, peu importe combien de temps cela
prend. Souvenez-vous que j’ai mentionné dans une autre section de ce livre la grande indication, échange
rythmique équilibré. Toutes les choses de la création, y compris notre pile électrique et la pile Joe, obéissent à
cette loi fondamentale.- L’électricité divise une condition sans pression en deux pressions opposées qui désirent un soulagement
et ainsi un retour à un état d’équilibre. Donc notre pile de 1,5 Volt, par exemple, ne veut pas avoir un pôle
positif et un pôle négatif, elle essaie de revenir à un état d’équilibre. Autrement dit, la pile finira par se
décharger, la durée de son retour à l’équilibre dépendant de la quantité de travail que nous lui demandons de
faire.- Le travail est le résultat d’une matière déséquilibrée cherchant un repos dans l’équilibre. Remarquez
comment nous faisons travailler notre pile pour nous en la laissant revenir à un état d’équilibre.
EXACTEMENT COMME DANS LA PILE JOE !!!- Donc la charge de la pile électrique (ou de la pile Joe) est une condition sans pression séparée en deux
pressions opposées.- Une pile chargée est doublement déséquilibrée par les pressions opposées qui désirent le soulagement,
exactement comme dans la pile Joe. Les opposés opposent, ils n’accomplissent aucune autre fonction
qu’opposer. Les opposés ne sont pas des choses, ce sont des conditions.74
Bien, si nous considérons les indications ci-dessus et prenons l’exemple d’une batterie de voiture, nous pouvons
facilement voir que l’électrolyse qui s’est produite dans la batterie lorsque nous l’avons chargée via l’alternateur a créé
un déséquilibre qui essaie frénétiquement de revenir à un état d’équilibre. Si vous ne me croyez pas et si vous êtes
assez fous, placez simplement une clef plate en travers des bornes d’une batterie chargée et regardez-la fondre et
disparaître. Ne le faites pas s’il vous plaît, prenez-le comme un fait. De façon similaire, lorsque nous avons chargé la
pile Joe (qui agit aussi comme un accumulateur), nous avons créé une condition déséquilibrée qui essaie aussi
frénétiquement de revenir à un état d’équilibre. Une batterie d’automobile atteint un état d’équilibre en trouvant un
chemin électrique soit dans la batterie (auto-décharge) soit hors de la batterie dans une charge résistante, c’est-à-dire en
allumant vos lumières. La pile Joe atteint un état d’équilibre si vous la court-circuitez accidentellement lorsqu’elle est
chargée, ou bien dans la chambre à combustion de la voiture en utilisant l’étincelle de la bougie d’allumage ou un
„déclenchement” électronique semblable pour lui permettre de redescendre à une densité plus basse ou équilibrée
(l’état dans lequel elle était avant que vous ne la forciez à faire son travail). Le résultat du „travail” de la pile Joe est
traduit en une expansion de la charge d’air admise et donc en un abaissement forcé du piston dans le cylindre pour
faire tourner le vilebrequin etc.
Maintenant, quelques mots de moi devraient venir naturellement pour vous. Une pile au stade 3 est chargée,
c’est-à-dire a suffisamment de déséquilibre pour travailler. Une pile fuyante est une pile qui se décharge toute seule.
Une pile équilibrée ou au stade 1 ne peut accomplir aucun travail. Pour faire travailler la pile, nous devons avoir un
transfert efficace jusqu’au point où le travail est requis. Autrement dit nous devons contenir la condition déséquilibrée
jusqu’à ce qu’elle soit dans les chambres de combustion, en utilisant le type correcte de cône, de tube, de bouchon
borgne, de moteur et de connection électrique. L’accumulateur qu’est la pile Joe est constamment en train d’essayer de
revenir à un état d’équilibre et y reviendra pour la plus légère excuse, devenant donc inutile pour vous. Tandis que
vous développerez votre familiarité avec votre pile, vous verrez que la pile vous donne constamment de petites
indications sur ce qu’elle fait. De ce fait, travailler avec la Joe cell est un exercice interactif. Développer les
compétences d’un bon observateur sera hautement bénéfique.
Deux autres suggestions- Blacklight Power Inc
Le site web à ce sujet est http://www.blacklightpower.com . L’inventeur de la technologie Blacklight Power et
son fondateur est le Docteur Randell L. Mills. Sa théorie est l’existence de plus bas états d’énergie de l’hydrogène, non
découverts jusque là. Mills appelle ces plus bas états d’énergie de l’hydrogène „hydrinos” et „dihydrinos”. Cette théorie
des plus bas états d’énergie de l’hydrogène a le potentiel de changer tout ce que nous comprenons sur la science
physique et le monde physique. Maintenant, avant que vous ne soyez excités par tout cela, rendez-vous compte s’il
vous plaît que Walter Russel a inventorié beaucoup, beaucoup d’éléments plus bas que l’hydrogène sur le tableau
périodique des éléments, déjà en 1926 ! De même, si nous appelons orgone ces „hydrinos”, nous sommes de retour au
premier cadre, à savoir la force dépourvue de masse qui est à la base de toutes choses. Inutile de dire que les autres
scientifiques pensent que les prétentions du Dr. Mills sont absurdes.
Les physiciens traditionnels prétendent que l’état „fondamental” de l’atome d’hydrogène est le plus bas état
d’énergie possible. Selon les „experts”, tous les niveaux de l’atome d’hydrogène sont exposés dans la mécanique
quantique. Pour la majorité des physiciens, il n’y a rien qui suggère que d’autres niveaux existent.
„Il se trouve qu’une erreur fondamentale en physique ignorait l’existence d’une seconde forme non-radioactive
d’hydrogène, qui est un gaz inerte (exactement comme l’orgone, quelle coïncidence !). L’hydrogène de basse
énergie peut être fait à partir d’hydrogène ordinaire lorsque l’orbite de ses électrons tombe à environ un vingtième de
sa taille „normale”. Lorsque cela se produit (dans un vide d’environ 2,500 degrés Kelvin avec de la vapeur de
potassium comme catalyseur), l’atome d’hydrogène libèrent jusqu’à mille fois plus d’énergie qu’il n’en faut pour obtenir
de l’hydrogène à partir de l’eau. Cela signifie que beaucoup d’énergie est disponible sans aucune pollution. En théorie,
une voiture de 200 CV utilisant ce système pourrait faire 100 000 miles sur l’hydrogène d’un simple réservoir d’eau.”
Article de B. Rosenblum.
„Le sous-produit de la réaction chimique de Mill est un hydrino, l’atome d’hydrogène de plus basse énergie. Il
est chimiquement inerte et flotte dans l’espace de la même façon que l’helium (ou l’orgone) dans un ballon flotte dans
l’espace.” Kendall.
Résumons cela. La création d’hydrinos à partir d’hydrogène crée une vaste quantité de chaleur et ainsi de
puissance utilisable. Mais que se passerait-il quand les hydrinos du soleil ou de la pile Joe interagiraient avec l’eau
dans le moteur et/ou l’air dans les chambres de combustion ? Sous l’influence d’une haute perturbation électrique, par
exemple des bougies ou quelque chose de semblables, aurions-nous une expansion dans la chambre à combustion et
une chute résultante de la température ? S’il en va ainsi, alors les hydrinos = l’orgone et je n’ai pas de discussion contre
le Dr.Mills. Je vous suggère d’aller visiter le site de Blacklight Power précédemment mentionné et de vous en faire
votre propre idée.75- L’hydrogène muonique
Je cite ce qui suit :
„Le groupe de l’hydrogène muonique (MUH) est une collaboration de recherche de physiciens basé sur http://
www.triumf.ca/muh/muh.html . Le groupe essaie de comprendre les réactions impliquant des muons et différents
isotopes d’hydrogènes, et aussi la fusion catalysée par muons. Un muon est une particule élémentaire qui a une charge
négative ou positive et a approximativement 207 fois la masse d’un électron. Ces muons sont produits à TRIUMF en
dirigeant un rayon d’ions hydrogène (protons) se déplaçant aux ¾ de la vitesse de la lumière sur une cible consistant en
beryllium ou carbone. De cette manière, des particules appelées pions sont produites et rapidement ces pions se
désintègrent et deviennent des muons. Malheureusement, le muon a une durée de vie moyenne de 2,2 microsecondes
(ou millionièmes de secondes) et l’un des défis du travail avec les muons est de les utiliser avant leur désintégration.
Il y a trois isotopes (variétés) d’atomes d’hydrogène. D’abord il y a le protium (H), de loin le plus commun des
trois, qui a un proton (une particule massive chargée positivement) pour noyau. Puis il y a le deutérium (D), dont le
noyau est fait d’un proton et d’un neutron (légèrement plus massif qu’un proton, sans charge électrique) liés ensemble
comme un deutéron (d). Environ 0,015% de tous les atomes d’hydrogène dans la nature sont du deutérium. Enfin, il y a
le tritium, avec un proton et deux neutrons formant un triton pour construire le noyau. Malheureusement le tritium,
bien que très utile dans ces expériences, est radioactif et son confinement de sécurité est un souci majeur. Deux d’entre
ces isotopes seront liés ensemble par des électrons en orbite pour former une molécule d’hydrogène (la plus commune
étant celle à 2 protiums formant le gaz hydrogène normal).
Au-delà des réactions impliquant les muons et l’hydrogène, le groupe MUH s’intéresse à la création de fusion
catalysée par muon. Contrairement à d’autres processus de fusion, la fusion catalysée par muon peut être menée à des
températures ambiantes ou (comme c’est le cas dans ce groupe) à environ 3 degrés Kelvin (-270 degrés Celsius).
Pour créer une fusion catalysée par muons, un rayon de muons négatifs est arrêté dans des couches d’isotopes
d’hydrogène solide. Un muon remplacera alors l’électron dans un atome d’hydrogène. Le muon peut alors lier les deux
atomes ensemble en une molécule muonique spéciale ou ion moléculaire. Puisque le muon est 207 fois plus massif
qu’un électron, les atomes d’hydrogène sont liés ensemble bien plus fermement, de telle sorte que les noyau puisse
fusionner, créant de l’énergie et ejectant le muon.
Théoriquement, le même muon pourrait continuer à catalyser beaucoup d’autres réactions, créant assez
d’énergie pour utiliser ce processus comme une source de puissance. Cependant, parfois le muon colle à un produit de
fusion chargé comme une particule alpha et est perdu pour le cycle. Plus de 100 fusions par muon ont été enregistrées
dans d’autres expériences, mais on estime qu’avec l’équipement courant il en faudrait un peu plus que cela pour que ce
soit rentable en énergie.
L’objectif d’obtenir une énergie propre et pas chère à partir de cette source peut être éloigné dans le futur, si
jamais on l’atteint, donc ne cherchez pas de générateurs portables à Fusion Catalysée par Muons sur le marché ces
prochains temps.
Vous trouverez plus d’informations dans la contribution du MUH au TRIUMF
http://www.triumf ca/muh/doc/annrep/annrep94.ps
http://www.triumf.ca/muh/pics/
http://www.triumfxa/muh/muh.html
Fin de citation.
Donc cette théorie repose sur la présomption que si vous mettez le muon-hydrogène en présence d’une
étincelle, alors quelques uns des électrons pourraient remplacer les muons. Les atomes d’hydrogène désormais
normaux se dilateraient et les muons épargnés se désintègreraient et l’expansion résultante ferait le travail. Voir „http://
ourworld.cs.com/elhoreth/hydr.html”.
Encore une fois, chers amis, nous appelons la même rose par un nom différent. A la fin de la journée, peu
importe quel est le nom de la force, tant que nous connaissons sa cause et pas seulement l’effet, comme nous l’avons
fait. Vous découvrerez que tôt ou tard nos scientifiques auront à admettre qu’ils n’ont aucune idée de la cause de nos
présentes forces. C’est seulement lorsque nous admettrons que la somme de nos connaissances des causes des énergies
peut être écrite sur la tête d’une épingle avec des lettres de 10 mètres de haut, que nous commencerons à réellement
apprendre.76
Le processus d’électrolyse
De nombreux expérimentateurs ont essayé de différentes manières d’électrolyser l’eau et ainsi, comme résultat
de l’électrolyse, d’utiliser l’hydrogène et l’oxygène libérés comme un carburant pour faire fonctionner une voiture.
C’était l’intention originale de Joe lorsqu’il a fait le projet de faire tourner sa voiture à la „vapeur”. C’était, et c’est, aussi
l’intention de beaucoup d’individus jusqu’à aujourd’hui. Ils ont tous oublié l’électrolyse, telle que formulée par Faraday.
Sa première loi est :
La quantité de tout élément (ou radical, c’est-à-dire groupe d’éléments) libéré à l’anode ou à la cathode
pendant l’électrolyse est proportionnelle à la quantité d’électricité qui passe dans la solution.
Cela affirme simplement que vous ne pouvez pas obtenir quelque chose pour rien ! Partout à travers le monde,
différents groupes et individus prétendent constamment que vous pouvez faire fonctionner un moteur de voiture
conventionnelle avec de l’eau grâce à une électolyse basique et avoir encore un surplus de puissance (plus-que-l’unité,
over-unity). Vous pouvez aussi bien croire que les cochons peuvent voler.
Pensez-y ! Disons qu’un cheval-vapeur (CV) représente une puissance de 750 Watts. Disons aussi que vous
avez besoin de 10 CV pour propulser un véhicule à une vitesse raisonnable. Nous avons donc besoin de 7500 Watts.
Maintenant, selon la loi d’OHm, 7500 Watts divisés par 12 Volts (le voltage de la source de courant de notre voiture
conventionnelle) est égal à 625 Amps. Dès lors qu’un alternateur de voiture normale produit un maximum de 50 Amps,
vous pouvez commencer à réaliser l’amplitude du problème.- Dans un cas idéal, pour faire passer le courant dans une solution, aucune différence de potentiel
minimum n’est requise. Indépendamment du liquide dans la pile Joe, un certain courant (bien que parfois faible)
passera dans la solution dans la pile si une différence de potentiel, aussi petite qu’elle soit, est maintenue entre
l’anode et la cathode. Le courant qui s’écoule suit la loi d’Ohm. Donc si vous connectez la pile Joe à une batterie
de 12 Volts, un courant passera qui est déterminé par la résistance de l’électrolyte. Maintenant, si vous
connectez deux batteries de voiture en série (24 Volts) sur la pile Joe, vous vous attendrez à ce que cela obéisse
à la loi d’Ohm et que deux fois plus de courant s’y écoule. Mais comme la pile Joe est un liquide et une source
de potentiel et de résistance hautement complexe, ce qui se produit réellement est que le courant triple presque.
Cela a été vérifié dans des expériences approfondies par Barry Hilton. Inversement, si vous réduisez le voltage
dans la pile, le courant sera réduit. En utilisant ce fait, vous pouvez ajuster le courant d’électrolyse de la pile du
minimum, lorsque la voiture n’est pas utilisée, jusqu’au maximum pour l’usage de la voiture, comme nécessaire.
C’est facilement réalisé avec une résistance. Ou, comme évoqué précédemment, vous pouvez avoir un système
de votre fantaisie qui est constamment ajustable. J’optimise ma pile comme je l’ai dit, en ajoutant de
l’électrolyte jusqu’à ce que la pile ait un courant de 1 Amp à 12 Volts pour un moteur en marche et de ¼ d’Amp
(250 mAmp) pour une pile générant au ralenti, c’est-à-dire un moteur qui ne tourne pas.- Les conditions mentionnées ci-dessus ne s’appliquent que s’il n’y a pas de polarisation appréciable aux
plaques de l’anode ou de la cathode. Par polarisation, j’entends le changement de potentiel à la surface réelle de
l’électrode, qui se produit en résultat du flot de courant, et donc l’action chimique. Dans notre cas, puisque nous
utilisons de l’acier inoxydable 316L (l’anode est donc considérablement insoluble), cela n’est pas un problème
majeur. Un test de la polarisation avec d’autres matériaux est de vérifier le voltage dans la pile au moment de
couper le courant. S’il y a polarisation, vous lirez un voltage inversé par rapport à la polarité du potentiel
normal. L’ampleur de ce voltage inversé est la quantité de polarisation. Ce voltage retombe assez rapidement et
devrait être mesuré avec un voltmètre spéciale à haute impédance.- La conductivité d’une solution dépend de la concentration ionique plutôt que du total de concentration
moléculaire, car les molécules non-dissociées ne conduisent pas le courant. Dans notre cas, avec des acides, le
degré d’ionisation augmente avec la dilution. Cela explique pourquoi, par exemple, de l’acide sulphurique dilué
a une conductivité électrique plus haute qu’une forme plus concentrée. Donc une plus grande concentration
n’est pas meilleure pour votre électrolyte dans la pile Joe.- Le pH d’une solution est une façon convenable d’exprimer la concentration d’ions hydrogène libres et
donc l’acidité ou l’alcalinité d’une solution. L’échelle normale est d’un pH 1 pour des solutions fortement acides
et complétement hydratées, jusqu’à un pH de 14 pour une solution fortement alcaline. Une valeur de pH de 7
est considérée comme neutre. Dans les solutions neutres, les concentrations d’hydrogène et d’ion hydroxyde
sont présentes en quantités égales. Les solutions acides causent un excès d’ions hydrogène et les solutions
alcalines une déficience d’ions hydrogènes, c’est-à-dire un excès d’ions hydroxydes. Par exemple, ph 4 = 0,0001
gramme d’ions par litre, et un pH 5 = 0,00001 gramme d’ions par litre, etc. Il est important de se rendre compte
que le pH est une mesure de l’acidité ou de l’alcalinité libre ou active d’une solution, et pas de la concentration
réelle en acide ou en alcali.77
Champs rotatifs
Pendant des années innombrables, divers expérimentateurs, professionnels et autres ont rapporté à répétition la
découverte de phénomènes inhabituels qui ne pouvaient être expliqués ou ne rentraient pas dans les lois et théories
connues qui existaient à l’époque de ces découvertes. La plus simple méthode employée était de mettre de côté l’idée,
jusqu’à ce qu’on en sache plus tandis que les scientifiques se mettent à la page sur ce sujet. Dans le chapitre 3, j’ai
inventorié un grand nombre des différents noms donnés à l’une de ces mystérieuses forces.
Bien que tous ces scientifiques divers travaillaient sur le même type de force, il manquait des caractéristiques
formulées et écrites décrivant cette force. Le résultat était que chaque scientifique re-découvrait la même force et lui
donnait un nouveau nom. Eh bien, rien n’a changé. Le nom orgone n’est pas en odeur de sainteté, mais les champs de
torsion et les champs axiaux le sont. Le nom que vous donnez à une rose n’a vraiment pas d’importance, elle sent
toujours pareil. De même, notre force cosmique se comporte pareillement, peu importe comment certains scientifiques
décident de l’appeler. J’insiste sur ce point seulement pour vous rendre conscient de ce que les champs de torsions et
les champs axiaux ne sont pas une nouvelle découverte, mais la même vieille force avec un manteau différent.
Certaines propriétés des champs de torsion, telles que présentées récemment par Yu. V. Nachalov et A. N.
Sokolov ( Voir le site web : http://www.amasci.com/freenrg/tors/tors17.html) :
Ils manifestent des phénomènes associés à la cinquième force.
Ils ne peuvent pas être blindés avec des écrans métalliques.
Ils ont des vélocités des milliards de fois supérieures à la vitesse de la lumière.
Ils peuvent affecter le poids des objets.
Ils peuvent se propager dans le futur aussi bien que dans le passé.
Ils peuvent transmettre de l’information sans transmettre de l’énergie.
Ils se propagent à travers des milieux physiques sans interagir avec ces milieux.
Ils ne peuvent pas être blindés par la plupart des matériaux.
Ils peuvent être blindés par des matériaux ayant une certaine structure de spin.
Tout objet nucléaire et de spin polarisé est une source de champ de torsion.
L’interaction d’une particule au spin polarisé avec un objet au spin polarisé produit l’apparence de forces
anormales qui dépendent de l’orientation de spin mutuelle de la particule et de l’objet.
Chaque objet physique, de nature VIVANTE ou NON-VIVANTE, possède son propre champ de torsion
caractéristique.
Ils peuvent être observés par les méthodes de Kirlian.
Tout aimant permanent possède son propre champ de torsion.
Les pyramides, les cônes, les cylindres, les objets plats, les triangles, etc, sont des générateurs de champ de
torsion.
L’aluminium est un blindage efficace pour les champs de torsion.
Les miroirs en aluminium refléteront le champ de torsion.
Une combinaison de forme géométrique et de haut voltage causera une réduction de gravitation.
Beaucoup d’effets persistent jusqu’à quatre jours après que le champ de torsion soit enlevé.
Ils sont identiques à la polarisation de spin transversale du vide physique.
Ils sont blindés par des matériaux artificiels possédant une topologie orthonormale de structure.
Le champ de torsion a une configuration spatiale en forme de cône.
Ils altèrent de manière significative l’oscillation des cristaux de quartz.
Les champs de torsion peuvent altérer le processus de désintégration radioactive.
L’objet chargé ne doit pas être sujet à des chocs, sinon la charge de champ de torsion disparaîtrait, car les
champs de torsion sont étroitement associés aux forces d’inertie.
Ils peuvent être générés comme le résultat de la distorsion de la géométrie du vide physique.
Le champ de torsion est abordé par plus de 10 000 articles provenant d’environ 100 auteurs. Plus de la moitié
de ces oeuvres sont en Russie. Donc, cher lecteur, si vous voulez poursuivre ces propriétés dans le détail, vous avez
bien plus qu’assez pour vous occuper pendant un temps très long.
Pour résumer ce qui précède : Toutes ces propriétés des soi-disants nouveaux champs de torsion et champs
axiaux étaient déjà connues depuis des siècles et correspondent exactement aux propriétés qui vous sont données dans
ce livre. De ce fait, à part le changement de nom, nous avons là une vérification suppplémentaire, irréfutable et
courante que la pile Joe est un simple accumulateur d’orgone (ou de force vitale).
Pour le lecteur astucieux, je suis sûr que vous pouvez penser (en utilisant certains des effets ici nouvellement
évoqués) à des méthodes d’améliorer votre pile basique pour la rendre moins fuyante et pour qu’elle agisse ainsi78
comme un meilleur récipient d’orgone.
Plus sur le pH
Plus sur le pH si ce qui précède est trop simple (Courtesy ETI magazine).
Tous les acides ont au moins un atome d’hydrogène qui tend à se détacher de la molécule lorsque l’acide est
dissous dans l’eau. Ce faisant, il laisse derrière lui un électron et devient un ion hydrogène chargé positivement. Ce
sont ces ions hydrogènes libres qui sont responsables des propriétés chimiques des acides, et leur nombre relatif
détermine la force de l’acide en question.
Les alcalis sont des exemples extrêmes d’une classe de substances connues sous le nom de bases. Les bases
sont comme les inverses des acides. Lorsqu’ils sont dissous dans l’eau, ils tendent à se diviser en un ion hydroxyde
chargé négativement et un résidu chargé positivement. Les bases et les acides dans la même solution tendent à se
neutraliser l’un l’autre. Les ions hydrogènes libres de l’acide se combinent avec les ions hydroxydes libres de la base
pour former des molécules d’eau.
La réaction entre ions hydrogène et hydroxyde peut aussi se dérouler dans l’autre direction. C’est-à-dire que les
molécules d’eau peuvent se diviser à nouveau en ions hydrogènes et hydroxydes libres. Il y a seulement une légère
tendance que cela se produise, cependant. Dans de l’eau pure à température ambiante, seule environ une molécule sur
dix millions se dissocie en ions. Autrement dit, la concentration en ions hydrogènes libres dans l’eau pure est d’une part
pour dix million. Cette concentration d’ions hydrogènes est connue comme solution neutre.
Si un acide est dissous dans l’eau, la solution ne sera plus neutre ; il y aura plus d’ions hydrogènes à cause de la
dissociation de l’acide. Des bases dissoutes donneront d’abord une solution qui a plus d’ions hydroxydes que l’eau
neutre, mais ces ions hydroxydes tenderont à se combiner avec tous les ions hydrogènes libres pour former des
molécules d’eau. Le résultat net est que le nombre d’ions hydrogènes libres dans une solution basique est plus bas que
dans l’eau neutre.
Clairement, si nous pouvons mesurer le nombre d’ions hydrogènes libres dans une solution, nous pouvons
trouver si elle est acide ou basique et en quelle quantité. En fait, ce qui nous intéressera n’est pas le nombre absolu
d’ions hydrogènes, mais leur nombre relatif, c’est-à-dire leur concentration.
Pour des raisons de commodité mathématique et de pureté logique, les chimistes préfèrent travailler avec une
quantité connue comme l’activité des ions hydrogènes. Puisque l’activité est généralement proportionnelle à la
concentration, la distinction exacte entre les deux termes ne doit pas nous inquiéter ici.
L’échelle des valeurs possibles de l’activité de l’hydrogène est très large, de 10 pour la solution la plus fortement
acide jusqu’à 10 puissance -14 pour l’alcali le plus fort. Cela conduit à des nombres qui sont gênant pour l’écrivain et
plus gênant encore pour parler. La notation du pH, qui a été mise au point par le chimiste danois S.P.L. Sorensen, rend
les choses un peu plus simple. Elle définit le pH comme le logarithme négatif de l’activité d’ions d’hydrogène : pH =
–log10 a(H+) .
Comme évoqué précédemment, les valeurs basses de pH indiquent l’acidité, les valeurs hautes l’alcalinité. L’eau
neutre est de pH 7.
Le passé
A. Un très vieil avertissement affirme que le feu Cosmique peut consumer celui qui n’est pas prêt ; l’homme est
prévenu de ce que toucher aux énergies de l’Univers lui est interdit jusqu’à ce qu’il soit préparé par une transformation
intérieure. Comme cette transformation est loin d’être achevée pour la majorité de l’humanité, nous avons une piteuse
situation dans laquelle l’information critique sur l’énergie Cosmique et son utilisation a à être gardée avec précaution.
Comme toutes les énergies peuvent être utilisées pour le bien ou pour le mal, le résultat final est que quelques-uns ont
utilisé ces puissances pour contrôler la majorité. De ce fait, l’information sur les forces Cosmiques est très difficile à
acquérir au niveau de base où nous, les larbins, résidons.
A travers l’histoire, diverses bribes d’information ont été publiées, donnant à l’enquêteur assez de données pour
lui permettre de reconstituer au moins les rudiments d’une source de puissance et la construction correspondante.
Comme le dit Walter Russell, „Tout ce qui semble au repos dépend d’un mouvement violent pour nous faire
croire qu’il est au repos.” Donc, cette apparente tranquillité qui nous entoure est une mer bouillonnante de mouvement
violent. En outre, ainsi que Walter Russell le cite de la Divine Iliade :79
LA DIVINE ILIADE
„Le grand art est simple. Mon univers est du grand art, car il est simple.
Le grand art est équilibré. Mon univers est d’un art consommé, car il est simplicité équilibrée.
Je n’ai qu’une loi pour toutes Mes paires de choses créées ; et cette loi n’a besoin que d’un mot pour
être déchiffrée, alors écoutez Moi lorsque Je dis que ce mot unique de Ma loi est
L’EQUILIBRE.
Et si l’homme a besoin de deux mots pour l’aider dans sa connaissance des oeuvres de cette loi, ces
deux mots sont
L’ECHANGE EQUILIBRE.
Si l’homme a besoin d’encore plus de mots pour l’aider à connaître Ma loi, donnez-en lui un autre, et
que ces trois mots soient
L’ECHANGE EQUILIBRE ET RYTHMIQUE.”
Donc, cher lecteur, comme vous pouvez le voir à ce qui précède, l’énergie est un échange équilibre et rythmique
de deux courants, comme l’est notre force d’orgone. Un vortex pulsatoire, double, en expansion et en contraction.
Toutes les expressions d’énergie cherchent un point de repos et retournent à une condition de repos. Notre pile Joe
concentre cette énergie de repos, et dans cet état non-naturel et concentré, l’énergie essaie deséspéremment de revenir à
sa base ou état de repos. Nous permettons à cela de se produire dans les chambres de combustion de notre moteur. Le
retour de l’orgone au repos crée le travail qui donne sa puissance au moteur.
J’évoquerai maintenant d’autres citations concernant la force Cosmique, d’individus faisant bien moins autorité
que le Tout-puissant.
B. Ce qui suit est une communication reçue et écrite par Carlos Zelaya en 1971 : „Dans l’Energie Cosmique, ou
l’action énergétique des Rayons Cosmiques, nous trouvons en elle-même une source d’énergie inépuisable à la portée
de tout l’Univers. Pour prendre avantage de cela en toute expérience, nous devons utiliser comme point de départ
quelques concepts élémentaires basés sur les lois Cosmiques.
Cette énergie se déplace dans certains champs ou bandes, à la fois dans l’espace infini et dans le
géomagnétisme des corps célestes. Pour arriver à la capter et la concentrer, il est nécessaire de mener une étude
géomagnétique de l’aire planétaire, comme une profonde étude des mouvements astraux et astrologiques, d’après votre
langage… Considérant que ces rayons se meuvent et se comportent d’une façon donnée suivant les mouvements
solaires et lunaires, et avec la combinaison des deux et de la planète Mars (qui est le principal réflecteur de ce système
solaire pour les rayons Cosmiques), ils sont les plus adéquats pour les expériences d’excitation des noyaux atomiques.”
En plus, ce qui suit a été reçu par Carlos, aussi en 1971.
„Pour condenser l’énergie cosmique, un appareil est nécessaire un peu différent de ceux présentement utilisés
sur Terre. Il n’est pas seulement différent, mais ses variations reposent sur des concepts et principes correspondant à sa
construction sur Terre et sont pris comme des principes venant des phénomènes physico-chimiques, etc… Nous
prenons comme principe le phénomène ELECTROCOSMIQUE qui est la manifestation énergétique des Lois
Elémentaires du TOUT (de Dieu).
Par conséquent, pour l’accumulation d’énergie, nous prenons en considération ce qui suit :
Toute énergie dirigée dans un espace inerte tend à former un champ à cause de la recherche d’un équilibre
équidistant en respect la propriété de l’axe du champ.”
En outre, ce qui suit fut reçu par Carlos en 1971.
„Le phénomène grâce auquel l’énergie cosmique est condensée est :- Parce que ses atomes naturels sont de la MATIERE ACTIVE.
- Parce que c’est de la „matière active”, il est possible de le condenser et de le manipuler.
Pour manipuler sa condensation, il est nécessaire que les niveaux d’énergie soient suffisamment actifs pour que
le dernier, avec le „choc” de polarisation, soit formé dans les couches de la matière, qui ne devient active qu’à travers
l’excitation de leurs atomes, et génère par réaction aux impulsions une longueur d’onde donnée.
Avec ce principe simple, mais hautement positif, il a atteint la concentration d’énergie (cosmique) dans les
couches de matière NATURELLE et sa génération de champs régulables suivant l’excitation qu’il est fait pour subir,
car la matière naturelle du Cosmos est une source d’énergie.”
J’ai modifié un peu des traductions pour en faire de l’Anglais plus lisible, vous pourrez vouloir le manipuler en
un Anglais plus „correct”.80
C. Vous pourrez vouloir lire un article de Rick Anderson et son explication du vecteur Poynting et de la force
Lorentz. Voyez cet article sur (http://www.electrogravity.com/index3.html). Cet article vous expliquera la raison de la
rotation d’un aimant suspendu qui est placé près d’une cuve de charge. Il vous expliquera aussi partiellement la raisons
de la conception en cylindres concentriques emboîtés de la pile Joe basique. En bref, si vous n’avez pas d’accès
Internet, je citerai le paragraphe principal :
„Le troisième vecteur (force Lorentz/Poynting) alors doit apparaître à angles droits des DEUX vecteurs
électriques et magnétiques, à tous les points autour du périmètre du sujet ; et ainsi il se manifeste comme UNE
ORBITE CIRCULAIRE DE FORCE AUTOUR DU SUJET AVEC UNE DIRECTION PRÉFÉRÉE, semblable à un
champ d’énergie en rotation ou un vortex. La direction de ce Lorentz circulaire peut être commutée entre le sens des
aiguilles d’une montre et le sens contraire simplement en inversant les polarités (ou connections physiques de la
bobine) du signal amplifié dirigeant la bobine. Un pôle Nord au sommet avec un Sud au fond fera circuler la force
Lorentz dans le sens contraire des aiguilles d’une montre, et un Sud-Nord dans le sens des aiguilles d’une montre.”
Cela a été expliqué dans les premiers chapitres de ce travail.
D. Vous pouvez vouloir lire „Une analyse de la pile Joe dans une perspective biodynamique”, par Guy
McCarthy. Bien que je ne sois pas d’accord avec une bonne partie de ses conclusions, il y a néanmoins beaucoup de
bonnes informations de fond pour l’expérimentateur de la pile Joe. Il est disponible sur le site web :
(http://web.archive.org/web/19990202012303/www.twelvestar.com/Sourceworks/Joe+Cell.html)
E. L’orgone en relation avec d’autres énergies, par Lawrence Barth.
„Vers la fin des années 50, Gaston Burridge publia un article sur l’énergie de „cône”. Il découvrit une forme
d’énergie à propos de laquelle lui et d’autres expérimentateurs ont conclu d’après leurs expériences, qu’un rayon vient
du sommet d’un cône ou d’une pyramide. Cela peut être fait purement en métal, ou en carton ou en bois et couvert à
l’extérieur de feuille de métal, une feuille spécialement brillamment polie. Ici, on se souvient de l’accumulateur
d’orgone. Spécialement l’accumulateur en entonnoir, mais nous devons remarquer que le métal est sur l’extérieur du
matériau organique, pas l’inverse ; pas plus n’y a-t-il besoin d’une ouverture au sommet, comme c’est le cas de
l’entonnoir. D’après mes connaissances, les radiations viennent en un rayon du sommet plutôt que également de toutes
les surfaces du métal. Le rayon est juste aussi intense de jour comme de nuit. Cela semble éliminer la lumière du soleil
comme source de l’énergie.”
F. Les recherches de Karl Von Reichenbach. Par Kenneth Strarz (citations choisies).
„Le Baron Karl Von Reichenbach était un scientifique du 19ème siècle dont les recherches étonnantes ont été
presque entièrement oubliées. Il découvrit la fondamentale énergie nouvelle, odyle, la même à bien des égards que
l’orgone de Reich. En soutien à sa découverte, il réalisa littéralement des milliers d’expériences contrôlées, publiant les
résultats sur une période de vingt ans. Reichenbach ne tint pas compte de la terreur et de la haine que les êtres humains
ressentent lorsqu’ils sont confrontés aux énergies spécifiques de la vie.
Reichenbach était né en 1788 à Stuttgart. En recherche chimique, il découvrit la créosote, la paraffine, l’eupion
et le pittarcal. De 1845 à sa mort, il essaya sans succès de convaincre ses collègues de ses découvertes, il fit une
quantité énorme de recherches sur les propriétés non-vues des aimants et des cristaux. Les cristaux et aimants observés
dans le noir montraient des flammes s’élevant à trois pouces des extrémités, ayant la forme d’une tulipe. Elles étaient
très belles et se mouvaient constamment. Il nomma la nouvelle énergie Odyle. Outre les aimants et les cristaux,
Reichenbach décrivit huit autres sources d’énergie odique : les organismes vivants, le soleil, la lune et les étoiles, la
chaleur, le frottement, la lumière artificielle, les réactions chimiques, les charges électriques et le monde matériel en
général. Il decouvrit que les processus odiques dans le corps humain interagissent avec d’autres sources d’énergie
odique. Reichenbach découvrit qu’un corps fortement chargé pouvait altérer la charge naturelle d’une autre substance
par contact.
Sa conclusion finale est que la force odique est un complément universel de toute matière distribué, de manière
variable et inégale, et que cette force est une force qui s’étend à l’univers entier.”
Comme dit plus haut, il y a une grande quantité de données enregistrées, mais malheureusement pas facilement
disponibles, car la plus grande partie de son oeuvre n’est plus éditée depuis plus d’un siècle. Son oeuvre est vitale pour
le lecteur qui cherche une compréhension profonde de la force d’orgone.81
G. L’oeuvre de Georges Lakhovsky. Lakhovsky affirme que tout être vivant émet des radiations. Si vous lisez
son livre, „Le Secret de la Vie”, vous verrez facilement que les résultats expérimentaux obtenus avec des spirales de
formes variées sont en rapport direct avec notre sujet sur l’énergie d’orgone. De même, vous verrez comment le
„facteur Y” concorde avec la radiation émise par le corps. Encore une fois, une bonne lecture pour le chercheur.
H. Quelques commentaires très intéressants du grand Erwin Schrödinger, l’un des fondateurs de la mécanique
quantique et très respecté par ses pairs. Les commentaires concordent exactement avec la force d’orgone et les
organismes vivants:
„… Aujourd’hui on croit que les organismes vivants se nourrissent d’énergie et que les sortes variées d’aliments
ont des valeurs énergétiques différentes. C’est une absurdité. (…) En tout point de l’univers l’entropie augmente et
l’organisme vivant produit aussi continuellement une entropie positive, ainsi tout le monde est attirée vers un état
d’entropie maximum, c’est-à-dire vers la mort. Pour éviter cet état et donc pour être en vie, l’organisme vivant diminue
son entropie continuellement en extrayant l’entropie négative de l’environnement, dont la nourriture…”
Quelle jolie manière d’affirmer que nous avons besoin d’orgone (qui a une entropie négative) et ainsi
logiquement nous interagirons avec toute source d’orgone, y compris une pile Joe! Encore une fois, le facteur Y.
I. Pour finir cette très brève section sur l’information du passé, j’évoquerai une information de recherche
importante de Reich. L’Effet du Rayonnement d’Orgone Mortel (DOR) (1961), compilé par Charles R. Kelley dans les
bulletins de l’Institut Radix.
„Le DOR est une forme d’énergie d’orgone anormale et hostile à la vie. Il est présent de façon récurrente dans
l’atmosphère de la Terre et de manière chronique dans de large régions de celle-ci, et il augmente. Le DOR est une
énergie immobilisée et stagnante qui interfère sérieusement avec le métabolisme normal de l’énergie d’orgone, des
systèmes orgonotiques aussi bien atmosphériques que vivants. Alors que l’énergie d’orgone donne normalement au ciel
une apparence bleu clair ou bleu gris, les régions de l’atmosphère infestées de DOR apparaissent sombres, parfois
noircissantes ou noir violacé. L’énergie d’orgone normale est en mouvement constant, s’écoulant, battant (flimmering)
ou pulsant, tandis que le DOR est calme et oppressant. La tranquillité des atmosphères infestées de DOR les rend
particulièrement sujettes aux pollutions de toutes sortes. Le smog urbain apparaît principalement et le plus
sérieusement dans les atmosphères immobilisées par le DOR.
Les animaux et les plantes exposées à des concentrations de DOR lourdes ou chroniques sont sérieusement
dérangés dans leur métabolisme d’orgone, qui est dépendant du champ d’orgone extérieur dans lequel ils vivent. Une
exposition prolongée peut avoir pour effet des désordres graves et même éventuellement la mort, pour la plante
comme pour l’animal. Un arbre exposé à une atmosphère infestée de DOR mourra d’une façon particulière. Le DOR
est attiré sur l’arbre du haut vers la bas. Le sommet de l’arbre est donc habituellement affecté d’abord, quand les
feuilles se recroquevillent et meurent. L’écorce se désintègre et pèle. Les extrémités des branches étendues,
habituellement près du sommet de l’arbre, sont ensuite affectées. L’écorce de l’extrémité des branches devient sombre
et se désintègre. L’arbre meurt du sommet vers le bas et de l’extérieur vers l’intérieur.
Dans les zones de concentration de DOR extrêmement haute, les roches exposées commencent à devenir
noires. Le noir commence habituellement en de petits points puis s’étend pour couvrir une surface de roche de plus en
plus grande. Lorsque le DOR est enlevé par l’utilisation de l’appareil de Reich, il devient concentré autour de
l’équipement. Cette concentration peut devenir sérieuse au point d’être un danger pour la vie.”
Les Hommes CORE
Je n’ai pas l’intention de vous ennuyer avec des théories conspirationnistes ou avec mes phobies. Je citerai
directement Reich :
„>1. Les hommes CORE (CORE = Cosmic Orgone Engineering, ingénieurie de l’orgone cosmique), comme
j’en suis venu à les appeler, connaissaient apparemment profondément les lois pour fonctionner dans l’océan
cosmique d’énergie OR, particulièrement avec la gravité comme une fonction de superposition.- Ils utilisent l’énergie OR cosmique pour la propulsion de leurs machines.
- Les hommes CORE conduisaient manifestement leurs vaisseaux spatiaux sur les principaux courants
d’énergie OR de l’Univers.”
Il y a bien plus là-dessus dans la publication sur le Courant Galactique Orop.
Le moteur à énergie d’orgone
J’évoquerai brièvement quelques références de l’oeuvre du Docteur Reich en relation avec une méthode
d’utilisation de l’énergie d’orgone pour fournir de l’énergie à un moteur. Les détails complets ont été publiés en 1948 et82
1949, et le lecteur pourra s’y réferer.
Pour son travail sur la radioactivité, Reich utilisa un compteur Geiger-Muller. Dans certaines de ses
nombreuses expériences, il remarqua qu’il mesurait des anomalies. En gros, il nota des mesures plus élevées au
compteur en fonction des concentrations d’orgone. Cela amena Reich à éliminer le tube Geiger-Muller normal et à le
remplacer par ses propres tubes fabriqués spécialement. Il les nomma tubes Vacor. Ces tubes étaient vidés jusqu’à 0,5
micron, ce qui est sous le niveau auquel l’ionisation normale se produirait. En chargeant ces tubes Vacor avec de
l’orgone, il découvrit qu’ils produisaient une haute fréquence de pulsation sur le compteur GM. Cela amena Reich à
expérimenter plus avant, en modifiant le circuit standard du compteur de manière à ce qu’un petit moteur puisse
tourner directement à partir d’orgone.
Ce moteur était un petit moteur de type courant alternatif fabriqué par Western Electric. Numéro du type : KS-- Il tournait lorsque Reich connectait une antenne et/ou la terre sur le compteur GM modifié. Il tournait aussi
lorsqu’il était sous l’influence d’un champ émanant d’une créature vivante. La rotation du moteur était assez
inhabituelle car elle pouvait inverser sa direction spontanément, sans ralentissement ni réaccélération significatifs,
comme si le moteur n’avait pas d’inertie. La vitesse de rotation variait aussi sans qu’on s’y attende et pouvait être
amenée à tourner plus vite ou plus lentement selon la personne qui plaçait sa main près de lui.
Reich expliqua ces particularités en faisant référence à une force qu’il appela le „facteur Y”. Il refusa de
divulguer ce qu’était le facteur Y. L’humanité devra attendre jusqu’à l’année 2007 après J.C., lorsque ses archives
scellées seront ouvertes. Comme nous l’avons déjà évoqué, je suis sûr que le facteur Y représente simplement
„You” (vous/toi), ce qui signifie que les champs d’orgone individuels interagissent avec l’expérience. Cela s’est produit
sans arrêt avec les expérimentateurs interagissant avec la pile Joe.
Pour le lecteur le plus dubitatif, je citerai directement quelques commentaires de témoins qui étaient présents
lorsque Reich montrait le moteur à orgone:
Myron Sharaf. „…cela impliquait l’utilisation d’un accumulateur relié à un moteur. L’énergie d’orgone
concentrée était déclenchée par une petite quantité d’électricité, une quantité insuffisante pour faire tourner le moteur
sans l’accumulateur. Lorsqu’il était alimenté par la combinaison des énergies orgonotique et électrique, il tournait
doucement et tranquillement, mais la vitesse variait en fonction du temps qu’il faisait… plus rapidement lors des
journées sèches et lumineuses, plus lentement lorsque l’humidité était haute.”
Elsworth Baker. „Reich utilisa d’abord des tubes Vacor en série reliés à un petit accumulateur et connectés à un
transformateur pour développer une charge électrique pour exciter l’énergie d’orgone. Il utilisa quatre ou cinq tubes
Vacor. Tous étaient connectés à un moteur électrique de 25 Volts. Reich ôta un tube Vacor après l’autre, jusqu’à ce que
tous aient été ôtés, et le moteur tournait toujours. L’ingrédient important était le facteur Y ainsi nommé, que Reich ne
divulgua pas… Avec l’énergie d’orgone, le moteur était pratiquement sans bruit et tournait plus doucement et plus vite.
Par moments, il changeait de direction. Par temps humide, il ne tournait pas.”
Lois Wyvell. „Celui que j’ai vu était environ de la taille d’une grosse orange… Il était raccordé à un
accumulateur d’orgone spécial avec le facteur Y que Reich ne divulguait pas car il ne sentait pas l’humanité prête à
utiliser rationnellement une puissance potentiellement sans limite. Mais le moteur tournait à l’énergie d’orgone
atmosphérique, nourri d’elle par l’intermédiaire de l’accumulateur et aussi à partir du champ d’énergie humain. Il
tournait de manière irrégulière, comme ne le fait aucune moteur doté d’une source d’énergie mécanique : il ralentissait
et accélérait sans aucune interférence. En outre, si quelqu’un courbait ses mains par-dessus le moteur, il prenait de la
vitesse, et avec les mains de quelqu’un sur lui, il accélérait et ralentissait. Il s’inversait lui-même de temps en temps
sans ralentissement, sans même une secousse.”
Comme vous pouvez le voir, il y a un lien large et indéniable entre l’atmosphère, les organismes vivants et le
moteur à orgone. Dans une séquence filmée que Reich a faite, il y a une démonstration du moteur qui ne tourne pas
jusqu’à ce que Reich place sa main à proximité du moteur. Le moteur alors tournait jusqu’à ce que Reich enlève sa
main. Si nous n’avons donc pas affaire à une force vivante, je mets au défi le lecteur de m’offrir une raison logique et
scientifique du contraire. Ne m’ennuyez pas s’il vous plaît en me répondant par des références à des trucages avec
miroirs, des transmetteurs RF ou d’autres explications de type performances de cirque.
Permettez-moi de vous rappeler encore une fois que ce qui précède n’est qu’une très petite partie de la vaste
quantité de données enregistrées dans nos archives historiques.
Le présent
Le présent repose sur vous. Il y a de nombreuses équipes éparpillées dans le monde qui expérimentent avec les
accumulateurs d’orgone. Ces équipes travaillent avec l’énergie cosmique pour de nombreuses applications variées. La
pile Joe et son application constituent une très petite section du travail de recherche général. La majorité de l’effort se
fait dans quatres domaines principaux :- Le contrôle du temps. Il y a eu une grande quantité de connaissances rassemblées pour cette application.
Reich lui-même a écrit des centaines de pages sur ses opérations de cloudbusting. Un individu plsu récent est Trevor83
Constable. Le livre „The Loom of the Future” de Thomas J. Brown de chez Borderland Science Research Foundation,
est une bonne vue d’ensemble de l’état présent de cet art.- Modification de l’eau. Ce domaine est moins suivi mais est amplement couvert sur Internet.
Fondamentalement, il implique l’usage soit de formes ovoïdes soit de vortex, soit les deux (après l’oeuvre de Viktor
Schauberger), pour modifier la structure de l’eau et l’énergie d’orgone incluse dedans. Le résultat final est une eau
vivante plus adaptée à tous les organismes vivants. Il y a beaucoup de littérature à ce sujet. Voyez sur Internet.- Usages thérapeutiques. C’est cela qui a causé la fin de Reich et de son oeuvre. Lui, et beaucoup d’autres
qui l’ont copié depuis, ont découvert que l’accumulateur d’orgone peut avoir des capacités curatives merveilleuses,
avec beaucoup de prétentions sur les soins du cancer. Il y a beaucoup de littérature à ce sujet. Voyez sur Internet.- Usages secrets. Depuis que l’histoire écrite a commencé, des groupes secrets ont exploité la majorité en
détenant d’immenses avances en technologie. Cela n’a pas changé et ne changera pas dans le futur proche. Il est
vraiment très frustrant d’expérimenter avec vos morceaux d’acier inoxydable et votre pile Joe tandis que les quelques
élus rient à s’en décrocher la tête en vous regardant essayer de recréer la roue. Donc, en ce qui concerne le présent,
nous avons fondamentalement deux groupes, l’un caché et très loin au-delà de toute technologie que la personne
moyenne peut imaginer, et l’autre étant un vaste groupe d’expérimentateurs de garage et académiques, cherchant
péniblement leur chemin dans le brouillard.
Le futur.
Pour citer Walter Russell directement, au sujet d’une future nouvelle source d’énergie (écrit en 1957) : „La
première étape serait la transmutation de l’atmosphère en hydrogène libre, puis, des générations plus tard, la
transformation du rayonnement solaire en génération solaire, comme ultime carburant pour l’homme. Cela non
seulement le libèrerait de la dépendance envers les ressources de la terre, mais lui donnerait aussi le pouvoir complet
pour produire des pluies lorsqu’il le désire, sur le désert ou la prairie, et dissiper les cyclones en formation.”
Une source majeure d’orgone est le rayonnement solaire.
Le futur dépend de nous tous. Si nous échangeons nos recherches pour le bien de tous (ce qui est si facile
aujourd’hui avec les courrier électroniques et l’Internet), nous serons capables de faire des bonds quantiques dans notre
connaissance. Ainsi l’écart entre l’information cachée et celle librement disponible sera refermé. Le résultat final est un
monde meilleur pour la majorité et pas seulement pour quelques élus.84
Chapitre 12
„L’amour que vous retenez est la douleur que vous portez.”
Contribution des lecteurs
J’ai réservé cette section aux dons généreux des lecteurs de ce manuel. Ca ne sert à rien de s’asseoir sur vos
précieuses informations. Partagez-les ! Plus vous donnez, plus vous recevez !
De Joe via Brett :
POLARISATION/MODIFICATION DU „FACTEUR Y”
„Le coeur du sage incline vers la droite, mais le coeur du fou vers la gauche.”
– Ecclésiaste 10:2 (TLB)
Fond
Joe a dit que tout le monde a sa propre „polarisation” (facteur Y). Certaines de ses polarisations sont :
Pôle Nord – en avant (bon pour faire fonctionner les piles)
Pôle Sud – inversé (bon pour faire fonctionner les piles)
Pôle Nord – inversé (pas bon pour faire fonctionner les piles)
Pôle Sud – en avant (pas bon pour faire fonctionner les piles)
Maintenant vous vous inquièterez peut-être d’avoir une des „polarisations” qui „ne sont pas bonnes pour faire
fonctionner la pile”, et par conséquent d’être ou d’avoir été incapables de faire aller votre pile Joe au-delà du stade 1.
Le but de ce chapitre est de décrire un processus pour résoudre temporairement cette situation de „polarisation”.
Vue d’ensemble et équipement
Ce processus est semblable à une douche, un bain ou le sommeil – seulement du fait que ce n’est pas
permanent ! Donc, aussi souvent que vous avez besoin de travailler sur votre pile Joe pour l’amener au-delà du stade 1,
vous pourrez avoir besoin de ce processus. Un équipement minimal est requis, seulement ce qui suit :
1x boussole ou une montre analogue
1x batterie de 12V, entièrement chargée, avec des bornes propres
1x chaise (non magnétique)
1x table à quatre côtés (non magnétique)
Processus
Comme lorsque vous travaillez avec la pile Joe, assurez-vous que vos mains sont propres. Les étapes de ce
processus simple sont :
Etape 1 – Utilisez le compas ou la montre pour déterminer la direction du Nord.85
Etape 2 – Alignez les côtés de la table à chacune des directions cardinales du compas.
Etape 3 – Placez la chaise du côté Nord de la table, de sorte que, lorsque vous êtes assis dessus, vous regardiez le
Sud par-dessus la table.
Etape 4 – Placez la batterie sur la table avec la borne + (positive) vers l’Ouest et la borne – (négative) vers l’Est.
Etape 5 – Asseyez-vous sur la chaise en face de la table.
Etape 6 – Léchez le pouce, l’index et le majeur de votre main droite.
Etape 7 – Avec votre main droite étendez le bras et saisissez la borne – (négative) en utilisant les doigts mouillés
de votre salive.
Etape 8 – Gardez votre main gauche sur vos genoux ou à votre flanc gauche et attendez dans cette position
pendant 30 secondes.
Etape 9 – Léchez le pouce, l’index et le majeur de votre main gauche.
Etape 10 – Avec votre main gauche étendez le bras sous votre bras droit sans le toucher ni lui ni vos habits et
saisissez la borne + (positive) en utilisant les doigts mouillés de votre salive.
Etape 11 – Si vous sentez un „bourdonnement” dans vos doigts ou vos pouces, alors un doigt à la fois coupez
votre contact avec la borne (autrement dit levez le doigt en laissant les autres en contact) et tournez-le ou
déplacez-le en cercle dans un sens anti-horaire sept fois, puis remettez-le sur la borne. Répétez ce processus
autant de fois que nécessaire pour chaque doigt, jusqu’à ce que vous ne sentiez plus de „bourdonnement”.
Etape 12 – Lorsque tout „bourdonnement” a été éliminé, maintenez alors votre saisie pendant au moins 5
minutes, mais pas plus que sept minutes. Assurez-vous que vous gardez un écart entre vos deux bras durant tout
ce temps.
Etape 13 – Relâchez votre saisie de la borne + (positive) et ramenez votre main gauche par-dessous votre bras
droit sans le toucher ni lui ni vos habits, jusqu’à la position où elle était à l’étape 8.
Etape 14 – Relâchez votre saisie de la borne – (négative) et ramenez votre main droite vers votre corps.
Vous devriez maintenant être temporairement „polarisés” d’une façon qui est „bonne pour faire fonctionner les
piles”, donc être prêts pour travailler sur votre pile Joe au-delà du stade 1.
De Bruce :
Ce qui suit est un rapport de Bruce, un expérimentateur passionné et de longue date de Adelaide (Australie).
Bruce a passé des années à mener des recherches sur l’orgone et la pile Joe. Je te remercie, Bruce, de partager avec
nous des nombreuses expériences.
RESULTATS EN UTILISANT DE PETITS CÔNES ET DE L’EAU DES-IONISEE
(Avril 1997)
Les expériences suivantes ont été menées en utilisant de petits cônes, de l’eau dés-ionisée dans un récipient en
verre et une alimentation électrique en courant continu de 48 Volts à 20 Amps.
VITA HEALTH POWDER – KAL 5.
Test 1 : Lundi 28/04/97. Eau désionisée sans additifs – Courant = 0,5 A, très peu de bulles, pas de précipitation.
Test 2 : Lundi 28/04/97 (10H). Ajouté deux cuillères à café de Vita Health Powder contenant du Calcium, du
Magnésium, du Potassium et des sels de Sodium. Le courant a commencé à 2,5 A et est monté lentement à 3 A avec
plus de bulles qu’au Test 1, mais tout hydrogène (flamme jaune, etc).
Test 3 : Lundi 28/04/97 (16H15). Les bulles étaient restées sur les cônes depuis l’expérience du matin. J’ai mis
sous tensions et le courant -4 A avec beaucoup de bulles d’hydrogène. L’eau est devenue chaude après 15 mn et des
dépôts blancs flottaient au-dessus.
SULFATE DE MAGNESIUM
Test1 : Mardi 29/04/97. Commencé avec de l’eau fraîche et ajouté 2 cuillères à café de Sels Epsom (sulfate de
magnésium). Le courant a commencé à 11 A et est monté à 16 A. Eteint et dilué le mélange de moitié.86
Test 2 : Mercredi 30/04/97. Le courant a commencé à 8 A à l’allumage, puis est monté à 13 A. Produisant
beaucoup de gaz – de très grosses bulles à la surface (beaucoup de tension de surface) et beaucoup de très petites
bulles dans l’eau elle-même. Très petits dépôts flottant sur l’eau, ce qui était là étant de couleur blanche. Des gaz
explosifs et implosifs, lorsqu’allumés.
Test 2 : Jeudi 01/02/97. Laissé 24h et allumé à nouveau. Attira un courant de 10 A et produisit des gaz implosifs
et explosifs. Beaucoup de crasse brune flottant à la surface (écopée).
HYDROXYDE DE POTASSIUM
Test 1 : Vendredi 02/05/97. Commencé avec de l’eau fraîche et ajouté 0,25 cuillère à café de potasse caustique
(hydroxyde de potassium). Le courant était de 13 A avec des bulles blanches pures avec beaucoup de regroupement
(haute tension de surface) à la surface, une vapeur apparaissant par-dessus ça et beaucoup de très petites bulles faisant
paraître l’eau blanche dans la moitié supérieure du récipient de verre. Allumées, les bulles étaient vraiment de
l’hydrogène. Les dépôts à la surface de l’eau étaient principalement blancs avec une faible teinte de brun. Il n’y en avait
pas assez pour justifier qu’on les enlève.
Test 2 : Vendredi 02/05/97. Le mélange dilué de moitié, courant désormais 8 A, toujours produisant beaucoup
de gaz d’hydrogène. Très bruyant lorsqu’allumé. Dépôts à la surface de l’eau étaient principalement blancs avec une
faible teinte brune, mais toujours pas assez pour l’enlever.
Test 3 : Samedi 03/05/97. Le courant est descendu légèrement jusqu’à 6 A avec du gaz explosant très
bruyamment, bien plus fort que le jour précédent. Le bulles étaient très blanches avec une petite quantité de dépôts
blancs flottants sur l’eau.
Test 4 : Dimanche 04/05/97. Le courant est descendu encore jusqu’à 5,5 A avec le gaz nettement hydrogène,
lorsqu’enflammé produit une explosion très bruyante mais avec une flamme jaune. Ai inversé les polarités sur les
cônes et immédiatement il y avait une grande masse de bulles qui se rassemblèrent en un regroupement (beaucoup de
tension de surface). Ai remis l’alimentation dans le bon sens et l’effet de regroupement resta. Lorsqu’enflammé, le gaz
était nettement implosif. Pas de flamme visible, l’eau éclaboussa hors du récipient et mes oreilles sonnaient. Pas de
dépôts sur l’eau.
Test 5 : Mardi 06/05/97. Le courant maintenant est descendu à 4 A mais toujours beaucoup de bulles. Très
bruyant lorsqu’enflammé mais de nouveau de l’hydrogène. Ai inversé les polarités et fait le même truc à nouveau et le
gaz est devenu implosif à nouveau. Pas de dépôts sur l’eau.
Test 6 : Mercredi 07/05/97. Courant stabilisé à 4 A. Le gaz lorsqu’enflammé extra bruyant, d’abord hydrogène
puis du gaz implosif sans aucune tricherie d’alimentation électrique. Pas de dépôts sur l’eau.
Test 7 : Jeudi 08/05/97. Courant toujours à 4 A avec du gaz implosif très bruyant. Les bulles paraissent
réellement blanches. Pas de dépôts sur l’eau.
Test 8 : Vendredi 09/05/97. Pareil qu’au test 6.
OBSERVATIONS
D’après ce que Joe nous a dit, les choses à considérer lors du chargement de l’eau sont :
Des bulles qui ont beaucoup de tension de surface, de telle sorte qu’elles peuvent se rassembler en groupe
autour du tube central.
Des bulles qui sont implosives (pas de flamme jeune et très bruyante).
Des bulles qui sont très blanches.
Les bulles restent à la surface des cônes après que l’unité soit mise hors tension.
Un magnétisme évident autour du baril de chargement.
Beaucoup de crasse venant à la surface pendant que l’unité fonctionne.
L’eau tournant dans le sens anti-horaire lorsqu’elle est chargée.
La poudre KAL 5 VITA HEALTH était le moins productif des matériaux testés, je pense que ça ne vaut pas la
peine de poursuivre avec. Le SULFATE DE MAGNÉSIUM était le seul matériau qui permettait aux bulles de rester
sur les cônes après que l’unité soit mise hors tension, cependant le gaz sortant n’était de loin pas aussi explosif/implosif
qu’avec l’HYDROXYDE DE POTASSIUM. Le KOH donna très peu de dépôts sur la surface de l’eau mais il donna
des „bangs” extrêmement puissants lorsqu’enflammé. Il était intéressant de noter beaucoup d’activité se produisant
sous la surface, avec beaucoup de petites bulles qui voyageaient vers le bas depuis la surface, mélangée avec les bulles
qui montaient depuis le fond et retournaient à la surface. Cette sorte d’effet était aussi évoquée par Joe. L’autre
observation intéressante était que le courant réduisit de 8 A jusqu’à 4 A alors même qu’aucun matériau ne fut enlevé du
récipient.87
TESTS DE LA JOE CELL DE MARQUE 1 (JUIN 1997)
Le premier test fait avec un tube externe en perspex à la place de celui en acier inoxydable de 4”. L’eau chargée
(aussi bien que nous pouvons la charger) fut mise dans la pile sur la voiture et le courant observé fut de 165mA. Le
trajet de test jusqu’à Goolwa donna une économie de carburant de 58MPG (miles per gallon), tandis que le trajet de
retour à la maison donna une moyenne de 52MPG. Le jour suivant on trouva des craquelures dans le perspex et l’unité
prenait de l’air, donc je l’ai enlevé. L’économie de carburant resta au-dessus de 50MPG pendant les deux jours suivants
(beaucoup en ville) puis retourna à la „normale” pour un fonctionnement d’hiver de 46MPG. L’unité fut ensuite réparée
et réinstallée, mais un retour de flamme la détruisit avant que d’autres tests puissent avoir lieu.
Je reconstruisis alors l’unité avec un tube externe d’acier inoxydable (4 pouces) comme pour le dessin de
Marque 1, et je la réinstallai dans la voiture. Cette fois je ne pouvais pas „charger” correctement l’eau dans
l’installation du baril et je n’était pas content de cela. Je la mettai toutefois dans la voiture et constatai que le courant
était de 50mA cette fois. Cela s’expliquait par le fait que j’utilisais désormais le tube externe comme positif, ce qui
signifiait qu’il y avait une plaque neutre en plus dans l’unité. Je ne pus obtenir aucun effet sur le fonctionnement du
véhicule avec cette installation. En enlevent l’eau de l’unité après trois semaines, elle était pleine de dépôts bruns,
semblables à ce que vous obtenez à la surface de l’eau pendant le traitement en baril.
Je lavai l’unité et la remplissait d’eau désionisée en ajoutant de la potasse caustique jusqu’à ce qu’un courant de
5 A à 12 V ait été obtenu. Je replaçai l’unité dans la voiture et démarrai. La jauge de vide de l’unité suivit le collecteur
de vide pendant environ une minute puis alla à zéro, indiquant une pression positive dans la pile. Le moteur
commença à fonctionner sur trois cylindres et de copieuses quantités de vapeur commencèrent à sortir de
l’échappement. Pensant avoir trop rempli le récipient, je siphonnai le liquide jusqu’à ce qu’il soit aux deux tiers de la
hauteur du récipient. Je répétai le test avec les mêmes résultats. Je conduisis jusqu’à Tailem Bend puis de retout à
Murray Bridge, où je comptais faire une démonstration de cet effet à Roger. Cependant, cette fois, il n’y eut pas de
pression évidente à la jauge à vide et la voiture continua de fonctionner, bien qu’elle semblait fonctionner en
suralimentation comme si le starter était mis. Après quelques minutes, le moteur retourna sur trois cylindres et pendant
tout ce processus il y eut beaucoup de vapeur à l’échappement.
Le jour suivant, je revérifiai le niveau d’eau (pas beaucoup de changement) et testai le courant. A ma surprise le
courant avait augmenté de 10 A. Je fis le niveau de l’eau pour couvrir les tubes dans la pile et revérifiai le courant, qui
était maintenant de 12 A. J’installai un robinet sur le tuyau d’alimentation et retestai l’unité. Si on laisse la pression se
développer dans l’unité et que le robinet est entrouvert lentement, le régime du moteur augmente pendant 15 secondes
à peu près puis revient à la normale. Si le robinet est plus ouvert, le moteur commence à tourner brusquement et de la
vapeur sort de l’échappement.
D’après ce que Joe a dit de tout cela, et que ces expériences semblent vérifier, dès que quelque chose est ajouté
à l’eau, vous avez une électrolyse et donc cela ne produit pas assez de gaz pour faire tourner un véhicule. Je ne suis pas
sûr de la raison pour laquelle il y a l’excès de vapeur sortant de l’échappement lorsque le robinet est grand ouvert. S’il y
avait une fuite d’air dans la pile, cela pourrait laisser l’excès d’eau être attiré dans le moteur, toutefois je peux
développer la pression de gaz dans la pile en fermant le robinet d’arrivée et la pression reste constante sur la jauge,
indiquant que la pile a une étanchéité à l’air.
J’ai désormais enlevé cette unité de la voiture – fin des tests de la Marque 1.
TESTS DE LA JOE CELL
Ce qui suit est un résumé des effets inhabituels que j’ai obtenu avec une conception très précoce de la pile Joe.
J’ai rapporté ces effets à la réunion ASTRO de février, mais j’ai décidé de soumettre cet article à la newsletter pour
ceux qui n’étaient pas à la réunion.
La pile fut d’abord construite en 1993 en utilisant des tubes de 2”, 2,5”, 3” et 3,5″”, faits en inox 316 plat et
roulé en tubes. Ils avaient été ensuite soudés en trois points. La seule altération par rapport à la conception originale
était qu’un petit cône SS était ajusté par-dessus les tubes pour diriger l’énergie dans le tuyau d’alimention en aluminium
de 0,5” au sommet de l’unité.
DIMANCHE 31/01/99 : L’unité a été remplie avec de l’eau chargée de P&U et disposée dans la voiture dans le
compartiment du passager. Le tuyau de distribution en aluminium passe à travers le pare-feu et se raccorde au
collecteur initialement par un ajustement en laiton. Ce raccordement était „borgne” (bouché), donc aucun vide réel
n’était présent dans la pile.
JEUDI 4/02/99 : Il n’y avait pas d’effet, j’ai donc changé le raccordement en laiton et fabriqué un raccordement
en aluminium. J’ai aussi percé celui-là, de sorte que le vide du collecteur était présent dans la pile cette fois. Au
démarrage de la voiture, elle fonctionna un peu brutalement tandis que l’excès d’eau était aspiré de la pile dans le
moteur, puis elle fonctionna doucement. Je conduisis approximativement 0,5 km pendant lesquels le régime du moteur
ne voulait pas baisser sous 2000 tours/minute. Je retournai au garage et éteignis le moteur, lorsqu’il continua à tourner,88
s’arrêta momentanément puis tourna à nouveau jusqu’à environ 2000 tours/minute tandis que je me tenais et le
regardais. Il tourna seulement pendant environ 5 secondes et s’arrêta.
Je l’ai ensuite allumé à nouveau et les tours/minutes ne descendaient pas sous les 2000. Cette fois j’ai éteit
l’allumage, ça s’est bien arrêté. J’ai revérifié le travail que j’avais fait et je me suis assuré qu’il n’y avait pas de fuites
d’air dans le collecteur qui pourraient donner cet effet. Je n’ai rien trouvé, j’ai réassemblé tout et démarré à nouveau le
moteur. Encore une fois, 2000 tours/minutes. J’ai déconnecté le tuyau d’alimentation en aluminium du collecteur et j’ai
bouché le tuyau de caoutchouc du collecteur, mais le moteur ne voulait toujours pas tourner plus bas que 2000. Ayant
pris rendez-vous chez un comptable et réservé pour la voiture un équilibrage des roues, je commençai alors à me
mettre en mode panique. J’ai alors physiquement retiré la pile de la voiture, démarré le moteur et découvert que les
tours/minute étaient descendus à un peu plus que 1000. En réglant la vis du mélange de ralenti, j’ai pu fixer le ralenti à
environ 800. Le régime du ralenti semblait un peu variable et allait continuellement de 600 à 1000 tours/minute et
retour.
La pile était démontée pendant deux jours car j’avais besoin que la voiture soit fiable, mais j’ai constaté que les
effets restaient (par exemple la vitesse de ralenti variant). J’ai constaté que je pouvais déconnecter le solénoïde antidieseling et que le moteur tournait toujours au ralenti, bien qu’à un régime plus bas (environ 500 tours/minute) et de
manière brusque (normalement cela tue instantanément le moteur).
SAMEDI 06/02/99 : J’ai réinstallé la pile et je l’ai connectée de la même manière qu’avant, mais je n’ai pas
trouvé de différence. J’ai joué avec l’avance à l’allumage à plusieurs reprises pendant le test et j’ai constaté qu’avec le
pétrole je peux être en excès d’avance de 50 degrés sans différence appréciable dans le fonctionnement du moteur.
Normalement, je fonctionne avec une avance de 7 degrés pour une meilleure performance/économie mais je peux
rencontrer des problèmes de cliquetis. L’avance était fixée à 10 degrés depuis que la pile avait été installée la première
fois et je pouvais presque caler la voiture en troisième vitesse, mettre mon pied au plancher et le moteur tirait sans
cliquetis. J’ai fait un test pendant lequel j’ai conduis la voiture avec 20 degrés d’avance et elle tournait bien, pas de
cliquetis, juste un léger point mort à bas régime.
DIMANCHE 07/02/99 : Il est apparu que la pile était morte et que la voiture, bien qu’elle se comportait comme
le jour précédent, perdait les effets de la pile. Le moteur callait désormais lorsque le solénoïde anti-dieseling était
débranché mais tournait toujours à 10 degrés d’avance sans cliquetis. J’ai aussi constaté que pendant la journée j’avais à
faire le mélange de ralenti légèrement plus riche pour obtenir un ralenti doux. Une chose que j’avais remarqué (depuis
Jeudi) était que le moteur était extrêmement difficile à démarrer après avoir été laissé pendant la nuit. Il agissait
comme si noyé et ne démarrait qu’en laissant l’accélérateur et en actionnant le démarreur. Une fois démarré cependant,
le moteur tournait doucement au ralenti et démarrait au premier tour de clé pour le reste de la journée.
LUNDI 08/02/99 : La voiture était encore une fois difficile à démarrer, mais a ensuite tourné doucement au
ralenti encore une fois. J’ai débranché la pile et rebouché le tuyau de caoutchouc du collecteur et le moteur a paru
presque revenu à la normale avec un ralenti doux de 800 tours/minutes.
MARDI 09/02/99 : La voiture totalement de retour à la normale, a bien démarré ce matin, a tourné
normalement et le moteur s’arrête immédiatement lorsque le solénoïde anti-dieseling est désactivé. J’ai enlevé la pile
de la voiture et appliqué sur elle 24 Volts depuis deux batteries de voiture en série. Il y eut un peu de bulles mais rien
n’apparut à la surface de l’unité. J’ai vidé l’eau dans une bouteille en verre et l’eau était assez brune. Ce brun s’est
déposé au fond de la bouteille pendant la journée. J’ai lavé la pile avec de l’eau de pluie normale, je l’ai vidée et
remplie avec de l’eau plus chargée de la fournée originale. J’ai ensuite appliqué 24 Volts à la pile et immédiatement
l’eau et les bulles ont débordé du haut et par-dessus le bord de la pile. J’ai enflammé cela (hydrogène), puis des masses
de bulles blanches pures sont venus, que j’ai allumé (implosion très bruyante – bonne matière !). J’ai éteint ensuite
l’électricité et réinstallé l’unité dans la voiture. Tout cela s’est produit en 1-2 minutes car je ne voulais pas remplir la
pile de saleté en la laissant trop longtemps sous tension. Je décidai de répéter les circonstances du test original, c’est-à-
dire pas de vide dans la pile initialement, donc j’ai usiné un bouchon d’aluminium que j’ai ensuite inséré dans l’entrée
en aluminium du collecteur. (Ce bouchon est serré dans le tuyau de caoutchouc). J’ai démarré la voiture et je l’ai
conduite sur environ 5 km. Tout paraissait normal à ce stade.
La pile est toujours installée dans la voiture à ce moment (9 mars) mais il n’y a pas eu d’autres effets. Je n’ai pas
non plus eu le temps de faire des ajustements ou changements. En conclusion, l’aspect le plus intéressant de cet
évènement était que le régime du moteur ne réduisait pas jusqu’à ce que la pile soit physiquement enlevée de la
voiture, et que les effets décrits ci-dessus réduisaient sur quelques jours. Mon opinion est que cela démontre que nous
avons affaire à une énergie, pas un gaz ou quelque réaction chimique comme certains le croient. Quelle est cette
énergie ? Mon pari est que c’est l’orgone, mais qui pourra en être sûr avant que quelqu’un arrive avec une unité
fonctionnelle et reproductible qui puisse être testée.89
MISE A JOUR SUR LA PILE JOE (10 mai 1999)
Depuis mon dernier rapport, la pile est restée dans la voiture, branchée au collecteur par le tuyau d’aluminium
et le tuyau de caoutchouc. Le tuyau de caoutchouc est bouché par un bouchon d’aluminium, donc il n’y a pas de vide
réel présent dans la pile. Pendant cette période, la voiture s’est comportée de manière assez étrange : le mélange de
carburant se faisait riche pendant plusieurs jours à un moment, augmentant le régime de ralenti jusqu’à environ 1000
tours/minute et nécessitant un ajustement du carburateur pour le réduire à nouveau. Pendant cette période „riche”, j’ai
aussi remarqué une chute de la température de l’eau dans le moteur. Après quelques jours, le contraire se produit et la
voiture commence à caler chaque fois qu’elle essaie de tourner au ralenti. Réajuster encore une fois le mélange ramène
le moteur à un fonctionnement normal. Ces effets m’ont amené à penser que la pile s’arrêtait et reprenait vraiment, bien
qu’à un degré moindre que ce dont j’avais précédemment fait l’expérience. Dans l’ensemble j’ai été incapable de faire
fonctionner la voiture „normalement” depuis que la pile la fait fonctionner à 2000 tours/minutes quelques mois plus
tôt. En outre, l’économie de carburant s’est empiré d’environ 40 mpg.
Après avoir lu certains des newsgroups Internet et entendu parlé de certaines expériences à Melbourne, j’ai
décidé d’essayer de placer un aimant circulaire sous la pile. Il se trouvait qu’Andrew me téléphonait à propos d’autre
chose lorsque je pensai à cela, donc nous avons discuté l’idée et il m’a offert quelques suggestions. Il s’agissait de
tourner le pôle Nord vers le haut donc vers la pile, d’essayer l’étain ou de la plaque de plâtre (diamagnétique) entre
l’aimant et la pile, et d’entourer la pile de plaque de plâtre pour éliminer les effets de champs exterieurs.
D’abord j’ai enlevé la pile de la voiture et je l’ai alimentée avec 24 Volts. Immédiatement il y a eu des masses de
ces petites bulles blanches que nous avons appris à connaître, s’écoulant par-dessus le sommet de la pile et coulant sur
le côté. Lorsqu’enflammé, il y a eu des implosions extrêmement puissantes avec un essai finissant dans l’eau explosant
par le tuyau de sortie et frappant le plafond du hangar. J’ai ensuite expérimenté avec l’aimant et les autres composants
mentionnés ci-dessus mais je n’ai pas remarqué de différence du tout.
J’ai ensuite installé de nouveau l’unité sur la voiture et laissé l’aimant circulaire sous la pile juste pour voir si
quelque chose se produirait. Après deux semaines… rien ne s’était produit du tout ! Après deux semaines et un jour, le
moteur commença à tourner brusquement (dans la vallée Barossa à ce moment) et le temps que nous arrivions à la
maison il tournait TRES brusquement. Après enquête, j’ai trouvé un joint de culasse avec une pièce manquant entre les
cylindres 2 et 3. Le mécanicien automobile qui faisait face à la culasse commenta en disant que cela se produit
habituellement à cause du cliquetis du moteur après une certaine période de temps. J’avais fait l’expérience de cliquetis
dans le moteur mais rien d’assez sévère pour causer cela. Alors je me suis rappelé que la voiture n’avait pas fonctionné
correctement depuis l’épisode des 2000 tours/minute, période pendant laquelle j’avais expérimenté avec des
changement d’avance assez radicaux (jusqu’à 20 degrés d’avance) dans un effort pout faire fonctionner le moteur sur la
pile elle-même sans pétrole. Je fais maintenant l’hypothèse que puisque le moteur n’avait pas fonctionner correctement
depuis, ce pouvait alors avoir été le moment où les dégâts avait commencé, ayant maintenant lentement progressé
jusqu’à une brûlure du joint.
Comme je travaille pour le moment à Adelaide et que j’ai besoin que le véhicule soit fiable pour voyager les
450 km par semaine, j’ai décidé de suspendre tout test avec la pile sur la voiture pour un moment.
LA SAGE DE LA PILE JOE CONTINUE (Septembre 1999)
Mercredi 01/09/99 : J’ai installé dans ma voiture une pile que l’on m’a donnée, pour l’essayer. Cette pile est
différente de toutes les autres que j’ai essayées avant, en cela que l’électrode centrale (négative) est faite d’une tige en
carbone de 2 pouces tandis que le tube extérieure d’acier inoxydable (positif) est d’un diamètre de 4 pouces. Il n’y a pas
de tubes neutres dans cette pile et la chose entière tient dans un récipient en en plastique de tuyau d’évacuation. Le
fond est plat et le cône du sommet est fait en aluminium. Cette pile m’a été donnée chargée avec de l’eau.
Lundi 06/09/99 : Rien ne s’est vraiment passé jusqu’à aujourd’hui lorsque j’ai commencé le voyage quotidien de
100km pour aller au travail et revenir. Après de longs parcours en pente descendante, en frappant l’accélérateur, de
grosses quantités de fumée d’huile se vomirent de l’échappement. Aussi, lorsque le moteur redémarra après s’être arrêté
quelque part, la même chose se produisit. Cela est très symptomatique d’un joint de tige de valve d’huile usé, ce dont
souffrait le moteur à un degré mineur, mais le problème était maintenant décuplé !
Mardi 07/09/99 : Cette situation fumeuse continua aujourd’hui et s’aggravait au point que, arrêté au feu rouge
au ralenti, je disparaissait deans un écran de fumée. Matériel résolument défectueux.
Mercredi 08/09/99 : Lorsque je suis arrivé à la maison, j’ai enlevé la pile et déchargé le moteur de toute charge
résiduelle en allumant le positif de la batterie sur le bloc-moteur avec un morceau de câble. (J’ai fais ce processus de
décharge car lors d’une expérience précédente j’ai constaté que tout effet de la pile semble durer à peu près trois jours.)
Jeudi 09/09/99 : La voiture était de retour à la normale sans presque plus de fumée.
Lundi 27/09/99 : Bien que la pile n’ai pas été dans la voiture depuis 19 jours, le moteur a commencé à fumer à
nouveau.
Mardi 28/09/99 : Je l’ai laissé jusqu’à la nuit de mardi, où elle était vraiment mal, puis j’ai déchargé encore une90
fois le bloc. A nouveau le matin suivant, pas de fumée.
Il apparaît que la charge s’était lentement redéveloppée dans le moteur, bien que la pile n’avait pas été à
proximité. Cet effet est un peu comme court-circuiter un gros condensateur qui regagnera lentement une part de sa
charge passée. Ma prochaine étape est de remplacer le joint de tige de valve et réinstaller la pile encore une fois pour
voir si il y a de la fumée ou pas ! S’il y a de la fumée, alors il paraîtra que si le moteur à une „faiblesse” d’étanchéité
d’huile, ce problème pourrait être amplifié par la pile. Si ça fume encore, alors cela corroborerait l’avis de Joe en 1993
qu’un récipient extérieur en plastique sur une pile „fera que le moteur polluera”.
Les contributions suivantes de Bruce sont légèrement hors sujet, mais sont pertinentes comme méthode de
chargement de l’eau d’une pile Joe…
EXPERIENCE D’UNE BOITE A ORGONE
Ce qui suit est une brève description d’un accumulateur d’orgone qui a été construit par beaucoup d’autres gens
et moi-même comme un projet combiné, en 1991. D’abord, pour ceux qui n’ont pas entendu parler d’orgone, c’est
l’énergie qui donne aux pyramides leurs propriétés intéressantes pour garder fraîche la nourriture et aiguiser les lames
de rasoir, etc. Il y a beaucoup d’information dans les livres de Wilhelm Reich et d’autres sur l’orgone, donc cherchez
dans votre bibliothèque si vous voulez plus d’informations.
La conception basique de l’accumulateur que nous avons construit venait d’un livre intitulé „L’Impressionnantes
Force de Vie” par Joseph Carter. Cette unité consiste en feuille de plastique de 6 mm coupée à la taille pour faire une
boîte des dimensions suivantes : 300 mm x 300 mm x 450 mm. Les quatre côtés et le fond étaient collés ensemble et le
haut était laissé séparé pour pouvoir l’enlever. La boîte était ensuite couverte avec 40 couches de feuille d’aluminium
de type alimentaire, alternativement avec 40 couches de papier journal. (Deux épaisseurs de papier journal étaient
utilisées pour chaque couche.) Si vous projetez d’en construire une comme cela, nous avons trouvé que le moyen le
plus facile de faire les couches était de couper les six ensembles (pour le haut, le fond et les quatres côtés) de papier et
alu, de les coller ensemble par groupe puis de les coller à la boîte en plastique. Tout l’apareil était ensuite enveloppé de
scotch d’emballage pour lui donner un peu de protection, le couvercle étant enveloppé séparément. Le fait que les
couches de chaque face de la boîte n’était pas continues ne semble pas affecter l’opération de l’accumulateur.
Quatres expériences furent essayées dans la boîte, pendant l’été (la température était dans les 30°) :- Un verre de lait ouvert fut placé dans la boîte avec un verre de contrôle placé dans une boîte en carton
normal près de l’accumulateur.- Un pot de lait fermé fut placé dans la boîte.
- Un couteau en acier inoxydable fut placé dans un pot d’eau dans la boîte.
- Des mesures de températures furent prises dans et hors de la boîte.
Les résultats furent les suivants :- Le lait dans la boîte était toujours normal (liquide, sentant le frais) après sept jours (fin du test), tandis
que l’exemplaire de contrôle était gâté (grumeleux et rance) après un jour.- Le pot fermé tourna au yaourt (une consistance normale de yaourt et sentant frais).
- Le couteau en acier inoxydable devint légèrement magnétique et une pièce d’acier fut attiré vers lui
lorsque tenue près du couteau. L’efet était très léger et ne dura qu’à peu près cinq minutes après avoir ôté le pot
d’eau de la boîte.- Il n’y eut pas de différence appréciable de température que nous puissions mesurer dans et hors de la
boîte.
Aucun des exemplaires de test ne furent goûtés à cause des soucis de DOR (Deadly Orgone Radiation) et il a
été suggéré que, pour les aliments, de la feuille de cuivre devrait être utilisée et pas de l’aluminium pour cette raison. Il
a aussi été suggéré qu’un moteur à combustion interne pouvait fonctionner à partir de cette énergie en faisant passer
l’air par cet accumulateur avant qu’il n’aille dans le moteur. Nous avons eu un essai de cela mais il n’eut pas de succès.
Cependant je sens que cela pourrait avoir marché si la boîte avait été laissée sur le moteur pendant une longue période
et si nous avions joué avec l’avance du moteur. Peut-être y retournerons-nous un jour ?
TRAITEMENT DE L’EAU A L’ORGONE (1998)
Ayant développé de l’intérêt pour les effets des aimants et vortex, etc, sur l’eau, j’ai décidé l’été dernier de
prendre une approche différente pour un problème commun de goutte-à-goutte bloqués dans un système d’irrigation91
que nous avons sur nos arbres fruitiers. L’eau vient initialement de deux barrages que nous avons sur notre propriété.
Cette eau est pompée jusqu’à un barrage-chef puis est distribuée par gravité, via un tuyau commun, jusqu’à un point où
elle est divisée en deux distributions, une pour chaque verger.
Ayant fait quelques expériences précédentes avec des générateurs d’orgone, j’ai décidé d’en faire un et de le
mettre sur l’une de ces canalisations d’eau, de sorte qu’une moitié du verger soit irriguée avec cette eau et que l’autre
moitié n’ait pas de traitement. La seule constante dans le processus était que je savais que les étés précédents le
nombre de blocages dans les goutte-à-goutte était de très près le même dans les deux vergers.
Le générateur d’orgone fut construit de 40 couches de feuilles d’aluminium, séparées par 40 couches de papier
journal enroulées autour du tuyau en poly de 42 mm. Quelques personnes ont exprimé des préoccupations sur les fait
que pour tout ce qui est alimentaire, le cuivre devrait être utilisé et pas l’aluminium, cependant comme c’était un
arrangement à court terme que l’eau n’était pas directement ingérée, j’ai décidé de tenter. Aussi loin que je puisse le
raconter, il n’y eut pas d’effets secondaires nocifs venant de cette expérience.
Maintenant, les résultats ! Pendant la période d’irrigation testée, il y avait 14 heures d’irrigation. Les premières
deux heures montrèrent une réduction de 50% des blocages, mais pendant la troisième heure le nombre de blocages
s’éleva jusqu’à égaler ceux qui s’étaient produit dans la moitié inchangée du système. A partir de là le nombre de
blocages chuta dramatiquement (est-ce que ce scénario sonne familier ?), le résultat final montrant un taux de blocage
52% plus faible du côté traité à l’orgone.
Ce test fut mené sur une période de temps courte et avec un petit nombre de goutte-à-goutte (78), donc les
résultats doivent être considérés en fonction de cela, cependant les résultats étaient assez signifiants pour moi, me
donnant beaucoup moins de travail à faire. L’autre aspect intéressant de cette expérience était que j’ai fait de nombreux
bêchages en sols similaires après l’irrigation et j’ai constaté que dans chaque cas l’eau de la moitié traitée avait pénétré
appromaximativement deux fois plus profond que l’eau de la moitié non-traitée.
Ces résultats sont semblables à des rapports que j’ai lus sur les effets de l’installation d’aimants autour des
tuyaux d’eau, à la fois dans la réduction des blocages des goutte-à-goutte et dans l’effet de pénétration dans le sol plus
rapide. Je ne suis pas sûr de savoir comment concordent les deux méthodes, mais c’est intéressant !92
GLOSSAIRE
„Pour obtenir une connaissance réelle, nous devons sentir la vérité d’une chose et
comprendre qu’elle est vraie, et connaître la raison pour laquelle elle ne peut pas être
autrement.” – Max Heindel.
Accumulateur – Dans notre cas, un récipient rechargeable de concentration de l’orgone.
Acide – Une substance qui libère des ions hydrogène lorsqu’elle est ajoutée à de l’eau. L’ion hydrogène est solvaté,
c’est-à-dire qu’une molécule d’eau s’ajoute à lui, pour donner l’ion oxonium.
Acide acétique – Le nom commun pour acide éthanoïque.
Acide éthanoïque – C’est l’un des acides gras les plus simples. Le vinaigre contient 5% ou plus d’acide éthanoïque.
Acier – Un alliage qui contient du fer comme constituant principal.
Alkali – Une base qui est soluble dans l’eau. Ce sont habituellement des hyrdoxydes de métal, par exemple sodium
hydroxyde, mais la solution d’ammoniac est aussi un alkali.
Alliage – Mélange qui est fait de deux métaux ou plus, ou qui contient des métaux et des non-métaux.
Aluminium – Le métal le plus abondant dans la croûte terrestre (approximativement 8% de la masse). Il est obtenu
par l’électrolyse de la bauxite.
Ampère – L’unité de courant électrique. Il mesure l’intensité d’un courant électrique. 1 Amp = 1 coulomb/seconde.
Anion – Un ion chargé négativement.
Anode – Lorsqu’une solution subit une électrolyse, l’électrode avec le potentiel positif est appelée l’anode. Dans la
pile Joe, c’est la boîte extérieure.
Atome – La particule la plus petite d’un élément qui puisse exister.
Azote – Un gaz diatomique non-réactif qui forme environ 78% de l’atmosphère.
Batterie – Un appareil qui convertit l’énergie chimique en énergie électrique.
Bronze – La combinaison de >90% de cuivre et de <10% d’étain.
Caoutchouc – Un polymère naturel. C’est un hydrocarbone. Le caoutchouc est un bon isolant.
Capillarité – La tendance de l’eau dans une pile Joe à monter sur les côtés des cylindres, dépendant de l’attraction
relative des molécules d’eau entre elles et envers les parois des cylindres.
Carburant – Un carburant est une substance qui libère de l’énergie calorifique lorsqu’elle est traitée d’une certaine
manière. Dans la plupart des carburants, l’énergie est libérée par la combustion. Donc, strictement parlant,
lorsque la voiture fonctionne avec la pile Joe, elle n’utilise pas de carburant.
Cathode – Le pôle chargé négativement dans une batterie ou une pile à électrolyse.93
Cation – Un ion chargé positivement.
Conducteur – Un conducteur électrique est une substance qui permet à un courant électrique de s’écouler à travers
elle.
Courant – Le courant électrique est le mouvement des électrons à travers un conducteur. Il est mesuré en Ampères.
CC – Courant continu. Le type de courant électrique produit à partir d’une pile simple ou d’une batterie. (DC pour
Direct Courant en anglais.)
Diamagnétique – Une répulsion par un matériau d’un champ magnétique fort. Il essaiera de trouver son chemin
jusqu’à la partie la plus faible du champ magnétique.
DOR – Deadly Orgone Radiation. Une forme „malsaine” d’orgone dans l’atmosphère. Sous l’agitation de matériaux
qui agissent comme des irritants pour l’orgone, l’énergie finit par s’immobiliser et „meurt”.
Eau – Un oxyde d’hydrogène. C’est l’un des composants les plus communs sur terre. Elle ne conduit pas l’électricité
dans son état pur, bien qu’elle puisse être électrolysée si de faibles quantités d’acide ou d’alkali lui sont ajoutées.
Les produits en sont l’hydrogène et l’oxygène. L’eau que nous buvons n’est jamais pure.
Eau distillée – L’eau du robinet et l’eau de pluie ne sont pas pures. Elles contiennent des sels et des gaz dissous.
L’eau est souvent distillée pour augmenter sa pureté. La plupart des sels sont laissés derrière mais l’eau peut
contenir encore des gaz dissous. La présence de dioxide de carbone réduit le pH de l’eau considérablement.
Electrolyse – Lorsqu’un courant direct est passé à travers un liquide qui contient des ions (un électrolyte), des
changements chimiques se produisent aux deux électrodes.
Electrolyte – Une solution qui contient des ions.
Electron – Une particule de charge fondamentalement négative, partie d’un atome. Si un atome perd un électron, il
devient chargé positivement, c’est-à-dire un cation, ou si il regagne un électron, il devient chargé négativement,
c’est-à-dire un anion.
Elément – Une substance pure qui ne peut pas être divisée en quoi que ce soit de plus simple par des moyens
chimiques.
Etain – Un alliage de cuivre et de zinc.
Fer – L’élément métallique le plus largement employé. L’un des principaux problèmes avec le fer est qu’il rouille.
Fosse ou fond – La zone de 1 pouce au fond sous les cylindres dans une pile Joe.
Fuyant (leaky) – L’incapacité de notre pile à retenir la charge d’orgone sur une période de temps.
Germination (seeding) – La capture initiale de la force d’orgone dans notre pile.
Hydrogène – Un élément diatomique gazeux. L’atome consiste en un proton et un électron.
Isolant – Une substance qui, dans notre cas, est un pauvre conducteur à la fois d’électricité et d’orgone.
Ionisation – Le gain ou la perte d’un électron dans un atome.94
Litmus – Ceci est extrait du lichen et utilisé comme un indicateur acide-base.
Masse – Ceci est combien de matériau une substance possède. Elle est mesurée habituellement en grammes ou
kilogrammes.
Matériau magnétique – L’une des nombreuses substances qui sont fortement attirées par les aimants et peuvent
être magnétisées. Cela comprend le fer, le nickel et le cobalt et tous les alliages qui contiennent une proportion
de ces métaux.
Ménisque – La surface incurvée de l’eau dans la pile Joe, provoquée par l’action de la capillarité.
Molécule – La particule la plus petite d’un élément ou composant qui existe indépendamment.
Neutron – L’une des particules qui se trouvent dans le noyau des atomes, sauf de l’hydrogène. Il a
approximativement la même masse que le proton mais sans charge.
Noyau – La partie d’un atome où la masse est concentrée. Il contient des protons et des neutrons.
Orgone – La force de vie cosmique. Voir la section sur l’orgone dans le livre.
Oxonium (Ion) – La perte d’un électron d’un atome d’hydrogène conduit à la formation d’un ion hydrogène. C’est
un proton.
Oxygène – Un élément gazeux non-métallique. Il constitue approximativement 21% de l’atmosphère.
Paramagnétique – Un matériau doué d’une légère attraction vers la région où le champ magnétique est plus fort
est dit paramagnétique (opposé à un matériau diamagnétique).
Pétrole – Un mélange d’hydrocarbures qui est utilisé comme carburant.
pH – L’échelle de pH de 0 à 14 pour mesurer l’acidité ou l’alcalinité. Un pH de 7,0 indique la neutralité, sous 7 c’est
acide, tandis qu’au-dessus de 7 c’est alcalin. Les acides forts, comme ceux utilisés dans les batteries de voiture,
ont un pH d’environ 2 ; les alkalis forts comme l’hydroxyde de sodium ont un pH de 13. Les fruits acides
commes les fruits citrus sont au-dessus de pH 4. Les sols fertiles ont un pH d’environ 6,5 à 7,0, tandis que les
alkalis faibles comme le savon sont à 9 ou 10. Le pH d’une solution peut être mesuré en utilisant un indicateur à
large spectre, soit en solution soit comme une bande de papier. La couleur produite par l’indicateur est
comparée avec un code couleur relié à la valeur du pH. Une autre méthode est d’utiliser un pHmètre placé dans
une électrode de verre. Pour notre travail sur la pile Joe, l’indicateur à bande de papier est plus que convenable
(et bon marché).
Pile – Défini dans notre cas comme un accumulateur d’énergie d’orgone.
Pipette – Une pièce de verre utilisée pour mesurer et transférer un volume de liquide.
Polymère – Une large molécule dans laquelle un groupe d’atomes est répété.
Proton – Une particule subatomique de charge positive que l’on trouve dans le noyau de l’atome.
Recuite (annealing) – Un processus de cuisson d’un matériau pendant un temps donné à une température donnée,
suivie par un refroidissement lent. C’est une forme commune de traitement thermique.
Suspension – Lorsqu’un solide est ajouté à un liquide et que le solide ne se dissous pas dans le liquide ni ne sombre
au fond, le mélange est appelé une suspension car le solide est suspendu dans le liquide.95
Traitement thermique – La soumission de métaux et d’alliages à une cuisson et un refroidissement contrôlés après
la fabrication pour les soulager des tensions internes et améliorer les propriétés physiques.
Vinaigre – Une solution qui est faite par l’action d’une bactérie sur le vin ou le cidre. Il contient environ 4% d’acide
éthanoïque. Il est largement utilisé dans l’industrie alimentaire pour préserver les aliments.96
Bibliographie
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autres.” – Citation perse.
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La Découverte de l’orgone :
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L’Ether, Dieu et le Diable, Payot.
La Superposition cosmique, Payot.
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Table des Matières
Avis de non-responsabilité 2.
Dangers 3.
Remerciements et cérdits 4.
Liste des figures photographiques 5.
Introduction 8.
Joe
Intention
Qu’est-ce qu’une Joe Cell ?
Chapitre 1 — L’Orgone 10.
Chapitre 2 — Noms comparés de la force vitale 13.
Chapitre 3 — Polarités de l’orgone 15.
Chapitre 4 — Théorie de la conception de la pile 17.
Exigences théoriques
Fabriquer une pile théorique
Effet condensateur
Résultat final
Chapitre 5 — Matériaux et conception de la pile 20.
Liste des pièces
Choix des matériaux
Opérations d’usinage
Options
Assemblage
Chaputre 6 — Proportion Diamètre du germe/Hauteur 37.
Calcul de la hauteur de cylindre
Chapitre 7 — Le type d’eau et sa relation avec la pile 39.
Type d’eau
pH
Perfect Science Water
Notes générales
Chapitre 8 — Charger l’eau 43.
Préparation
Le processus de chargement
Note additionnelle
Commentaires finaux sur le chargement de la pile
Eau de stade 3
Divers
Chapitre 9 — La connection pile-moteur et la modification du moteur 50.
Position et montage de la pile
Connections électriques
Le tuyau pile-moteur
Emplacement du bouchon borgne
Avance à l’allumage
Modifications du moteur99
Chapitre 10 — Quand les choses vont mal 58.
Approche du problème
Tableau de recherche des défauts
L’eau
L’entretien de la pile
La construction de la pile
L’opération de chargement
L’interface pile-voiture
Les modifications de la voiture
La position géographique
Le facteur Y
Commentaire de conclusion
Chapitre 11 — Pensées diverses 70.
La Table d’Emeraude
Calculs d’angle de cône
Comment ça marche ?
Le processus d’électrolyse
Les champs rotatifs
Plus sur le pH
Le Passé
Le Présent
Le Futur
Chapitre 12 — Contributions des lecteurs 84.
De ‘Joe’ via Brett
Résultats de tests de Bruce
Glossaire 92.
Bibliographie 96.1
How to Make and Run a Joe Cell
April 27, 2006
Interview of Peter Stevens by Adrian Mutimer, to further pin down the process of how to
build, prime/charge, and then run a car on a Joe cell.
by Adrian Mutimer
Joe Cell by Peter Stevens
Introduction
What follows is a presentation of material taken from a video-interview conducted with Peter
Stevens on 23 April 2006, and reordered into categories that are important to the cell builder. It is
not a full explanation of how to make and run a Joe Cell. It relies on the reader having a
background in cell work. The quickest way to get that background is to read “The Experimenter
Guide to the Joe Cell” (here after “the Guide”). This document emphasizes, adds to, and in some
cases modifies, what you read in the Guide. Readers will also need a copy of the cell drawings, as
found on the Yahoo group Joecell2, alongside them when reading the section entitled “Cell Design”.
Electricity
In order to talk about the use of electricity in cell work “cellery” you have to get used to an
alternative way of thinking about how electricity works.
In school we were told that the negative terminal and the positive terminal of a battery delivered no
electricity at all to an open circuit and that a load was required across the battery positive and
negative terminal for electricity to flow. Well according to the view of electricity you are going to
get here that view of electricity is incomplete. The negative terminal of a battery is active when
connected to a load without any connection, or involvement at all, with the positive terminal. This
may also be true of the positive terminal, but the positive terminal is not used alone in cellery.
In what follows, the action of a negative terminal of a DC power source with no positive attached
will be referred to as “negative electricity”, When talking of negative electricity the term “load” is
also rather misleading so it will not be used again.2
Applying Electricity
In applying electricity to cell work, one general rule that comes up repeatedly is as follows. When
you want to charge water in a cell or charging vat, you first apply negative electricity, then you
attach your positive lead (and normal electrical current will flow); then you take off the positive lead
and return to negative electricity; then you (sometimes) take off the negative lead. We will call this
“the negative first and last, rule”. Please take careful note that you should not rush steps one or four
when you apply this procedure. When you put on that negative lead allow significant time to elapse
before you put on your positive lead. It is doing something!
Closely related to this procedure are two principles of the application of electricity in cellery.
The first is that the energy we are dealing with is negative in charge and is therefore attracted to
positive. It follows from this that you put your negative potentials where you want your energy to
flow from, and you put your positive potentials where you want it to flow to.
BUT that is just to get things started. You take the positive off pretty quickly because the second
principle is that the energy does not like positive electricity at all, so you want to minimize the
involvement of positive in the entire process of cellery. Timings are given below.
Power Supplies
For your electricity supply use a 12v car battery, a 12 volt battery charger that delivers preferably
linear (not pulsed) DC, or a variable DC power supply set to about 12 volts of preferably linear (not
pulsed) DC.
Magnetism
It isn’t that important that your cylinders be of very low magnetism. Magnetism does have a
negative effect on the good working of the cell, so it is preferable to have good quality (low carbon)
steel if that can be arranged easily. If that is not available, the effects of magnetism can be
overcome as follows.- Line up all your seams (assuming you are not using drawn tubes). The seams are often
the most magnetic part of the tube so by lining them up you only have one segment of the
cell that may be of reduced effectiveness. If, after doing that, you have tubes or seams
that you suspect are interfering with cell performance because of magnetism there are
three more ways to go.- Striking and sparking the cylinders. Get a 12v battery and align it with its negative
pole East and its positive terminal West. Put your negative lead on the outside of the base
of the tube. Then strike the cylinder along its seam with a hammer (along its length if
there is no seam). Then spark the inside of the tube at the top with your positive. Then
take off your negative. The striking of the hammer disrupts the alignment of the ions
Note: it is essential to spark your tubes if you have polished them.- Cylinder rotation. Take the cylinder that you think may be at fault and rotate it 90
degrees clockwise.3- Cylinder inversion. Cylinders have lengthwise alignment of magnetic-type swirl of
frequency. You want all your North poles (positives) at the top and all your South poles
(negatives) at the bottom. The way you test the cylinders in this regard is with an L-rod
which is a type of divining instrument. John Carter is the expert on this and he has put up
comprehensive instructions elsewhere. Also, check out Walter Russell on this, he
explained what he termed “twin field poles”.
An alternative way of assessing which cylinder(s) should be inverted is to get all your
cylinders standing up on your bench and crowd them together (not nested). Leave them
for minute and then place your hand on top of the entire set. You will feel heat in any
cylinder that is in opposite alignment to the rest.
Cylinder Cleaning
Only ever electro-clean the cell cylinders. Therefore, do not chemically clean them!
To do this you reverse the current along the length of each tube with the cell fully assembled.
Start with the outermost cylinder:
(i) Put your positive on the inside skin at the top of the cylinder and your negative on the
outside skin at the bottom. Leave this in place for one minute.
(ii) Put the negative on the inside skin at the top and your positive on the outside skin at the
bottom. Leave this in place for one minute
(iii) Repeat (i) above.
When you have done this to the outermost cylinder go on to next cylinder until all the cylinders
have had the treatment.
Water Cleaning and Charging
You can use water out of the tap as long as you largely clear it of the chemicals put in there by the
water company (alum, chlorine, fluorides etc.). To do this you can use a cell.
Put your tap water in the cell then do the procedure described above under “Applying Electricity”.
No electrolyte should be added.
Attach the negative of your 12-volt battery, battery charger or 12 volt DC supply at the base of the
cell and leave it on for between 2 and 20 minutes. Then, leaving the negative in place, put the
positive at the top of the cell’s outer cylinder for between 2 and 3 minutes. Then take off the
positive, and leave the negative on for up to an hour.
Pour the water into a glass container or plastic bucket. Repeat.
After 24 hours, the chemicals in the water in the bucket will have become solids; some will have
dropped to the bottom and some will have risen to the top, depending on what charge they acquired
in the process. Pour off the solids at the top, then pour the middle (clean) water into your cell, then
throw away the stuff in the bottom.4
Although you can use pulsed DC for this, flat DC works faster.
If you do the same process as above with a charging vat, you will wind up with a good deal more
water and no need to fiddle about with repeating your charge procedure. In passing, and while we
are talking about charging vats, those cones that you see in The Experimenters Guide to the Joe Cell
come from the kind of milk/cream separators used in dairies.
Cylinder Spacers
These should be of natural rubber without additives. Some Buna-N O-ring material works but some
O-ring material is mineral based, or contains iron in the colouring which will short out the cell.
If the spacers are of tubular rubber they should be set with the tunnels of the tubes all pointing
inwards towards the centre of the cell when viewed from above. (see image below). It is important
to get this detail right to prevent shorting.
Figure showing radial arrangement of spacers.
Notice: some of the other detail in this image does not conform to the text.
The insulating capacity of the spacers is further enhanced by adding a dab of white Sikaflex 291,
Marine Grade, to the ends of each spacer.5
Spacer at the base of the cylinder set.
This should be of alabaster or the same plastic used in kitchen cutting boards.
Cell Design
The following is expressed as a set of deviations from the design found in The Experimenters’
Guide to the Joe Cell.
Bill’s drawings, as found on joecell2, are right. Have them by you as you read this. Note that any
deviations in this text override the drawings.
As your central cathode, a 1-inch tube is too narrow, allowing the energy insufficient space to
resonate. Use a 2-inch tube as your cathode.
Apply your negative charge to the outside skin of the 2 inch tube by means of a plinth or cathode
hub-platform that sits at the base of the 2 inch cylinder (see images below).
Figure showing hub from the bottom6
Figure showing hub from the top. Observe the penetrating holes to permit water flow.
Readers will recognize that this instruction is contradictory to the Guide which has the negative
charge delivered to the inside skin of the central tube by means of a press fitted bolt. It also
contradicts Joe’s statements in the transcripts available in joecellfreeenergydevice Yahoo!Group.
The argument behind this way of proceeding is that the energy seeks positive charge, and you want
that energy in the middle of the cell. By putting the negative on the outside skin of the central tube
you cause an attractive positive charge on the inside skin, and the energy migrates to it.
In order to have water flow in your 2 inch cathode cylinder you must drill three holes in the plinth or
cathode hub-platform.
You can use a flange top or cone top as you wish. because cone tops are harder to get and cost more,
a flange is indicated.
Cell Placement
This can be anywhere convenient but it must be at least four inches clear of the high-tension leads
and electrical gear (distributor, etc.), and also four inches from the radiator, air-conditioning hoses
and fuel lines.7
Cell Fastening
Use an embracing clip or bracket; note that it must be VERY well insulated. The cell shorts out to
the car very easily and it does so INVISIBLY. In order to prevent shorting, the cell must be
insulated from the bracket and any other metal nearby. The preferred insulators are 3 layers of
double laminated Hessian sacking, (also known as burlap). This material is wrapped around the cell.
Then place a set of three wooden dowels equidistant around the circumference of the cell and brace
the entire assembly in your bracket. The effect of the dowels is to create an air gap between the cell
and the bracket that further reduces the likelihood of the energy shorting to ground.
Note: natural rubber will not work as an insulator in this application. You need the plant fibers and
wood.
Flashing the Cell
Do this as a matter of course before engaging the cell. However, please note, it can be used as a
procedure to normalize a cell if you should fail at some point to follow the negative first and last
rule.
Connect your negative lead to the base of the cell and spark the positive off the top of the cell with
the terminal of your positive lead, four times.
Sparking the crankshaft pulley
So you have your cell all made and lined up correctly; you have your good water inside it; you have
your cell fastened properly in the car; it and your aluminium conduction pipe are all clear of the
electrics. The next step is to spark the crankshaft.
The way to do that is to start the engine, then get the negative of your car battery attached to your
cell. Then take the positive lead [of the car battery] and arc it to the pulley (the exposed bit where
you view the timing) four times. Flash a few sparks along the aluminium conduction pipe for about
3-4 seconds. This makes the engine positive and the energy will go there, and stay there. If this is
not done the energy will escape to ground by jumping across to whatever is nearby in the engine
compartment or it will get absorbed into, or blocked by, gasket material. This jumping across and
blocking is invisible so you will not know it is happening. Further research is required to
understand this phenomenon.
WARNING : THIS PROCEDURE IS DANGEROUS! WHEN DOING THIS KEEP WELL
CLEAR OF ALL THE MOVING PARTS SUCH AS THE FAN BELT ETC.8
Conduction Pipe
The pipe should be of aluminium.NB. Copper has the wrong charge. Like the cell itself, it must be
at least four inches clear of all the electrical gear in the car. On the end of the conduction pipe, put a
snug-fitting sleeve of clear plastic tubing about 4 inches long.
You will begin to condition the engine by having the conduction tube fitted to the vacuum port of
the carburetor. To prevent the cell from shorting out dead, leave a 3/4-inch gap between the end of
the conduction pipe and the vacuum port. This provides a spark gap to the engine. As Joe states,
“The negative Earth outside the Joe cell and the tube are both positively charged, thereby holding
potential. The frequencies are able to travel through any steel quickly and effectively”
Connection of the Conduction Pipe and Adjustment of Timing
AAA Connect the conduction pipe to the vacuum port of the carburetor intake manifold which is
under the carburetor air intake. Remembering to leave that 3/4″ (20mm) spark gap!
Connect the positive 12v DC lead to the outside of the cell container. Start the engine and it will
draw the gas/energy in. Allow this to go on for three minutes. Then, remove the positive lead from
the cell and electrically connect it to a long-handled screw driver. Arc the crank with the screwdriver
by just touching the moving outside rim on the crank.
Sparks should fly as you zap; do it for just 1 second, equivalent to 4 sparks. Keep clear of fan belts
and other moving parts while you do this. Stop the engine. Disconnect the fuel line and block it with
a suitable bolt. If your fuel pump is electrically driven, it will obviously have to be disabled.
WARNING : THIS PROCEDURE IS DANGEROUS! WHEN DOING THIS KEEP YOUR
HANDS AND THE SCREWDRIVER WELL CLEAR OF ALL THE MOVING PARTS
SUCH AS THE FAN BELT ETC.
Note 1 : LEAVE ATTACHED ONLY THE NEGATIVE LEAD.
Note 2 : Don’t put an electrical shutoff valve in the fuel line
Now loosen the bolt securing the distributor place, put a reference mark at its current position and
advance the timing 10 degrees. The engine should still run on the fuel that is left in the carburetor.
The engine will now start to cough. Advance the distributor to about 30 degrees from where it
started. This will equate to 60 degrees on the crank. Have an assistant turn the key and rev the
engine for you. As the engine continues to cough keep moving the distributor around until the
running of the engine becomes smooth. You will notice a gasping sound and the engine will slow,
nearly to a stop, then it will pick up again, then slow down. It is wavelike, something like breathing.
Don’t touch the cell once you are running. Fine tune the timing. Then fasten your seat belt.
BBB The next step is to attach your conduction pipe to a bolt (sometimes called a “blind lug”) set
into the engine head. The bolt should be located in the valley of the V of a V form engine, if that is
what you have. But in most situations you will have to attach to a bolt placed wherever you can.
The engine should work right off with only minor changes to timing required.
You are running without petrol!9
Note: Joe no longer attaches the conduction tube to the vacuum inlet of the carburetor connection at
any time, but it is suggested here as a way to start the conditioning of the engine. Once the engine is
operating well by means of the cell’s attachment through the carburetor, proceed to use the inset bolt
as the pathway to the engine.
Tips and Points of Interest, in no particular order- If you are near HT overhead power lines the cell will stop. You overcome this by using a 1.5
volt battery. The negative terminal is to be run to the cathode cylinder, and the positive to the
cell container. This just gives the water potential, and then it holds that potential.- TIG weld using only inert gas not an oxidising gas.
- If you are losing cell-water either (a) the foam from the cell is getting sucked into the engine
(obviously this can only happen when you are in phase of being connected to the carburetor).
Alternatively your cell is shorting out and drawing in air- Cells often change the weather if you are charging and using them outside
- Bill got threatened because he was successful, because he was excited and talked a lot and
convincingly, because he made a video, and because he was not publicly known. Who
exactly did it to him it is not known. His local Police have been informed.- Stability. Unstable cells are leaky cells. There is no trick to cell stability other than ensuring
no leaks, no shorts.- If you roll your own tubes, stitch weld only at the top, the bottom, and midway in the
cylinder. The gap between the un-welded edges is where a lot of the gas and the energy
comes away from.- Scum in your cell caused by leaving normal DC electricity on for too long and can be cured
by temporarily reverse charging the cell. Empty the cell and refill with good water. First,
connect negative on the outside of the cell and positive on to the middle cylinder for two to
three minutes. Then switch your terminals back over for one minute. Empty the container out
and all the scum goes with it.- You can have fun sparking your HT lead into your test cell. See what happens!
- Play your cell music and notes. It may like F sharp!
- Joe’s first conversion was of a Rover 3500-V6, then a Leyland P76 1992.
- Joe can make cells start by willpower!
- You are a cell. You can start yourself!
- Everyone reckons they can improve on the cell construction and implementation. It seems
that we all want to be like Frank and say “I did it my way”. That is recipe for a lot of work
and very probably no results, yeah but Lots of Fun!
- * *10
*
Notes to the reader from Adrian
- All the information you find here was provided by Peter Stevens. My role in the production
of this document has been to ask the questions, take down the answers, reorder the material,
and format it. There are a few places where the information has been quoted verbatim
because I did not fully understand it. I am not an expert in cell work so please do not ask me
questions arising from what you read here. Many thanks.- The reference to the Manual in this text was my idea. I put it in to allow the person who is
new to cell-work and the engine compartment to understand what is being said and thereby
make it accessible to a wider audience. This does not imply that the author of the manual
approves the substance of this document, neither does it imply that Peter Stevens approves of
the substance of the Manual. There are significant differences between the two documents
and these are the subject of research and debate. There are good reasons to believe that both
implementations of the cell can work; however, cell builders are strongly encouraged not
to mix design details from the Manual with what you find here until the research yields
results.
*
- Joe Cell Free Energy Device – Researching the Joe Cell Phenomena You have reached a truly extraordinary group. It is a place where people come to learn how to run their car without petrol, or any other conventional fuel, by means of device known as a Joe Cell. Incredible, but true! The device, though apparently simple, is hard to build and commission. The reasons are: (i) build must be compliant with Joe’s design. The design is well known to the group and replication is within the ability of any determined person (ii) materials selection is critical but the means to getting this right are incomplete (iii) alignment of the cell is important but the means to getting this right are incomplete (iv) the device uses a form of energy that is strongly influenced by the energy field of the operator („Y factor”). The single technical means to overcoming a problematic Y-factor of which the group is aware is cumbersome and beyond the discipline of the majority of experimenters These four account for the low success rate. Since the inception of this group in 2001 we have had only eight members that have succeeded in running a car solely by means of the cell and who have reported this to the group; two are still with us. There may be others who have succeeded but not reported – this is unknown. There have been many more experimenters who have succeeded in improving their fuel economy using „shandy mode”. The cost of a complete set-up excluding a suitable car is usually between zero and USD1000. The price of suitable cars varies dramatically and we suggest that experimenters research this before proceeding. Most experimenters take more than 300 man-hours across several months to complete their first proper shot – many experimenters take longer than that. Please join knowing the above, but please also look at the prize. If you succeed you will have done something truly extraordinary, something that will change, not just your car, but maybe the rest of your life.**
Dave,
I did a similar experiment by winding a Lakhovsky coil around a Joe cell. It gave me some rather wild bubble
action at times, but at other times it appeared to have no effect.
But I didn’t apply any power to the coils, simple shorted the ends together.
Bernie
Coil 2
Bifillar Wind
Wrapped on another plastic pop bottle, which Keshe is particularly fond of using. Two coils of wire
one brown one grey, wrapped the same direction and perfectly interleaved. Every other wire up the
coil is a different color. One layer.
According to Tesla, if I wire the two coils in series they will outperform the first coil I made and
generate higher flux to the nail, or the same flux with less current from the power supply. I wonder
if anyone can explain that for me?
Ok testing of dual wound coil
Nail seems to charge up a little better – Two each number 10 nails galvanized. Right at the tips they
are observable magnets with a field attraction.
Compass is deflecting a good 8″ out this time so there is a field intensity gain here for the compass
anyway.
Sliding the heavy iron pipe inside the coil, defects the compass more on the outside of the coil, a
notable increase in the flux at the compass. During this response I see no change in power supply
current. This one was not expected from the single wound coil testing and appears to be a difference
that James might be intrested in???
Copper aluminum – no change in the compass angle to mention.
Water – same result as last time no effect to the compass from flux density moving around. Also I
am noting there is no change to the miniscus curve on the edges of the water where they touch the
plastic, on both sides these bend down to the plastic as they did with the other coil also. EM on oroff no change.
Scalar Cancelling – DC current
Ok now I am going to reverse one of my coils so I produce a cancelling field, that is two magnets
that are in attraction and overlapping, still wiring them in series. One will have North pole up and
one will have north pole down. In theory the magnetic field should compress inwards and not radiate
out so far from the wires if the two fluxes act to attract one another as magnets would.I am hard pressed to locate any place in the field where a compass will turn away from N/S earth
alignment, even right on the wires. It’s as if the field is no longer present in the air for the compass to
interact with. 5.5 amps gone into nothing but a magnetic free „wire heater.” The wire does warm up
just as the other coil did.
Water / copper / aluminum all give no aparent indication there is an interaction of any sort present
with the compass.
I must also note one subtle effect. When I lower iron into the coil, I feel a vibration in my head. It
seems to permiate a long distance from the experiment. This feels like power supply ripple to me,
but is an all encompassing vibration around me everywhere. This is my pineal sense kicking in for
the first time in all these tests.
An AC ripple passing into a scalar cancelling coil, is causing iron to radiate a vibration which feels
like it is all around me. Now this is the sort of sensation I am familiar with from a Joe Cell. If my
power supply was better designed I would not likely have noticed that.
OK so if I were to wind one of these scalar cancelling coils around my Joe Cell, we can see it does
not really effect the magnetic field in any real measurable way. It should not magnetize any of the
parts in the cell, but would it be a way to set up vibrations in the cell???
Dave L
Hello Dave,
Based on data for your air core coil: Length of 1.75 inches, diameter of 2.75 inches, 36 turns, and
5.5 amps, magnetic flux density in the center of the coil is something like .005597 Tesla, which at
the most converts to 55.9 Gauss (360 flux lines per square inch). This is about 112 times stronger
than the earth’s field.
„If copper and air have such a low permeability to flux, then how come they can charge up the nail
at 1 – 1/2″ away? And then the nail can only attract another nail at 1/8″ away with it’s 200k stronger
flux flows?”
Vacuum and air have basically the same permeability value, which is a constant of .0000022619
Weber’s per square meter. Iron having a high permeability rating doesn’t mean it will have a stronger
flux flow if the field strength is not available. Iron can’t increase the number of lines available from
the coil, it only has the ability to pass more lines than air, by concentrating what lines are available.
The nails concentrate lines of force to a smaller area, giving that area more pole strength than the
same size area in air would have.
„For that matter if copper is not permeable to magnetic flux, then how can it really produce a
magnetic field at all, with greater field reach then a magnet?”
Copper has very near the same permeability as air. When magnetic flux generated by a current
carrying copper conductor leaves the conductor, it sees the same reluctance in the air as it did while
inside the conductor. Copper is as porous to magnetic flux as air is, and if each has the same area of
exposure to flux, both will pass the same density, but iron of equal area has less reluctance and can
pass more flux by concentrating, or compressing the lines nearer together. By having a reduced area
containing more lines, that area creates stronger poles for the nails to attract, than air of the same
area would.Iron cores attract flux into the core that would normally not be there if the core was air or copper. As
an example: If a bar magnet is placed with a copper bar of equal size on each side of the magnet, at
equal distance from the bar magnet, flux will be divided equally on each side of the magnet between
its north and south poles. If one of the copper bars is replaced with an iron bar of equal size, the iron
bar will then attract basically all flux from both sides of the magnet, leaving little for the copper bar
to pass. If the iron bar is then replaced with another iron bar having half the diameter of the original,
the copper then begins to receive a greater portion of the flux.
Based on the 2.75 inch diameter of your coil, and the diameter of the nails, I don’t believe you
mentioned the nail size, the air within the coil’s core is still receiving a large portion of the available
flux, which limits flux available to the small diameter nails. This probably results in the 1/8 inch
attraction between the nails.
Thanks,
James Goss
James,
OK so I turn on my coil at 5.5 amps, set up a compass at the edge of the field where it just starts to
turn the compass 1/2 way off the earths field, about 5 to 6 inches away from the top edge of the coil.
I lower down into the coil a 2.5″ diameter iron pipe, and the compass shows about 1/2 less
deflection, and not more deflection. The power supply current does not appear to change as the
source of the energy when I do this. The field flux has been shifted to moving through the iron, and
away from the compass exactly as you describe.
The iron caused the magnetic field size to change geometrically. Intensity is shared by all iron
entering the field, and takes the path of least resistance through the more massive iron piece, and
less through the compass’s small iron piece.
So as I add more iron to the core I would expect the field bubble outside the core to shrink, or
compress inwards, having less reach in physical space. So there is an effect between the inside and
the outside of the coil where iron is concerned. This field is not constant as it permiates space.
The [power] of the field has moved inside the coil in this case. Yet no matter where I place copper
around the coil, the power does not concentrate any one place over another place. So copper is not
shifting or bending or concentrating the lines of flux at all.
Just to proved this to myself, I stuck a heavy copper pipe down inside the coil and the compass does
not move even a small fraction of it’s angle. The magnetic flux is not bent or concentrated more to
the inside of the coil.
So whatever copper is doing with the EM field, it is very much different then what iron is doing with
it. The difference between these two metals with very similiar weight and density is amazing, and is
aparently the core of our electronics technology.
If I then place a copper pipe inside the coil with an iron one inside that, the presence of the copper
will have no effect on the magnetic field bubble of the coil, with DC on the coil, but the iron one
will cause the entire bubble to shrink and move more into the iron core.
The copper pipe is invisible to the magnetic flux.OK I have now just filled the pop bottle with water. I was watching the compass and noticed there
was no motion of the needle. The magnetic flux of the coil was not shifted to the center at all, and as
far as the compass is concerned, there was no change in the magnetic field from this higher density
liquid being added to fill the inside of the coil and replacing the air. If that water does have iron in it,
it is not acting like a magnet at all at this level of experiment.
The water seems to be as invisible to flux as the copper was when placed inside the coil with DC
current of 5.5 amps on it. If we try to follow the [power] of the EM anyway, it would seem the water
is not concentrating it at all as to magnetic field flux.I can now see why the Joe Cell would be so perplexing to an alternator engineer! LOL!
One last experiment with my coil tonight, I have a 2 pound chunk of pure bismuth, and lowering that
now down into the coil, I also get no flux response from the compass. It would seem the most
massive or dense stable element we have, has no effect on magnetic flux lines from a coil with DC
on it.
Wow! Dave L
If copper and air have such a low permiability to flux, then how come they can charge up the nail at
1 – 1/2″ away? And then the nail can only attract another nail at 1/8″ away with it’s 200k stronger
flux flows?
For that matter if copper is not permiable to magnetic flux, then how can it really produce a
magnetic field at all, with greater field reach then a magnet?
„With a single coil where all turns are wound in the same direction there’s no cancellation of
the field. You’re describing the direction for current flowing through the coil turns [electric?],
which is not the same direction as the flux [magnetic]. With the nail in the center of the coil,
relative to the current, current is changing directions, but relative to the coil and magnetic
field, current is not changing direction.”
Ok so the direction of current flow, or electron motion, is not the direction of flux, but is 90 degrees
different. The current flow in the copper creates a field that will move through the air 1 – 1/2″ to hit
the iron in the nail and cause it to become a magnet with poles now at 90 degrees to this first electric
field. The second field from the iron now will not flow through the copper because it’s permiability
is too low. So the magnetic flux is not flowing through the copper windings down the sides of the
iron core, its flowing through the core at 90 degrees to the copper windings.
So the coil is not creating the magnetic flux the iron nail is, from the coils electric flux. The coil is
producing an electric flux which can move through copper and air just fine to reach the nail. That
flux would be reduced electrically, rather then magnetically, since it is at 90 degrees to the magnetic
flux then it must be an electric field.
So it appears to me current through copper wire is an electric field in motion [spin], and yet this field
does not become magnetic until it hits a magnetic element with a high permiability that turns it’s
field [power] to 90 degrees. Without the magnetic element, there is no power in the magnetic field,
only electric power in the electric field.So for magnetic coils, you would want the thinnest insulation possible, and not to be using anyinsulation with a high dielectric constant. Best guess.
Wilbert Smith
Magnetic field drops off in space as the inverse distance cubed
[double the distance 1/8 the field density or power]
Electric field drops off in space as the inverse distance squared
[double the distance 1/4 the power]
Tempic field drops off in space as the inverse distance
[double the distance 1/2 the power]
Dave L
I think its becuse the copper structure is very different at the crystal/atomic level.
Here is a good clip on crystals, healing, orgone and transmutation.
I paid for this a few years ago but see it is now on utube.
In the last 10 min he tells of a method to cure all cancers.
Long and dry so maybe download and split up your viewings.
Cancelling Vectors
So the electricity moving in my coil, goes around it, and if I look from outside, I would see current
moving one way on the near side of the turns, and the other way in the far side of the turns, and if
they were about the same distance from me they would cancel out completely, for a small diameter
coil, or as I move further from my coil using a nail for detection. If I now move my nail inside the
coil, all the current in the wire is going around me in one direction if I look outwards. Yet the two
sides are still moving opposite directions. So why do they not cancel on the inside too?
If I lower a nail inside the coil it becomes a magnet, if I lower a copper wire inside it does not
become a magnet, what is the difference ?
Why does the field cancel for the copper but not cancel for the iron? Both have electrons.
Dave L
Hello Dave,
Based on data for your air core coil: Length of 1.75 inches, diameter of 2.75 inches, 36 turns, and
5.5 amps, magnetic flux density in the center of the coil is something like .005597 Tesla, which at
the most converts to 55.9 Gauss (360 flux lines per square inch). This is about 112 times stronger
than the earth’s field.”If copper and air have such a low permeability to flux, then how come they can charge up the nail
at 1 – 1/2″ away? And then the nail can only attract another nail at 1/8″ away with it’s 200k stronger
flux flows?”
Vacuum and air have basically the same permeability value, which is a constant of .0000022619
Weber’s per square meter. Iron having a high permeability rating doesn’t mean it will have a stronger
flux flow if the field strength is not available. Iron can’t increase the number of lines available from
the coil, it only has the ability to pass more lines than air, by concentrating what lines are available.
The nails concentrate lines of force to a smaller area, giving that area more pole strength than the
same size area in air would have.
„For that matter if copper is not permeable to magnetic flux, then how can it really produce a
magnetic field at all, with greater field reach then a magnet?”
Copper has very near the same permeability as air. When magnetic flux generated by a current
carrying copper conductor leaves the conductor, it sees the same reluctance in the air as it did while
inside the conductor. Copper is as porous to magnetic flux as air is, and if each has the same area of
exposure to flux, both will pass the same density, but iron of equal area has less reluctance and can
pass more flux by concentrating, or compressing the lines nearer together. By having a reduced area
containing more lines, that area creates stronger poles for the nails to attract, than air of the same
area would.
Iron cores attract flux into the core that would normally not be there if the core was air or copper. As
an example: If a bar magnet is placed with a copper bar of equal size on each side of the magnet, at
equal distance from the bar magnet, flux will be divided equally on each side of the magnet between
its north and south poles. If one of the copper bars is replaced with an iron bar of equal size, the iron
bar will then attract basically all flux from both sides of the magnet, leaving little for the copper bar
to pass. If the iron bar is then replaced with another iron bar having half the diameter of the original,
the copper then begins to receive a greater portion of the flux.
Based on the 2.75 inch diameter of your coil, and the diameter of the nails, I don’t believe you
mentioned the nail size, the air within the coil’s core is still receiving a large portion of the available
flux, which limits flux available to the small diameter nails. This probably results in the 1/8 inch
attraction between the nails.
Thanks,
James Goss
James,
OK so I turn on my coil at 5.5 amps, set up a compass at the edge of the field where it just starts to
turn the compass 1/2 way off the earths field, about 5 to 6 inches away from the top edge of the coil.
I lower down into the coil a 2.5″ diameter iron pipe, and the compass shows about 1/2 less
deflection, and not more deflection. The power supply current does not appear to change as the
source of the energy when I do this. The field flux has been shifted to moving through the iron, and
away from the compass exactly as you describe.
The iron caused the magnetic field size to change geometrically. Intensity is shared by all iron
entering the field, and takes the path of least resistance through the more massive iron piece, and
less through the compass’s small iron piece.So as I add more iron to the core I would expect the field bubble outside the core to shrink, or
compress inwards, having less reach in physical space. So there is an effect between the inside and
the outside of the coil where iron is concerned. This field is not constant as it permiates space.
The [power] of the field has moved inside the coil in this case. Yet no matter where I place copper
around the coil, the power does not concentrate any one place over another place. So copper is not
shifting or bending or concentrating the lines of flux at all.
Just to proved this to myself, I stuck a heavy copper pipe down inside the coil and the compass does
not move even a small fraction of it’s angle. The magnetic flux is not bent or concentrated more to
the inside of the coil.
So whatever copper is doing with the EM field, it is very much different then what iron is doing with
it.
The difference between these two metals with very similiar weight and density is amazing, and is
aparently the core of our electronics technology.
If I then place a copper pipe inside the coil with an iron one inside that, the presence of the copper
will have no effect on the magnetic field bubble of the coil, with DC on the coil, but the iron one
will cause the entire bubble to shrink and move more into the iron core.The copper pipe is invisible to the magnetic flux.
OK I have now just filled the pop bottle with water. I was watching the compass and noticed there
was no motion of the needle. The magnetic flux of the coil was not shifted to the center at all, and as
far as the compass is concerned, there was no change in the magnetic field from this higher density
liquid being added to fill the inside of the coil and replacing the air. If that water does have iron in it,
it is not acting like a magnet at all at this level of experiment.
The water seems to be as invisible to flux as the copper was when placed inside the coil with DC
current of 5.5 amps on it. If we try to follow the [power] of the EM anyway, it would seem the water
is not concentrating it at all as to magnetic field flux.I can now see why the Joe Cell would be so perplexing to an alternator engineer! LOL!
One last experiment with my coil tonight, I have a 2 pound chunk of pure bismuth, and lowering that
now down into the coil, I also get no flux response from the compass.
It would seem the most massive or dense stable element we have, has no effect on magnetic flux
lines from a coil with DC on it.
Wow!
Dave L
***Dielectric
Next I want to grasp what will happen to my coil if I slow down light velocity through it by adding
one layer of electrical tape, a dielectric.
I wrap one layer of the tape over my coil. Now energize the coil to discover I now have to amp the
current up to about 10 amps to get the nails to magnetize inside the coil. Wow I did not expect such
a large difference! I only added one layer of tape to the outside, the inside is already plastic.
So the dielectric tape will interfere with the field running between the copper coil and the iron nail.
Although if I place the tape between the two nails, it does not seem to alter the field strength of the
attraction between them.
The tape is then reactive to the coppers EM field, but not to the irons EM field.
I can now see that what may appear to be very little differences in construction can change the
outcome greatly as to what you are trying to accomplish with EM.
I also see that the field off the nail is very different from the field off the coil, both in it’s effectivereach and in what it will pass through. The nail is not weakened by electrical tape, but the coil is.
Summary
What they call an electric field, in copper wire, can be altered using dielectrics
What they call a magnetic field, in iron, can not be altered using dielectrics
Further, the flux from the electric field from copper can pass through itself reacting with iron which
has ability to bend or block the flux. Copper does not bend or block the flux, iron does bend the flux
around itself and turning itself into a magnet.
So when the electric flux from the coil hits the iron, it only penetrates it skin deep where it is then
bent around the outer shell and then spins opposite direction on both sides of the nail to complete a
circle, which does not cancel on the back side. It does not reach through to the back side of the nail
to cancel itself out moving the opposite direction on that side, as it does with copper.
When the flux from the coil hits a copper wire inside the field, it does move all the way through the
wire and hitting both front and back, then cancels itself out and does not create a magnetic field in
the copper wire.
I assume what I am observing is the basic difference between an electric field and a magnetic field.
The coils field can be blocked between the nail and the copper wire turns with a dielectric and this
will lower the field intensity hitting the nail, thus it does not appear to be made the same way as the
magnetic field comming out of the nail, which cannot be blocked in this way.
Thus I can see the discoverers of this would differentiate between these two fields, the electric and
the magnetic. Dave L
***The Joe Cell and Hydrogen Gas
September 12, 2004
—– Original Message —–
From: Marcel Dignard
To: Editor@educate-yourself.org
Sent: Sunday, September 12, 2004 5:35 PM
Subject: Joe Cell / Hydrogen Gas
I have read your article on the Joe Cell Orgone Accumulator where you describe the three
different gases.
The third gas, the one that burns with the loudest explosion may be nascent hydrogen aka as
monatomic hydrogen H1.
Monatomic hydrogen was used for high temperature welding until the 1930’s when it was replaced
by acetylene gas.
The high temperatures obtained by hydrogen welding was not due to normal combustion but by
taking H2 gas and converting it to H1.
An electrical spark in a current of pure H2 converts it to H1 gas which is then reconverted into H2 as
it leaves the welding nozzle.
It is believed that the energy required to convert H2 into H1 is much lower than the energy released
when H1 recombines into H2.
A good explanation of that process see Occult Ether Physics by William Lynne.
This little book gives an interesting overview of Tesla’s ether theories and the suppression of
technology that taps into the ZPE.
It is possible that orgone energy (which I believe shares some similarity with electricity) turns H2
into H1 and when ignited releases a tremendous „implosion” (as H1 occupies more room than H2).
Regards
Marcel
*
- *Joe Cell Skeptic Encounters Donkey-in Mirror!
March 18, 2004
—– Original Message —–
From: Susan & Peter Eliot
To: John Cross
Cc: editorial@discover.com ; Editor@educate-yourself.org
Sent: Monday, March 15, 2004 12:52 PM
Subject: Joe and his x thing energy cell
RE: Joe energy cell.
Thanks for passing along information from Click here: The Joe Energy Cell by Ken Adachi I
certainly hope someone at one of the scientific journals or gee-whiz magazines takes the time to
investigate and report on this type of thing. Perhaps I’ll make a request of just that kind of review
and comment from one of my subscriptions, Discover Magazine. Unlike magazines like Science or
Scientific American, which generally tax my short-term-reader style of consuming information, I
think Discover might reach me.
A couple of points relevant to the article on the Joe Energy Cell:
Information in the media stream, (including the article by Ken Adachi ), that will attract meaningful
attention must not contain in its body any denigrating personal references to the character of those
who are skeptical. Such content is an immediate put-off to those who would likely do the most to
advance the cause of genuine development and utilization of such a claim of alternative energy
technology.
Another difficulty is the unapologetically anonymous nature of the origin of the primary work.
Those who wish to remain apart from the impact of notoriety can interpose intermediaries or
mechanisms to buffer ridicule or invasive attention easily enough without resorting to „mysteryman” tactics. Secretiveness raises red flags immediately and serves only to put many of the public,
scientific and industrial community on the defensive at best. More commonly, I suspect those who
would generate concurring testimony are induced to dismiss claims from secretive or mysterious
sources as being „crack-pot” or not worth the time and energy it takes to ferret out the truth behind a
claim.
The above two points reveal my approach to the human condition as an organic life form with
altruistic capabilities on a physical planet: We are here and can do what we want, but it doesn’t seem
to further our situation if we choose to interact in such a way that we set up obstacles in each others’
way which demand some of us to suspend an effort toward intelligent investigation, shared
experience and communication. Indeed, to introduce a new idea in such a counterproductive manner,
regardless of the facts behind the claim or idea, serves to demonstrate and further other capabilities
of the human condition such as a desire for attention, self-delusion, greed, or a wish for power and
control over others.
Peter Eliot
—– Original Message —–From: Editor
To: Susan & Peter Eliot
Sent: Monday, March 15, 2004 4:08 PM
Subject: Re: Joe and his x thing energy cell
Re: Why send this to me?
To read your lofty opinions on a subject of which you wallow in naiveté?
Ken Adachi
—– Original Message —–
From: Susan & Peter Eliot
To: Editor
Sent: Thursday, March 18, 2004 1:29 PM
Subject: Re: Joe and his x thing energy cell
Dear Ken Adachi,
Gee – how pleasant and magnanimous…”naiveté”? Show me more, so I have something to work
with, like peer review references and further reading / links or discussions which define such things
as quantifying ways to measure negative attitude that makes the Joe cell fail to work!!!
YOU’RE SURE TO GAIN FAVOR with such an attitude!
—– Original Message —–
From: Editor
To: Susan & Peter Eliot
Sent: Thursday, March 18, 2004 4:20 PM
Subject: Re: Joe and his x thing energy cell
Hello Peter,
I’m not interested in gaining your favor.
You’re a naive ass if you think that people like Joe can promote, discuss, advertise, patent, publish,
’peer review’ (what a joke!!), debate, present, or manufacture a free energy device without
encountering an immediate and real threat to their life, their freedom, their ability to earn money,
and/or jeopardize their family’s safety.
Does the name Stanley A. Meyers of Ohio hold any meaning for you?
While Stanely was an extremely bright guy, he made the fatal error of clinging to belief in the utter
rubbish and foolsihness that you espouse. It cost him his life. And it cost the world an opportunity to
retrofit their car for about $600 and run it with only water-any type of water, from distilled to sea
water. Not only cars, but ships, planes, rocket engines, in fact anything that runs with a motor. Oh
yea, his process allowed an unlimited extraction of free electricity from the water.How about Edwin Gray? Ever heard of him? He tried to do it 'your way’ too. He was murdered in
Riverside county in the early 1990’s after presenting an auto angine that ran solely on Radiant
energy back in 1973. If he wasn’t blocked, those engines would have been on the road by 1975
If you weren’t such a self assured and wholly arrogant ass, I would tell you the source of the 'attitude
and orgone functionality ’ reference to which you allude. Well, OK. I’ll give you a little hint: W.R.
Saionara, Ken
—– Original Message —–
From: Susan & Peter Eliot
To: Editor
Sent: Thursday, March 18, 2004 7:26 PM
Subject: Re: Joe and his x thing energy cell
Greetings, Ken
Well, we certainly got off on the wrong feet, didn’t we? I’m certainly not depending on gaining your
favor, either. But in the interest of sharing information and exchange of knowledge about the Joe
Energy Cell, lets get past generating the kind of „highly negative emotions or personality or
character”, which could discharge Energy Cells! I admit that I haven’t heard of neither Stanley
Meyers or Edwin Gray. Did Stanley have anything to do with the gizmo to attach to / magnetize the
fuel line in a car? I heard the fellow who came up with that simple device had some trouble getting
started, but now see the rig readily available through Harbor Freight Tools. I concur that those who
buck the current of mass culture and power interests attract far too many unwelcome responses.
My immediate question, after being unpleasantly surprised by your first terse reply to my
observations, is one you may wish to contemplate – Why do my observations on the effect of your
characterization of others or the impact of secretiveness create such a hot-button for you? We don’t
have to like each other’s opinions. I doubt my opinions on these specific issues has relevance to the
operation of a Joe Energy Cell, which I trust is the more important fact to establish. I was relating
the impact on me of your derogatory approach and secretiveness in general. Please at least work
with me. As you are the only one I, as yet, know of that has any connection with this technology, it
is incumbent upon me to make an effort to keep the communication line open.
Thank you for referencing the text, The Joe Phenomenon by Barry Hilton, the videos and other
materials in your article. I’d like to know about their availability, so I can get other input. If you can
help to make the work of Joe more easy to follow and understand, rather than name-calling me along
with others who fail to recognize this knowledge, I would appreciate it. Could you provide a
bibliography and name sources for copies of the book, experimenter’s guide, videos and other
literature you mentioned as well as ways to contact the authors, (other than Joe)?
Of specific interest to me:
Are there working drawings, construction diagrams, photographs or stills from videos which show
variants of the Joe Energy Cell which have been known to work? Have Joe Energy Cells been
adapted to engines with fuel injection rather than carburetion?
In the process of polishing some of the parts, what is used to do the polishing and what degree of
smoothness is necessary as a minimum goal? (I know smoothness is quite relative – some new
materials being developed for ceramic finishes, when compared under electron microscope, make
common glazes look like the crates of the moon.)Have you any updates on the acquisition / creation of correct kind of water? What about proper
containment, storage, transport and „shelf life” of water before it is to be used ?
To maintain a cell with a „boost” of 12 volt battery electricity, what amperage needs to be applied? I
suspect the amount of current available for one minute must be important. If you can help, thanks!
Peter Eliot
—– Original Message —–
From: Editor
To: Susan & Peter Eliot
Sent: Tuesday, March 23, 2004 11:10 AM
Subject: Re: Joe and his x thing energy cell
Hello Peter,
Since you decided to respond in a positive and open minded fashion, I’ll address your questions in a
similar vein. I apologize for being so harsh with you in my previous e-mails, but I had assumed that
you were a skeptic of the usual 'debunking’ variety, a breed with whom I have little patience (I’ll
explain a bit later why I feel that way). However, I also had another motive for pricking you: I
wanted to see how you would react. If you came back with expletives and anger, it would have
confirmed my suspicions, but since you came back with sincere inquiry, I’m willing to invest the
time to explain my position.
Let’s begin by examining your first e-mail, which consisted of four paragraphs. While your first
paragraph expressed a positive interest for more investigation into the Joe cell, your remaining three
paragraphs were devoted to skepticism and criticism of my article. If I was a person who knew
nothing about the Joe Cell, or of ether physics, or the topic of free energy, and had only read your email, then I think I would come to the conclusion that the Ken Adachi article wasn’t worth reading
as it was overly laden with 'denigrating personal references…of those who are skeptical’ and
’secretiveness’ among other charges (By the way, most of the statements that you made in these three
paragraphs are filled with implied assumptions and presumptions -undoubtedly inculcated from your
school days- which are flat-out mistaken; your reverence for skepticism is one of them).
Here is your second paragraph:
Information in the media stream, (including the article by Ken Adachi ), that will attract meaningful
attention must not contain in its body any denigrating personal references to the character of those
who are skeptical. Such content is an immediate put-off to those who would likely do the most to
advance the cause of genuine development and utilization of such a claim of alternative energy
technology.
If we lived in a balanced world where science and scientists, academic institutions, the government,
etc. were TRULY interested in the pursuit of truth and the advancement of knowledge to benefit
humanity, then there would be an appropriate place for intelligent skepticism, or better yet, a view
towards prudent and thorough inquiry and investigation. But that’s not the sort of world we live in.
We live in a country where the free pursuit of scientific knowledge, especially in schools, has been
undermined, subverted, and channeled into a narrow band of accepted 'norms’ centered on the
Einstein model of the universe. This was not an accidental development. It was intentionally set into
motion and ushered into being by the Fabian Society of England beginning near the turn of the 19th
and 20th centuries. By the middle of the 20th century, the Fabianists had infiltrated and co-opted
every major institution of higher learning in America to promote only the Einsteinian mechanical,
chemical view of a dead universe- devoid of spirit and the Aether.Whenever we touch on the topic of science in America (or the western world for that matter),
skepticism is „King”. The vast majority of 'professionals’ of science, whether they work in a
laboratory or teach in the classroom, or pontificate from their easy chairs, will automatically exhibit
a knee jerk critical response to new inventions, new information, or new ideas and will
automatically accuse the inventor of deceit or quackery unless that inventor can demonstrate 'double
blind’, 'reproducible’, laboratory environment 'proof’ employing the skeptic’s instrumentation, the
skeptic’s accepted theories, the skeptic’s „laws” of science, the 'peer review’ of similar minded
skeptics, and their world view paradigms. Anyone who dares not genuflect deeply before any of
these altars, will soon encounter a wall of scorn from Establishment science. That’s not science
Peter, that’s religion.
You are 180 degrees out of phase with reality when you say that my analysis of the destructive role
of skeptics is a 'an immediate put-off to those who would likely do the most to advance the cause of
genuine development…’. Nonsense. Skeptics have never caused the advancement of anything- except
maybe the girth of their bloated egos.
The truth is just the opposite: conventional science skeptics have done more harm than any group to
destroy the enthusiasm and initiative of real inventors and genuine scientists who stumbled upon
something of value in their basement workshops only to be met with establishment jeers when he
attempts to explain his invention in order to secure development funding.
The handful of non establishment inventors who do manage to secure funding in the beginning at
least, will soon have the money rug (or their life) pulled out from under them when the Big Boys get
wind of the project. This has happened repeatedly throughout the 20th century: Edwin Gray,
Antoine Priore, Stanley Meyers, Viktor Schauberger, Thomas Moray, John Hutchinson, Philo
Farnsworth, Harry Perrigo, John Searle, Nikola Tesla, …the list goes on and on and on.
New inventions which can clearly demonstrate a new phenomena of energy (like the Joe cell)
should be greeted with wonder and delight, not skepticism or derision simply because the
establishment knuckleheads (or the inventor!) cannot adequately explain the theory of its operation.
The theory of why it works is not important when compared to the fact that the damn thing works!!!
Why anyone in their right mind would stop dead in their tracks and tie themselves in knots arguing
about the theory of operation-when the device is free wheeling right there on the bench, happy as a
clam- is beyond me. Yet that’s exactly what happens when you allow the sacred cow of skepticism
to dominate the parade and just sit there in the middle of the road.
In your third paragraph, you said:
Another difficulty is the unapologetically anonymous nature of the origin of the primary work. Those
who wish to remain apart from the impact of notoriety can interpose intermediaries or mechanisms
to buffer ridicule or invasive attention easily enough without resorting to „mystery-man” tactics.
Secretiveness raises red flags immediately and serves only to put many of the public, scientific and
industrial community on the defensive at best. More commonly, I suspect those who would generate
concurring testimony are induced to dismiss claims from secretive or mysterious sources as being
„crack-pot” or not worth the time and energy it takes to ferret out the truth behind a claim.
Here is where your naivety really takes center stage. It’s hard to imagine that an adult living in the
year 2004 could actually say such things with a straight face, but apparently you believe it, so I’ll tell
you 'The Rest of the Story’.The government has its surveillance tentacles imbedded in every square inch of this planet. It is not
possible to produce a significant anomalous energy output or build a device that extracts substantial
free energy from the ether or build an antigravity device, or make anything that would revolutionize
our present dependence on electric companies, oil companies, etc. and avoid government detection.
Your notion that such an inventor can 'easily’ avoid 'invasive attention’ is precious beyond words.
Government or Illuminati goons will usually visit the intrepid inventor long before the public hears
of his work and have a little 'talk’ with him. The 'talk’ goes something like this:
„Check with us first before you go public with anything. If we approve, you can do something on a
small scale just as long as the technology is not easy to copy and the application is limited. If you
have something that we want, we will take it from you , we will not pay you for it, and we will
forbid you from talking about it, unless you want to be imprisoned (or killed) for breach of national
security.”
In earlier decades in America, the Illuminati might send in ringers posing as collaborators or
assistants and sabotage the equipment beyond repair (Moray), or get their government stooges to put
the inventor in jail on fraud charges for 'deceiving’ investors with a car that 'couldn’t possibly run on
(radiant) free electricity’ when it was conveniently arranged for newspaper reporters (and
photographers) to be present when Harry Perrigo was 'exposed’ while demonstrating his car for
investors in the early 1930’s.
One of the 'reporters’ tore the backing off the front seat of the car while Perrigo went into his house
to get something and exposed a bank of 3 or 4 small, lead acid batteries. The batteries weren’t big
enough to power an electric bicycle, let alone propel a car at 80 miles an hour for hours on end (as
demonstrated by Perrigo), yet this was all the 'proof’ that that DA needed to convict poor old Harry.
One can only imagine the genuine look of astonishment on Perrigo’s face when these planted
batteries were 'discovered’.
In the case of Joe, he never sought publicity or profit from his invention. The 5.5 hours of video tape
showing Joe in the shop and on the road using the Joe cell, talking about how it works, etc. were
shot by amateurs. The Joe video tapes cover a a period of five years, from 1993 to 1997. The man
never attempted to sell anything, not even the video tapes. Joe’s humility and altruism, and the fact
that he lived in sparsely populated Australia, is probably why the tapes were able to get into
circulation before the Illuminati goons had a chance to pay Joe the obligatory 'visit’ (which did occur
shortly after the video tapes went public in 1998). Following the 'visit’, Joe went into hiding for
nearly a year. He was worried that his family would be harmed. The goons had stripped his shop
bare to the walls: tools, cells, equipment, etc… everything.
You last paragrapgh states:
The above two points reveal my approach to the human condition as an organic life form with
altruistic capabilities on a physical planet: We are here and can do what we want, but it doesn’t
seem to further our situation if we choose to interact in such a way that we set up obstacles in each
others’ way which demand some of us to suspend an effort toward intelligent investigation, shared
experience and communication. Indeed, to introduce a new idea in such a counterproductive
manner, regardless of the facts behind the claim or idea, serves to demonstrate and further other
capabilities of the human condition such as a desire for attention, self-delusion, greed, or a wish for
power and control over others.
Here again, you’re spinning your wheels. These are high minded words that sounds nice, but they
have nothing to do with reality. You don’t seem to realize who the real players are behind the
scenes. You talk about obstacles that 'we’ set up to thwart communication, etc. How foolish can you
be?You’ve accepted the cover story that everything is on the up and up; that scientific investigation is
open and honest, and that anyone who develops a free energy device or any revolutionary invention
for that matter is going to be able to patent it, bring it to market, promote it, etc. That’s not reality.
First, the military/industrial complex and the so called secret government have been hoarding (and
keeping secret from the public) all of the real inventions of merit for the best part of the 20th
century. They simply steal the technology from inventors who are not under their control. It the guy
balks too much, he’s either intimidated, or abducted and placed under mind control or he’s killed.
Any patent application that is submitted to the US Patent Office is FIRST reviewed by the military
and if they see anything that even borders on advanced technology, they will take it from you and
threaten you not to talk about it or even work on it.
Some bright scientists/inventors are willing to work for them, some are co-opted, and some are
placed under mind control. The government has been seeking out bright children for decades and
have often programmed those kids under mind control to serve their agenda. This is the real purpose
behind the personality assessment tests that were developed in the late 40’s and early 50’s. Every
SAT score for every child in this nation is reviewed by government computers and those with
advanced minds are monitored and and targeted for induction into government service.
When you add on the advanced technology that was obtained from extraterrestrials through treaty
arrangements, the secret government and their Illuminati pals have technologies that are roughly 100
years in advance of anything that the public is being told about. The world could have been enjoying
unlimited free electricity and free telephone communications since 1910 with the building of Tesla’s
Magnifying Transmitter at Wardencliff on Long Island. The system worked perfectly. All of the
experimental bugs were solved in the 1890’s when Tesla spent a year at Colorado Springs, Colorado.
We could have been free of oil dependence even before we became oil dependent. The government
has equipment that can reverse any disease condition, can reverse aging, can neutralize any
radioactive substance, can travel in antigravity spaceships, and can transport a man in time or space
to any location in the universe or on earth. We have particle beam weapons that are powerful enough
to blow a hole clear through a small moon! And that’s just the tip of the iceberg.
I hope you can now understand why I accused you of wallowing in naivety in my initial response to
you. The only way that someone can make free energy inventions known to the public, and allow
the public to take advantage of the knowledge, is to GIVE AWAY the information freely and try to
keep your identity secret so the goons won’t come after you. If you try to patent it and market it, you
will be taken down. A recent casualty was the Lutec free energy device out of New Zealand. There
was a big publicity splash a couple of years ago, radio shows etc., and then NOTHING. And that’s
what always happens whenever naive people cling to the illusions they’ve been conditioned to
believe – NOTHING.
I’ll send another e-mail with info about the Joe cell.
Regards, Ken1
Joe Cell Truck Builder Threatened, Destroys Plans
by Sterling D. Allan
Pure Energy Systems News April 13, 2006
After announcing that he had successfully built a truck that runs on Joe Cell technology,
drawing energy from water and Orgone, Bill Williams said he was approached by two men
who demanded that he stop his research, threatening him with dire consequences if he
didn’t. Others are keeping it alive.
Joe Cell
USA — A couple of weeks ago, Bill Williams told a discussion list that he successfully ran his truck
on a device known as the Joe Cell. The power was far greater than the regular combustion engine —
and the energy was free.
The Joe Cell is said to draw on Orgone energy. The fairly simple device uses electrically charged
water as the „gate” or medium through which the aetheric energy is drawn from the surroundings
and transferred to the automobile engine.
Bill had posted images and rough descriptions, and was in process of disclosing in greater detail
how he accomplished this, when he was confronted last week by two unidentified individuals who
told him to cease all of his alternative energy work or there would be dire consequences.
On April 11, Bill gave the following account of what happened just a few days after announcing his
success.
„I was on my way home Thursday last week [April 6, 2006] and was about 3 miles from the ferry
project. I stopped to check the post connection point on the Cell. I was standing in front of my truck,
and this late model 2005 or 2006 Ford Explorer pulled up and parked diagonally in front of my
truck.
„The driver got out of the rig and walked around in front of their rig and approached me. At about
the same time, the passenger opened his door.
„The driver stated that they wanted me to stop working on all forms of alternative energy. He also
stated that we know everything about me, my family, and all my projects past and present.2
„At about that time the passenger reached and held up a file that was about 2 or so inches thick. He
opened it up and showed me telephone transcripts, emails, messages from the groups that I had
belonged to.
„They knew where my kids worked, the times they are at work; also my wife’s working hours, my
grandkids’ school, etc. They knew everything.
„The driver said that if I did not stop working on this (he then opened up the left side of his jacket
and showed his weapon that was holstered) that there would be other consequences.
„He also stated that he wanted me to post that I was no longer working in this field and to destroy all
my work, i.e. Cells, Drawings, Lab Journals, everything!
„At that point he walked around and got into the rig. I shut the hood and got the hell out of there.
They followed me for about 2 miles and then must have turned off somewhere.”
After a few days of contemplation, Bill decided to abide by the demands of those who threatened
him. He destroyed the cell and all data and documentation and disabled the website on which he
had posted plans. Four days after that incident, Bill wrote the following message to the group:
„I thought I was strong but when illness to the family comes into play, I have failed. I am truly sorry.
I will not be working in any form of alternative energy field anymore. […]
„I destroyed my device tonight along with my written data and lab notes as per specked out.”
Bill’s Description of his Vehicle’s Performance
Before deciding to abide by the demands of those who threatened him, Bill gave the following
report on April 6, 2006. (Ref.)
Hello Group
Report on the 70-mile test drive
Will all I can say is „who needs an Indy car when you can drive and old FORD” – WOW!!!! The
first five-miles after leaving the home was wild. I had to be extremely careful on how I pressed the
accelerator. I gingerly crept up to 45 MPH and that was about moving the pedal maybe a half-inch.
It the throttle response was very crisp or touchy. With about a 1/8″ of movement the next thing I
knew I was booking at close to 80 mph. If I lifted off ever so slightly on the throttle and it felt like I
was putting the brakes on and the speed would drop down to 30 mph or so. „Very erratic”. If I barely
even touch or bumped the pedal it felt like I pushed the nitrous button. WOW !!!
As stated the first 5 miles were wild and things started to change. The engine started to buck or
surge with very large rpm changes and literally threw me against my seat belt. It got so bad I just
took my foot completely off the pedal and rode the brakes to stop the truck. The truck left skid
marks on the pavement every time the engine surged in rpm. Well anyway I managed to get it
stopped and shut it off with the ignition key, thank God.3
I retarded the timing and turned the gasoline back on and crossed my fingers and hit the key and the
engine took right off revving to may be 4000 rpm and then gradually decreased to 700 rpm. I took a
deep breath and put it into drive and the truck responded close to normal again. […]
Comments – The current setup is not happening, I could not drive the truck in city driving, because I
would be ramming the vehicles ahead of me and smoking the tires at every stop light. Still more
work to do, and that is going to start this weekend. Converting the engine back to a 2-barrel carb
(hell who needs a 4 barrel with this setup) so to gain more room to setup the blind fitting
arrangement. Going to machine a flat Aluminium plate to set between the carb and the manifold.
The adapter will be cut with a section on the front side of the carb projecting out and have a solid
Aluminium stub. The stub will be where the Aluminium transfer tube will attach via a short section
of hose. Will update the group after the adapter and conversion is in place and some basic testing
has been accomplished. […]
Regards Bill
Others Picking up Where Bill Williams Left Off
A few days ago, close associates who were incensed at what had be-fallen him, re-opened the Joe’s
Cell 2 Yahoogroups site, which Bill had been ordered to disable, and are now making sure as many
interested people as possible have access to all relevant details.
The JoesCell2 group is for images. A discussion list has been formed at JoeCellFreeEnergyDevice,
also a Yahoo!Group.
An index page for this project has been created at PESWiki. It includes a posting of Blueprints.
Others Have Succeeded
Bill is not the only one to have achieved this accomplishment of running his vehicle on a Joe
Cell. John Carter, from Australia, estimates that there have been at least a dozen people who have
achieved this — running their vehicle on a Joe Cell.
Carter said he took a ride the other day in a Ford Econovan that Peter Stephens converted to run on a
Joe Cell. He said the car „rocketed up the hill” it had so much power.
A good number of people now know how to do this, and the plans are being made available in
diverse places.
It would appear that Pandora’s box has been opened on this, never to be shut.
Controversial History
The Joe Cell has a checkered past. Carter says that this is because a lot of people built it, but didn’t
know how to do it right, so there were a lot of failures in these replication attempts. There are
unusual properties that cause people to stumble because they want to do things in a traditional
manner.4
The technology is not new, but stretches back to as early as 1834, with a more recent stint through
New Zealand, before it took root in Australia, and then spread worldwide.
Author’s Personal Experience with a Joe Cell
I have personally witnessed a modified Joe Cell technology in action. It is an awesome sight to
behold. I wrote up that account in February, 2003. It was not being used to run cars, but was being
used to produce magnetically charged water for health benefits.
Another Visit from the MIB
From: „John Carter”
To: JoesCell2@yahoogroups.com
Sent: Friday, June 02, 2006 7:42 PM
Subject: [JoesCell2] Return of the MIB’s
Hi Guys.
Spoke to Bill Williams this morning after he told Peter yesterday that he had another „visit”.
He says that the day before yesterday, 2 clean cut white males wearing sport coats and slacks, came
into his workshop on his property while he was machining a part in his lathe, which incidentally was
not a part for the Joe Cell but was for his normal daily work. They asked for Bill Williams and told
him that he was not supposed to be working on any more cells. However they knew who he was! So,
Bill grabbed his shotgun and told them to „get the fuck out of his property.”
He said these were different guys from the first two. Bill just wanted them out of there as he lives
out of town and the immediate neighbors were at work so he would have been unable to call for
assistance if he held them for any length of time and they became difficult. Consequently by the
time he had shut down the lathe and gone outside they and any vehicle they were in, had gone.
He has reported the incident to the local police and they are looking into it. […]
Bill is fine and sends his regards to all members.
Cheers,
John Carter
SOURCES
x John Carter email correspondence with Bill Williams.
x Phone conversation with John Carter, April 13, 2006.1
Water is a Portal
David Wilcock, gets out there a bit on the conscious evolution of mankind. However he has
done a lot of good research I think as to the importance of using water.
One of the things that I continually see with JCs is that experiments, do not come out the
same, like on an assembly line. This is because we are opening something that is a greater
field then what man is used to observing, one that we are also inside, and with this opening
our limits will change.
Recently Bernie and I were trying to duplicate one of my water cell experiments, and mine
was active with magnetic fields all over the place, and spining up calipers, snapping a
compass around, which his was not doing much at all. We were ever careful to share the
technical parts, but maybe we missed someting in the „Intention” realm. I really don’t know.
All I do know is that sometimes things do not work as we were taught in school. There is a
„life field” that is reactive to us in some way. When you connect with it, things start to work
differently for you.
David Wilcock Revealed to the world the specifics of „project looking glass” in recent videos,
you can find them on you tube. How it was back engineered from the pineal area of the mind.
The two things of importance, set up a barrel of water at the center, and then set up an EM
field around it. The very model of the Joe Cell at much larger scale. The water conditioned
correctly then slips over into the time/space side of Dewey Larsons physics, and they are then
able to attempt to cypher „timelines.” Discovering that there are dimensions in time as well as
dimensions in space, with fixed points of measurement. Suposedly they discovered right now
[12-21-2012] is one of those locations in time of some importance.
One thing looking back I have realized about these water cells with voltage gradiants, my
belief system has changed. What I can do with the water cell has also changed. The changes
are in me, but the manifestations are in the cell. An amazing biofeedback device.
The first year I had a Joe Cell up and playing with it, I believed the water from the tap was
full of iron and dissolved impurities. My cell for the first year cranked out massive deposits
of brown red scum, which I finally rolled up in balls to discover it could stick to a magnet.
There are only three elements that will do that, Iron nickel and cobalt. It was a reddish ball
that turned black as I continued to roll it up, and only iron could fit what I was manifesting. I
inspected the tubes for irregularities to see if the iron was leeching out of the tubes, and it was
not. Certainly not enough to create the little 1/8 inch balls of iron I was collecting. If you keep
the SS under water it does not dissintegrate or rust unless oxygen can get to it.
The cell as a device setting there conditioning the water, without producing more gas can go
into a state of inflow, where it begins to pull inwards, what we know as gravity, is the only
other field that seems to operate like this.2
As to my mental outlook and belief, I finally got to the point of taking tap water, pouring it
into the cell, tapping the voltage on the tubes, and have the water go totally clear and clean in
a very short time. No deposits of iron anywhere to be found.
I attest this to my belief, only that it is easy to cause from using intention as you set it all up.
Having done it before, I now feel it is rather easy. Not remembering it took me a year and a
half to get to this point, where I could simply „believe” it does work that easy, and then it
does. One must take that seriously however for it to happen.
Water set up in this way with concentric fields of EM on it, must open some kind of conscious
portal, such that it will then do whatever you believe it will do, to the extent your belief
system fits actual reality. This portal allows us to experiment directly with „time space” and a
new set of limits are discovered.
I have proven this to myself by „reversing effects.”
Again reading about the collection of water at the lid of the cells, brought this all back in a
flash. Just tell it to stop! LOL! [My inner voice screaning at me.] Just tell it what you want it
to do. LOL! Then listen to it, as it will teach you how to accomplish that.
No one may believe that explination, until they see someone like Joe actually doing it. Then it
becomes some magical experience to be studied for half a lifetime. And yet for Joe, he wouldsay, you can do it too, I am nothing special, ok?
David Wilcock, has also offered ample experiments where it is shown that wherever we place
our focus intensly, photons will start to appear, and in remote viewing experiments in the
orient, they actually measured them in a dark room that was being scanned by remote viewers.
Where the remote viewing began to become accurate, massive numbers of photons started to
appear in the sealed room.
He calls it the „Source Field.” The same word [Source] I had come up with independently
some years prior, showing that there is a connection between everyone doing this sort of
research and experiment. That „something”, is the Source Field itself, and it is intelligent.
The two slit experiments showed clearly that if we observe light, or if we look for it to appear
in a place, it begins to manifest as photons, springing here from the „wave side” of reality to
the „particle side” of reality. Physics tells us there is a particle aspect and a wave aspect to all
matter and energy. Both states are present and they interact with one another, and our
consciousness also interacts with this.
The manifesting principle, look for that thing to appear, and there it will appear, if you have
access to both sides of the reality.
Water is one element, we know, can open this portal between the two sides of our reality.
————————–3
Set the water up correctly and then tell it to clean itself, it will then clean itself and clear the
portal for access.
Directly related to the extent you „feel” it possible to do this, and clear and clean your own
feelings about the water, and in this process clear and clean your own feelings about yourself.
Is your perception of yourself something that is clean and pure and clear, and when it is, the
water will do exactly what you ask it to.
This process of working consciously with the water, is really all about, working with a
reflection of yourself. What Adrian was offering us, from experience, and not to be fearful of
that challenge, to change yourself. If you hit something that scares you in the perception, there
are lots of us out here now to bounce your fears off of. Once the fears die down, then the real
advance in Cell work can come in. The emotional clearing and cleaning, changing ourperception of ourselves, is not an easy road, but well worth it.
The water in the cell, gives you a direct visual of your self, as a manifesting power in the
physical unisverse. On first view, it may be pretty much filled with gunk. After a couple
years, it may finally become clear, and with more time you may then choose what you do with
it, rather then be at the mercy of whatever randomly happens to you from the outer world
influence. During this time of experiment, the outer world will try to add to the gunk in your
water, and that is part of finding your inner power. Other people comming into the room may
overpower it and cause it to change. You can change it back, and overpower them right back
with the positive goals and the knowing experience…flipping their field in the process,
because it has far more power then one person with a scattered negative attitude, and little
ability to focus there photons seriously.
When the inner power grows to enough strenth it can then start to clean up the outer world as
well.
Some people are already tapping into thier ability to clean up large masses of water on the
planet. I know that Joe has found ways, so has John Hutcheson, and I have also found ways to
clean water in a smaller area then them, but the same principle is there for all of us once these
perceptions reach into our belief system.
Water is a portal.
It is one way to access the Source Field and begin to interact directly with it.
————————————–4
For this reason, water cell work becomes personal at certain phases of the effort, and also very
spritual. It is possible to attempt to ignor this, and classify that as Y factor, then try to work
around it, I certianly have. Sooner or later, you may find the wall, where no more progress
will happen until you accept it and change your belief systems in some way. Your perceptions
of physics are then altered in this process.
This was one of the things I found most irritating about JC reports, and the various people
with such different methods, all claiming their way was the correct way. I wanted to think it
worked the way I though it worked too. Now I find it absolutly the best thing about this enegy
work. It is a perfect reflection of us, as individuals, and as mankind.
I am not saying that our waters and oceans are polluted because we believe they are. I am
saying there are ways to clean and clear them up that can work very quickly, and some of us
humans are just touching on these possibilities, and begining to observe them first hand.
I have come to see the whole planet as a giant Joe Cell, with it’s various layers of charged
boundaries. A huge conscious machine with ample water layers to manifest whatever we
begin to reflect into it. If every human on the planet could tap into the water and upper
ionasphere layers, we could have the oceans and rivers cleaned up in a couple days, if that is
the image of ourselves also. The electric field is already present between them! If I can do this
in a small JC container, then imagine what all of us could do with a similiar effort for the
planet. To me this is the value of continuing Joe Cell research and efforts. More of our young
people must begin to see this for themselves.
If a child can get water going clean in a joe cell, you know they have cleaned up their own
conscious act in this world. These cells have value to humanity, far beyond what I would have
expected going in.
If on the other hand your goals are to produce money for yourself, which has no real value to
nature, your efforts may be blocked at every step. Not that we have to believe money is evil,
only that it cannot be the major goal in this process of altering ourselves. I believe this is why
the corporate world, with it’s major goal to increase their money, has not been able to make
any real use of this technology. The whole concept of growing money does not really fit intothe reality of „manifesting for ourselves.”
Mentally visualizing the platonic form vibration structures, and setting them up around your
cell, can increase how fast this coupling works, but in reality I believe we are getting to the
point of connecting directly with the atoms in the water. Focusing our attention at great
enough level to actually couple in. To breach through the wall where we stop believing we are
connecting, and then just do it at these smaller dimensions.
Alex has told us his perception of the bubbles in the water getting smaller and smaller, as the
water is conditioned more and more. Stage 1, 2, 3, and 4 water. And I would offer, what is
happening with this is that Alex’s ability to have „perceptions” at smaller and smaller levels is
the actual event of importance, in that with electrolisis, the gas is originating at the molecular
levels of water as it splits anyway, and there really is no way to make smaller bubbles then
that, only bigger ones. Alex method then, like all science, working backwards, to finally
discover the reality, before we began the study, was already present.5
If I tap the tubes three times with a low voltage, I have set up enough bubbles in the water
already to consciously open the water portal. This however is not the begining belief system!
LOL! It is what I now believe, and also subject to be altered with more time and experience.
For me 5 volts is plenty, and three taps on each tube. My evidence personally, the water will
go clean and clear, the cell will maintain the voltage over time. Can this work for everyone
out there, probably not. It is only my desire that it would. In short order the cell is ready to put
in a car and start playing with interia directly. Tap water to stage 4 cell water in an hour or so.
The only limits are conscious ones. These limits in size or dimension, are breeched using
inner mental projection of the platonic form vibrational structures.
According to Arno, Moshe and others who have met in groups remotely, we can meet
consciously and assist others to bring up cells much faster, anywhere in the world. As a group
effort, all our minds focused to assist another person bringing up a cell, can greatly increase
the photons in there area also, giving a boost to their efforts. I know they have done this at
least two times anyway, and some of us have done similiar in smaller groups before that.
When ever you ask for assistance, others may respond, with their time and focus, and increase
your own conscious effort to comprehend what is happening with these cells. We are all
connected in the same Source Field, and in this there is tremendous strength to share our
knowledge.
If you are going to all the work to set up a serious experiment with a cell, you can ask for
others to assist during the active times, and I am certain many will volunteer to be consciously
present with you during this activation process, by getting our times coordinated.
Sincerely,Dave L
Hello David and all,
That was a very interesting and significant report. Here are a few thoughts I have in reference
to why our experiments do not always have the same results, based on the physical makeup of
cells and power supplies.
It seems most all cell experimenters are separated by great distances here in the US and
around the world. Commonality between our experiment outcomes would occur more often if
everyone had identical components. One of the few possible things we might have in common
is the electrical supply for charging our cells. However, this can only be true if we all use
batteries of the same type, such as auto batteries. Twelve volts of flat line DC will basically
have the same characteristics no matter where on earth we find it.
On the other hand, DC supplies operated from an AC line vary greatly in their output makeup,
as to what exactly is coming out of the supply. Not only does filtering and regulation vary
among various supplies, but the AC itself coming into a DC supply is carrying a multitude of
various signals in addition to the 50 or 60 Hz signal we actually need.6
I do know this to be true: While experimenting with a cell’s unit charge, I found that no matter
what type DC bench power supply is being used to charge a cell; it has a specific affect on the
cell, whereas charging with a battery does not. A DC supply operating from the AC line will
not allow a cell to proceed with its normal cycle of progression for unit charge buildup.
Normally when an earth isolated bench cell is being charged from a battery, the cell develops
its natural positive unit charge which is determined by the evaporation rate of the cell, as well
as the cell’s earth ground reference.
When a cell is supplied with DC from a supply using the 120 volt AC line as its source, an
earth ground reference is passed through the supply to the cell. It doesn’t matter if the negative
DC output lead from the supply is or is not connected to the chassis ground on the supply; an
earth ground reference still finds the cell. Removing the third wire equipment ground in the
power cord, or using an isolation transformer between the AC line and power supply, doesn’t
stop an earth ground reference from reaching the cell.
Because the 120 volt AC line has its neutral side earth grounded, a direct earth ground is
being sent to the supply. Once in the supply, no matter what the insulation resistance is
between the transformer primary and secondary windings, the earth ground reference will stop
a cell’s unit charge buildup. In other words, the evaporation cycle still removes electrons from
the cell water, but now the earth ground reference replaces them at almost the same rate. This
prevents the cell’s unit charge value from reaching more than a few volts positive.
Since I determined a Joe cell has the ability to actually develop its own positive unit charge,
I’ve always said I don’t know one way or the other if unit charge can influence a cell’s
operation. I’m beginning to believe now that it possibly can, here’s how: If positive unit
charge is allowed to accumulate, as it increases in value it makes it difficult for electrons in
the surface water molecules to escape during the evaporation process. I believe this would be
equivalent to increasing the bond strength of surface molecules, which in turn increasessurface tension of the cell water.
When it comes to common results in our cell experiments, cell water has got to be the one
attribute having the most influence, followed by cylinder composition. I dare say that out of
all cells being tested around the world, no two have the same water properties, unless they
both derived water from the same source. I’m always amazed when I read our water quality
report from our supplier of household water. There are over one hundred common organic and
inorganic chemicals and contaminants tested for, and that’s only the ones required for testing.
Radiological contaminants also show up, such as Beta and photon emitters, Radium, Gross
Alpha, and Uranium. God only knows what else is contained in the water. I can understand
why this is at least part of the reason our experiments have contrasting results.
Thanks,
James Goss
—————————–7
Perceptions
This is really most amazing.
James and I, are reflecting the two archetypal different „perceptual aspects” of JC
experiment.
James is taking Alex initial position of perception, and I am taking Joes position of
perception, and trying to use some vocabulary out there to get through the mental walls,
probably with about the same success as Joe. LOL!
James, „God only knows what is in the local water”
Dave „Everything you can imagine is in there, because it is a manifesting portal, it can bring
through any wave and cause it to become a particle” „If you want clean water, send all that
stuff away, back to the time space side and unmanifest it, using inflow mode on your cell to
make the water go clean and clear”
The scientific mind desires to isolate and grasp one slice of the pie at a time, by removing it
from the world for study, and yet believing all is a result of the „outer world” acting on it.
James insulates his cell with styrofoam, even jacks his car up on insulating pads to isolate it
from the earth, while Dave is tweaking all the tubes to line up their geometric nodal points
and connect with the earth grid. To use the earth to assist in opening the vibrational portal of
the water.
James is using kvolt power supplies to experiment with the water and every other power unit
ever built by man, and Dave is wiring up a 9v battery with a hi res pot on it to tweak the
vibrational pressure to keep a cell charging over night as the engine is still, usually with less
then 5 volts dc. Shown in the photos of the pinto, on the first JC convention at Bernies! LOL!
Then somone like Tony comes along and says if you do not want an element to manifest in
your cell then just „erase it.” If Tony’s energy is present when you do the experiment, then it
just erases!
At that point this scientist must begin to bow to the reality that consciousness in JC work
trumps science very often. But that is not a simple conclusion for me, or an easy one to
accept. If I had never been in contact with people like Tony, Arno, and Bernie, I would never
have experienced that aspect of the joe cell work. Joe takes a silver spoon of water and turns it
into alcohol with three taps from any old transformer, and lights it off on the table and it burns
with a blue flame until it all gone!
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As a scientist however,
I do have another way that may shoot the „unit charge” on a cell way up, using any ac power
supply you happen to have around. James might be intrested in this method, as it seems a bit
easier then using insulations, and isolations.
You can create an insulating boundary using vibration.
Use of a scalar cancelling coil. From experiment with copper spheres and coils, I realized I
could produce very high charges off the top of the counter running coils.
Cancellation of the magnetic field in a scalar cancelling coil, causes the „tension” to move
into the electrical field at some distance above the coil form, where the magnetic field would
have formed but was canceled. Two rotating fields of AC that oppose in magnetic polarity.
The result is a gravity active energy form that stratifies into layers.
When a scalar cancelling coil is vibrated up, having a diamagnetic core inside it, there are
layers of tension produced around it in the air at specific distances. This is why gravity creates
different charges at different distances away from it’s center point, very similiar to a Joe Cells
energy rings maintaining small voltages on each tube which are different, and why as you rise
in the atmosphere the charge changes right on up to the two VanAllen belts where it manifests
differently in each one.
Using a bismuth or copper core in a coil is supposed to short out all the energy, and yet I built
a large spherical transformer on a copper ball, and powered a light bulb through it just fine.
There was no heat generated in the copper of the sphere in the core, and it passed much higher
frequencies then an iron core transformer would have, although you have to extract the power
differently, geometrically.
One of the things I was able to then observe, is that if I wound two coils at the equator and set
them up in cancelling phase, I could still extract the energy by placing two coils at 90 degree
positions and wiring them in series. The original wave not only could power things, but also
it’s waveshape was preserved and not turned into a sine wave as happens with iron core
transformers. A scalar cancelling input setup, powering a light bulb on it’s output
configuration side. The energy was not cancelled, just because the magnetic field was
cancelled. The energy was not lost it only had to be reassembled correctly using 90 degree
coils in series to extract it. It had to be extracted 3 dimensionally, and not 2 dimensionally.
And when it was, the high frequency components of the waves were then preserved also and
not lost in the transformer. This was due to the „tension” being preserved, rather then the
magnetic field being preserved. The higher the tension the easier for the complex wave
patterns to pass though it.
The other thing of note is that setting a coil on the top of the sphere, generated very high
voltage spikes that seems to be charging the air up with „tension” at different layers above it.
Where the magnetic pole should have been on the coil, with two canceling AC waves
crossing, I only got the voltage present and it shot much higher then the voltages on the coils
driving this. This creates stratfied layers of isolation, where voltages can soar at certain
distances away.9
Suggesting if this is explored correctly then setting a Joe Cell up there over a scalar coil at the
correct height could create your isolation and as well deliver a voltage charge to the cell it
could then hold onto better without discharging. Also it will pass through any insulator you
happen to place in between.
A scalar cancelling coil, can be tunned such that it draws no current from the power supply,
by tweaking the distance of the wires such that a zero current node appears at the power
supply. It can also be tunned such that the voltage at the power supply is greater then the
power supply is putting out, causing a back flow of energy into the power supply which can
fry stuff. So there is a lot of tweaking things to get every thing set up right on this sort of
effort. This is where the reflection of the power in the vibrational component can feed back
into the source side of the power and be used to either destroy or support the source of the
rotational AC field in the copper mass of the wire. The feedback loop is a vibrational
component, and I believe, here in lies the secret to self sustaining power systems.
In TPU set ups often the DC power recieved so much back energy, it burned out, soaring way
over the normal output voltage of the supply.
What I am trying to relate is that the „tension” of an AC Em energy can come from the
voltage and the current, but it can then operate seperately from them, as it’s own field force,
and be routed around to do different things, because it’s velocity through the wire is pi/2 times
faster then the EM velocity is, and it’s power source is the mass vibration of the copper in the
circuit.
It is the „tension” that powers things in the real world, not the voltage or the current.
Anyway, exploring the effects of scalar cancelling coils, can allow you to observe this tension
energy, that can come loose from the EM system and flow like the Joe Cell energy also,
following a different set of rules, that conforms to mass resonance, fractals, and gravity. You
tune it by positioning the connections, and 1/4 inch can totally change the outcome.
Another aspect of spearating the tension energy from the EM generation point, is the
conscious aspect of this form of energy, and can not be avoided if you start playing with it,
mentally. Because your mind will be in mental mode where this happens, you are set up, to
begin connecting with it consciously and emotionally.
The power produced, does not have to manifest with a magnetic field present, or a high
voltage present. I believe this is one of the major hurdles to comprehension of the alternateenergy systems, that playing with scalar cancelling coils can show you.
EM Experiment
I did an experiment with a butterfly coil, nails and paper clips. You can actually use any form
of copper coil you want but make the diameter very large. It does not have to be very high,
only large enough to explore the center area of the coil for intensity. Mine was about 8 ” to
10″ across.10
Send some DC current through the windings of the coil, as much as the wire can handle
without getting too hot. Now position your nails at all points both inside and outside the coil
to see where they become magnets, and where they are not magnets. You can just move two
of them around and see where they will stick together and where they will not stick together.
This is very aparent to observe.
It does not matter how close you get to the outside of the loops of wire, the iron will not
magnetize, even touching the outside of the loops. There will be no magnetic field produced.
Now move anywhere inside the loops of wire to reveal the power of the magnetic field is the
same everywhere inside. There is no distance loss moving to the center even a long way from
the outer winds of the large coil. There is no loss in power at the edges of the coil even
touching the wires with the nails and paper clips. This is in violation of all distance cubed
relationship of magnetic field. It does not conform to any field we have defined in our
science today that I am aware. It is very unexpected to observe this. This is showing the
„inside” effect of copper and the protons field.
The copper wire with DC current flowing in it, is not creating a magnetic field, for if it was
that field would be present even outside and around the coil and it would magnetize iron
objects held outside the loops or just above the loops. That copper loop is producing an „A”
field that is only present inside the loop with lazar beam accuracy, as a slice of space inside
the loop of wire. The copper wire is a perfect boundary of containment, only after you stick
iron inside that loop will the magnetic field come out of it and start to move around in a torus
form.
The important thing to observe here is that there is no loss anywhere inside the loop, it is a
quantum field, and there is no drop in intensity with distance anywhere inside it. This is a
lossless field on the inside, with absolutly no coupling radiance to the outside. The simple
experiment, gives one a new view of the Newman Motor… and the Joe Cell.
Copper turns the EM field inwards, and iron turns it outwards. Copper has an extra proton,and iron has an extra electron.
Application
When a water cell goes positive, it pulls it’s field inwards. Provided you have kept any
magnetic metals away from it’s core. This fully expected, from the experiments with copper
loops as well. Water is a diamagnetic element similiar to copper creating a „containment
effect” of the field, with lazar beam accuracy, turned inwards.
This mode can be created using voltage and isolation from the earth. It can also be created
using vibrational coupling to the earths power grid, and positioning of the cell over an earth
energy node. Earth energy nodes go positive, with negative charge all around them as
measured with a VOM and ground rods. They can be located using the 13.5 cm wavelength,
or with considerable time with two ground rods and a meter.
From recent comparison of experiment, I have been forced to accept, it is likely me causing
this coupling effect to the earth, working the „inside perception,” and if I am not present, it
likely will not happen as I describe.11
James is showing us the flip side, that it can also be done using EM and isolation techniques
working from the „outside perception” of the cells. Time space comprehension versus space
time comprehension, and our desire to somehow quantfy this and overlap it, to describe the
reality we find ourselves inside.
So there is a „wall” here, which I cannot deny. Stepping into the conscious aspect of the cell,
can greatly alter the outcome of your experiments. If you can sense the wheel of 24 angles on
the earths surface, and couple to it, your results with JC work will be altered in the physical. If
you can position your cell to the correct place on the surface, and feel it tap into the earth, the
cell may go positive very quickly. If you extend to the earths plasma core and tap that into
your cell then whamo, all kinds of things manifesting you never believed possible. And this isvery clear from the two different archetypal approaches of JC work, for me. Dave L
Hello Dave,
For the EM experiment I used a 12 inch diameter copper coil wound with number 20 gauge
magnet wire containing 300 turns. Power source was a 24 volt auto battery pack at 3.2 amps.
This allows the coil to produce field strength of 960 ampere turns.
I first used a bench power supply. With small nails as a sensor the bench supply produced
about the same results as the flat line dc from the battery pack. When using a gauss meter for
a sensor, the meter did not lock in; instead it constantly wanders around aimlessly. This is due
to the 60 Hz AC ripple atop the DC. I also found ripple to interfere when I first initiated the
stressing experiments. In the stressing experiment, for the earth ground connection at the
positive battery terminal I use the branch circuit ground, which is a good earth ground. If that
particular branch circuit is energized, 60 Hz is induced into the ground wire. A surface volt
meter being used to measure unit charge on the container and cylinder will not lock in due to
ripple. When I turn off the breaker for that branch, the meter locks in instantly. Thus while
water is being stressed I make sure the breaker is off.
With the 12 inch diameter coil energized from the battery pack with 24 volts and 3.2 amps,
the two nails become magnets at basically anywhere in the center coil area, as you described.
I did locate a few weaker spots here and there, but this is probably due to the coil’s girth
having some flat sides instead of being concentric in shape, although the overall coil itself is
concentric. A random wound coil usually has flat sides here and there.
In the outside coil area the nails also become magnets out to about one or two inches from the
coil, and then the field quickly reduces its density. The gauss meter indicates density on the
coil’s inside surface is basically the same as its density on its outer surface. The gauss meter
also indicates the same rapid decrease in density as did the nails, as distance from the coil is
increased. Being that the coil is concentric in shape, field flux naturally becomes more dense
in the center area of the coil, while at the same time flux external to the coil is being skewed
apart, as distance increases from the coil. A gauss meter helps to see the actual field pattern
being produced by a coil. What amount of current was flowing through the coil, and what was
its turn count ? Thanks, James Goss
———————–12
That is fascinating James.
My coil was one layer of # 24, wound up 4 nails, shapped into a butterfly.
I wound an X with the upper and lower side of the X filled in, more like a figure 8. I wanted
to see what happened at the center of the X, and discovered the nails do not magnetize at all
on the sides of the X that are not enclosed with loops or anywhere in the area of the sides. On
the other side of the X top and bottom they do magnetize anywhere inside the loops.
So I was playing with only one layer of wire up the 4 nails at the corners, wound as a figure 8
with sharp corners.
I did not record voltages, just adjusted the voltage as high as I could but to keep the wires
from heating. Heavy power supply that could do 30 amps easy, maybe a constant 5 amps ???
So what I saw happening then , was from the interaction of the two coils being oppositely
wound ?
Now I will have to do it again with a standard coil. Sheesh! Did they magnetize anywhere
above or below the coil wraps ?Dave L
James,
I just wound a single layer of #24 with plastic insulation, up a diet coke bottle at the point
where the bottle is straight, for a perfect cylindrical coil. Cut the top off the plastic bottle for
access.
At 3.5 volts I am drawing 5.2 amps.
Then lowering a nail inside anywhere it then magnetizes and sticks to another nail above
it. Both nails lowered inside repell one another.
This does not work anywhere on the outside of the coil for me.
Now with a compass, I do get a deflection on the top and bottom areas of the coil, outside the
copper loops up to about 3″ out. At the center of the coil off the sides the polarity flips
strongly on the compass. The compass definitly shows a field outside the copper loops. The
nails do not, even right up and touching the coil.
Do you know is there a formula to determine the field density on each side of the winding,
and through the center ?
Dave L
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Hello Dave,
„Did they magnetize anywhere above or below the coil wraps?”
Basically they magnetized at any point around the coil bundle’s girth, and at any point around
the circumference of the coil.
„Do you know is there a formula to determine the field density on each side of the winding,
and through the center?”
For coils with turns shaped into round bundles, calculate the magnetomotive force in ampere
turns. Example: 10 turns at 2 amps = 20 ampere turns. One ampere turn equals 1.26 Gilberts.
Both NI (ampere turns) and Gilberts are unit of measurement for magnetic force. Since air is
the standard reference for coil cores, and in this example the coil has an air core, it will
basically be like this: For every 20 ampere turns per inch a section of the coil bundle
occupies, it produces a flux density of 20 lines per square inch near the coil’s surface for all
locations around the bundle. Should be basically the same for your new coil with its single flat
layer.Thanks, James
According to what I have been reading on coils, if the coil was infinitly long, there would be
no magnetic field on the outside of it at all.
Where the coil is short the N and S poles can flow flux all the way around in the air, and in
that case the magnetic field would be easy to access. A toroidal wound coil would also have
no magnetic field escaping it, in theory. I have tried compass readings around them and got no
deflections when energized.
But from what I am seeing as to moving nails, a one layer coil 1-3/4 high, and 2-3/4 „
diameter 36 wraps of 24 ga wire. At 5.5 amps, will not magnetize iron on the outer side, but
will on the inner side. Hard to imagine the magnetic field is the same on both sides of the wire
in the coil.
The compass is already magnetized so it’s magnetic field is penetrating the core as I bring it
inwards, and so it deflects interacting with the center of the coil. The nails are not magnetized
as I bring them near, and they only magnetize inside the loops.
If I bring a magnet near the coil I can get the coil to either suck towards it or push away from
it. So the force is transmitted into motion from the interaction, and at a rather longer range
then one would expect from magnets. Copper acting as a magnet, seems to produce a field
with longer range then just playing with two magnets. There is something here which is
dynamically different with copper being the magnet, and iron being the magnet.
The Newman motor is one that seems to violate all motor design parameters, and yet
suposeldy it turns with incredible torque. Dave L
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Actually the toroidal electromagnet, and the infinity long one would have very strong
magnetic fields outside it.
Only the flux fields cancel, so they can not be readily detected.
The only way to detect it is from the magnetic flux lines moving inducing a voltage.
You can look at the Hooper-Monstein experiment to appreciate how cancelled magnetic fields
still exist and generate a voltage. The assumption that magnetic fields bend is not really
correct, vector analysis is the correct model. Of course magnetic fields don’t exist, but this
also applies to electric fields.
Light then if you think about it actually is a distortion of the electric field of an electron.
The electric field from every electron expands out into infinity, although mostly cancelled by
protons electric field, it still exists and a wiggle in the electron produces a wiggle in the field.
What this means is that this tiniest of all particles actually fills all of the observable universe
with a force field (an electric field). It is large and small at once.John
Hello Dave,
My coil was magnetizing nails on both the inner and outer sides of the coil, but the outer was
much weaker than the inner, which is always the case in a solenoid shaped coil. I believe if
your coil had a few more turns to increase its ampere turns rating, it would then magnetize
nails on the outer area of the coil, but still not as strong as the inner area. At any point around
a single winding turn which faces the inside area of a coil, flux is being aimed at the center of
the air core. This greatly increases flux density of the inner coil area, compared to the outer
area, in which density is decreased due to force lines being spread apart by the angle of their
trajectory.
With a coil of short length, the outer field lines tend to remain close together while traveling
from end to end. As coil length increases they spread further apart, reducing density.Thanks, James
Hello John,
I believe I understand what you’re describing, in reference to two magnetic fields canceling,
yet they still exist. This might be an example: Back when ground fault circuit interrupters first
appeared, back in the early seventies, to protect people using 120 volt branch circuits around
damp locations, the heart of this device was a toroid coil. It had three windings wound on its
core, two sensing windings and one pickup winding. One sensing winding was placed in
series with the hot side of the line, and one in the neutral side of the line.15
The two coils are wound to always setup opposite flux directions through the core. If current
flow in the circuit being protected was equal in both sides of the line, or within 5 ma then,
6ma today, the pickup coil would have basically zero volts induced into itself and the circuit
breaker would not trip. If current in the two lines are out of balance by at least 6 ma, the
pickup coil develops enough voltage across its terminals, amplifies it, and activates a solenoid
to trip the breaker.
Thus if 6 ma or more is being passed to earth ground from either the hot or neutral conductor
the pickup coils become unbalanced. As an example: If both pickup coils have 10 amps
flowing through them, the sensing coil sees a zero field, even though both fields are still
present. One field must override the other before the sensing coil develops voltage across its
terminals.
This is where you lost me John: In reference to a single standard solenoid shape coil, as well
as a standard toroid coil having only one winding, there is no other field to react with for
cancellation to occur.Thanks, James Goss
Adding Water,
So I have a cell set up and have my tubes dry, and singing with vibrations by injecting them
with calipers to the tubes. I feel it all over the garage as the energy is just pretty much
escaping the system.
Now I add the water, tap the low voltage 3 times on each tube, and the energy quiets down in
the room. Starts moving into the water, and pulling the vibration bubble inwards.
Concentrating it inside the water. In the next 4 hours the water level drops 1/4 inch.
I run my finger over the cell and note that at the center tube the energy is most intense, and
then drops some to the outer ring. I pull out my long straight aluminum rod, moving it over
and around the cell, and it looks like it is distorting, bending slightly towards the center of the
water mass as I move it around the cell.
The water seems to be causing the vibration from the tubes to become an inwards
compression on the background field of space, and slightly bending light. Light is refracted
where it passes through a higher or lower density medium. The water seems to have caused
space around it to some distance to become a different density medium.
It’s like when you stick a long tube into the water, and it looks as if it is bent, you pull it out
and it is not bent, stick it in and it looks bent again. Wave the tube over the top of the can and
its like the far end is moving side to side too far! That effect does not happen until I put the
water in the cell.
Dave